La Journée mondiale de l’orgasme se déroule le jour du solstice d’hiver, généralement le 21 décembre ou le 22 décembre en fonction des années, soit la nuit la plus longue de l’année.
1,5 million d’orgasmes par minute
« 2,5 milliards d’orgasmes ont eu lieu chaque jour pendant l’année 2013 », peut-on lire sur le site de l’événement. « Cela fait plus de 100 millions d’orgasmes par heure, toutes les heures et 1,5 million par minute ». Imaginez alors toutes cette énergie positive tournée vers une seule et même pensée : la paix dans le monde. Un miracle pourrait-il se produire ?
La garantie que cela arrive est loin d’être assurée au terme de cette journée marathon du plaisir sexuel mais votre corps et votre esprit ne s’en porteront pas plus mal : l’orgasme reste une source de bienfaits mésestimés. Dans le doute, en ce Vendredi 21 décembre, n’hésitez pas à orgasmer (seule ou à plusieurs) !
La Journée mondiale de l’orgasme a été créée en 2006 par Donna Sheehan et Paul Reffell qui sont à l’origine de l’association Global orgasm for peace.




En France et en Afrique, le marché des poupées à la peau sombre et aux cheveux crépus se développe, porté par l’essor du commerce en ligne.
Quel est l’état des inégalités de genre et comment évolue la situation des femmes travailleuses en France ? Dans son nouveau rapport “Pauvreté au travail : les femmes en première ligne“, Oxfam tire la sonnette d’alarme sur le sort réservé aujourd’hui aux femmes qui cumulent activité(s) professionnelle(s) et pauvreté.
—
Avons –nous besoin d’un nouveau drapeau ? certainement pas, tant que nous sommes français et prétendons le rester. On ne peut vouloir, à moins de malhonnêteté intellectuelle foncière, bénéficier des avantages attachés à la citoyenneté de la République française et rejeter systématiquement les signes de reconnaissance distinctifs qui la caractérisent à l’étranger : drapeau, hymne national.
Les femmes, c’est 80% des travailleurs pauvres, 85% des chefs de famille monoparentale, 70% des personnes qui font les courses, 70 à 80% des personnes âgées, et 70% des usagers et usagères des transports en commun ! Pas besoin de grandes investigations pour savoir que ces chiffres qui concernent la France sont encore aggravés sur notre territoire colonial.
Je suis une dosette. Je vous en fais voir de toutes les couleurs !
Ainsi donc, à force de vouloir déboulonner les statues on en arrive à des situations inattendues qui, par effet boomerang, explosent parfois aux visages. Au moment où la controverse autour de Mahatma GANDHI prend en Afrique un tour particulier, je vous propose de republier ma tribune « L’icône Gandhi va-t-elle trébucher ? » C’était peu après la pose d’une stèle à FORT-DE-FRANCE en l’honneur de cet homme.
Elle est l’un des fers de lance de l’opposition à Nicolás Maduro. L’ancienne procureure générale du Venezuela, Luisa Ortega Díaz, attaque le président vénézuélien par le flanc judiciaire. Dénonçant le non-respect des droits de l’homme, décrivant un pouvoir corrompu, elle souhaite l’arrestation du président vénézuélien, dans un entretien à Mediapart.
Qui est Déborah de Robertis, l’artiste « sextrémiste » qui a réalisé une performance en pleine manif des « Gilets jaunes »
out comme en Martinique en 2009, toutes sortes de bien-pensants refusant de regarder en face la violence quotidienne du capitalisme, se découvrent subitement défenseurs en France, de toutes celles et tous ceux qui demain, perdront leurs emplois en raison du mouvement des « gilets jaunes ».
Lettre ouverte au président de la CFTU
Ceci nous amène à nous demander si la CFTU est bien gérée ?
Lettre ouverte à
Des projets de révision de la Loi de 1905 seraient à l’étude. S’il s’agit de mieux encadrer des dérives intégristes mettant en cause les principes et valeurs de la République, le titre V de la loi, intitulé Police des cultes fournit l’arsenal juridique suffisant. S’il s’agit de financer les cultes de quelque manière que ce soit, on entrerait alors dans une procédure concordataire que la loi de 1905 avait précisément pour but d’abolir.

Difficile d’analyser des événements quand, soudain -ce qui arrive parfois- l’histoire se met à bégayer. Nous tentons tout de même cette analyse étant persuadé que sa confrontation nécessaire avec d’autres serait une contribution au débat devant traverser l’espace public dans ces temps quelque peu obscurs.
Dans les écoles, lycées et universités de la République française, on enseigne officiellement qu’en contrepartie de notre travail, il nous est versé par notre employeur – public comme privé – un salaire. Cet enseignement est universel, puisqu’en tous points sur la planète, il n’est pas enseigné autre chose. Mais, nulle part dans le monde également, n’est enseigné ce qui est effectivement, à savoir que ce qui nous est payé en contrepartie, non pas de notre travail, mais de notre « force de travail », est un salaire. Une différence fondamentale, développée par Marx dans son œuvre majeure « Le capital », qui met en avant le concept de « force de travail » achetée comme simple marchandise, et qui permet de saisir en profondeur la nature du capitalisme comme système basé sur l’exploitation de l’homme par l’homme. Plus précisément sur l’exploitation de travailleur/euses salarié/es par le patronat détenteur du capital.
— Par Edgar Morin —