La hausse du nombre d’automobilistes flashés en 2014 n’est pas une bonne nouvelle pour tout le monde. Si l’État voit sa manne financière augmentée, les usagers, eux, n’apprécient pas spécialement la nouvelle. Cela s’explique avant tout par l’augmentation du nombre de radar, mais également par le changement, durant l’année 2013, du prestataire chargé de la maintenance des appareils.
Ce changement s’était accompagné d’une « période de rodage » difficile avec de nombreux problèmes techniques.
De plus, les appareils vandalisés, en panne, ou à l’arrêt forcé pour une vérification règlementaire, n’avaient pas été remis en service dans les temps. Le taux de disponibilité du parc qui devait être de 93% était tombé à 80% ce qui a engendré une baisse d’efficacité. En plus de dix ans d’existence des radars automatique, c’est la première fois que le nombre de flashs diminue sur une année.
A noter que tous ces flashs ont été émis par l’un des 4219 radars longeant les routes françaises : comprenant donc les radars installés aux feux rouges.
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