Plusieurs tribunes de soutien
— Par Gilbert Pago —
Le tribunal de Fort de France, lors de son audience de ce mardi 27 mai et lors de la délibération qui en suivra, saura signifier sans ambiguïté qu’il ne criminalise pas les associations, les personnalités, les citoyennes et citoyens, les militantes et militants qui combattent « LES VIOLENCES CONTRE LES FEMMES ».
C’est une pratique sordide qui chez nous a fait de trop nombreuses victimes et a conduit à des dizaines de meurtres comme celui de Sandra pour qu’on poursuive la présidente de l’Union des femmes et l’écoutante sociale aujourd’hui convoquées.
Il faut relaxer Rita Bonheur et Nicole Ramael !
Une éventuelle condamnation de l’UFM et de deux de ses militantes, serait un mauvais signal donné aux harceleurs, aux tabasseurs, aux compagnons violents qui penseraient pouvoir s’échapper des griffes de la justice et de la condamnation de la partie grandissante de l’opinion publique qui veut la stricte égalité entre hommes et femmes.