—Par Roland Tell —
Un dignitaire du Conseil Exécutif, certainement victime d’une mystique du despotisme, en son bureau de Plateau Roy, se dit, en son dogmatisme d’esprit fermé et destructeur : » J’ai choisi le mauvais rôle ! »
Vrai qu’il avait trouvé son modèle d’expansion dans les structures fondamentales d’une direction de parc régional ! La montée à la Martinique du national-droitisme est inscrite en son esprit, tel un souvenir coupable. Mais avide de son pouvoir nouveau, de sa personnalité autoritaire, il a vite choisi de développer son propre système de croyance négatif. L’étroitesse psychologique faisant le reste, tout l’appelle à s’attacher à des instances et convictions d’autoritarisme, de démesure, d’intolérance, vis-à-vis de tous ceux qui ne partagent pas ses idées ou ses opinions. Plus est fort le talent, qui s’oppose à la structure de son comportement ethnocentrique, plus il recherchera, contre sa cible humaine, tous les motifs irrationnels, toutes les pressions, susceptibles de protéger ses propres intérêts, certes voués à une obéissance servile à son autorité absolue. Un tel profil d’identité, pour un dignitaire du Conseil Exécutif, ne constitue, certes pas, l’attitude attendue d’un élu responsable, ouvert et constructif.

La sociologue dresse un portrait critique de la France littéraire, en racontant les luttes d’écrivains algériens dits francophones, pris entre désir de reconnaissance parisienne et engagement dans les combats décoloniaux.
Étant connu comme un des secrétaires généraux de la CDMT, je précise par avance, que je libère cette centrale syndicale de toute responsabilité pour les propos qui suivent. En effet si la CDMT a déjà fermement pris position contre le licenciement de Ronald Brithmer, directeur du PNRM, et si elle est légitimement fière de son indépendance à l’égard de tout pouvoir, certaines formulations utilisées ici voire certains développements de nature politique ne conviendront pas forcément à toutes les sensibilités existant dans cette centrale démocratique et plurielle. Qu’on veuille bien, par conséquent les laisser à mon compte. Ainsi donc, Louis Boutrin, placé à la tête du Parc Naturel Régional de Martinique par la majorité de la CTM a décidé malgré l’opposition d’une partie du personnel et de la CDMT de licencier le directeur de cette institution pour » insubordination ». Laissons les tribunaux prendre leurs responsabilités sur l’aspect juridique de l’affaire (Louis Boutrin, notre président-avocat n’a fait aucun cas des mises en garde de la CDMT qui bien entendu n’a pas dit son dernier mot) et concentrons-nous sur sa signification politique.
La société de biotechnologie Oxitec va construire une immense installation au Royaume-Uni. Son but : produire chaque semaine un milliard de moustiques « sans danger » pour lutter contre le moustique Aedes aegypi, vecteur principal du virus Zika, du chikungunya, de la dengue et de la fièvre jaune.
Cancer naissant comme une rumeur maligne
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— Par Florent Grabin, pour l’association PUMA —
Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités politiques, de la société civile et du spectacle, parmi lesquelles Josiane Balasko, Pierre Joxe ou Eva Joly appelle à la création d’un média alternatif éloigné du modèle économique et idéologique dominant.
Dans le cadre des négociations de paix (2012–2016) entre le gouvernement du Président Juan Manuel Santos et les FARC-EP, une sous-commission « Genre » s’est imposée au sein de la Délégation gouvernementale présente à La Havane, en septembre 2014. Cela a pu se faire grâce aux mobilisations des organisations de femmes colombiennes et à la prise en compte de l’approche genre comme élément clé de la réussite de la mise en place des accords et du processus de construction d’une paix juste, équitable et durable.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Certaines communes de la Guadeloupe et de la Martinique et l’ensemble des collectivités de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin font l’objet d’une constatation d’état de catastrophe naturelle à la suite d’inondations par chocs mécaniques liés à l’action des vagues, de coulées de boue et/ou de vents cycloniques survenus du 18 au 19 septembre 2017. Un arrêté a été publié en ce sens au Journal officiel du 24 septembre 2017.
Dans un contexte national de politique d’austérité qui voit le budget de l’enseignement supérieur amputé alors même que des étudiants ne trouvent pas d’affectation, dans un contexte national de politique hostile à la fonction publique (gel du point d’indice, rétablissement du jour de carence, suppression de poste), l’actualité de l’enseignement supérieur aux Antilles connaît deux points saillants :
Bien moins touchées que Saint-Martin par les récents ouragans, les îles de Guadeloupe et Martinique craignent un « amalgame » et veulent rassurer les touristes dont les réservations sont en repli dans toute la zone caraïbe. « Juste après Irma, on a eu un arrêt immédiat des réservations, et ça ne reprend pas. C’est totalement irrationnel, car il y a eu peu de dégâts en Guadeloupe », déplore à l’AFP Yves Brossard, gérant de deux résidences de tourisme dans l’archipel.
La Martinique s’est mobilisée pour exiger le rétablissement des contrats aidés. Cette revendication pourrait sembler grotesque au regard du caractère singulier de ces contrats : précarité et salaire peu attractif. Si la précarité est avérée, contrat allant de 6 mois à 24 mois et dans certains cas jusqu’à 60 mois, la réalité du salaire l’est moins puisque rien n’interdit qu’un contrat aidé soit à temps plein et rémunéré au niveau du SMIC, comme la grande majorité des contrats de droit commun. Actuellement la quasi-totalité des contrats aidés sont à temps partiel et conduit de ce fait à un salaire proportionnel au temps de travail réel. Ce n’est pas une exception puisque le temps partiel est également utilisé dans certains secteurs d’activité (le commerce par exemple) dans le cadre de contrat de droit commun. Aussi, le montant du salaire pour les contrats aidés ne peut-il aucunement être un argument en soi pour rejeter cette forme de contrat. La question des salaires est plus globale.
L’enseigne « Le Nègre Joyeux », ultime vestige d’une ancienne chocolaterie parisienne et rappel des « crimes de l’esclavage », va devoir quitter sa façade du Ve arrondissement pour entrer au musée, a décidé aujourd’hui le Conseil de Paris.
Drépaction Martinique, c’est parti !!!
Le conflit social martiniquais, à propos des contrats aidés, pose la question essentielle de savoir s’il existe vraiment un système pédagogique français. Cette question se pose d’autant plus que l’Education Nationale est loin de répondre, à l’heure actuelle, aux besoins éducatifs, repérés dans leur généralité.
Pourquoi cette mobilisation?
En décidant de supprimer des centaines voire des milliers de « contrats aidés » en Martinique (sur un total de 150 .000 en France) Macron et son gouvernement ont soulevé une pierre qui est en train de leur retomber sur les pieds. Enivré par le soi disant succès de sa « guerre éclair » contre le code du travail, conforté par la trahison de certains leaders syndicaux et l’incohérence d’autres, le fringant président a cru pouvoir jeter à la rue toutes ces victimes et affaiblir bien des services publics avec « l’argument » hypocrite du rejet de ces contrats précaires. En somme pour guérir un unijambiste de son terrible handicap Macron décide de lui couper l’autre jambe ! Et en guise de cadeau de bienvenue c’est cette patate chaude qu’il jette dans les mains d’un nouveau préfet bien embarrassé.
États Généraux de l’Alimentation Les organisations de la « Plateforme citoyenne pour une transition agricole et alimentaire » rendent publiques leurs demandes
— Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre) —