Pour la défense des libertés, pour le respect de nos droits fondamentaux
Pour l’unité des Patriotes Guadeloupéens
Pour garder le cap sur l’objectif principal : la souveraineté nationale
En ce mois de juillet, en cette période durant laquelle, habituellement les Guadeloupéens sont plus enclins au dépaysement et à la villégiature, nous sommes inquiets et remontés. La pandémie du COVID 19 continuant à sévir, les autorités françaises renforcent des mesures contraires aux libertés fondamentales pour contraindre le peuple de France et par là même les Guadeloupéens à se soumettre à l’obligation vaccinale et au PASS sanitaire.
L’UPLG bien que non opposée au principe de la vaccination, ne peut accepter que les autorités françaises imposent la vaccination par la force en imposant un PASS sanitaire pour se déplacer, accéder à certains lieux et à leur emploi pour certains.
Durant ce mois de juillet, le 17 juillet, nous avons eu à75 enterrer notre camarade, SAMSON Joseph dit SAM qui a été un militant d’une trempe sans précédent. Lors des obsèques « nationales » qui lui ont été réservé, ses camarades ont rappelé les hauts faits de sa vie de militant, le courage et la détermination qu’il a su montrer face aux forces françaises durant les épreuves de 1984 et ailleurs.

La Martinique se retrouve de nouveau dans la mouise avec le couvre feu et un quatrième confinement vu la progression de la pandémie et la pression qu’elle fait subir au système hospitalier. La triste réalité s’impose désormais à nos yeux, car comment imaginer un tel scénario il y a encore peu de temps ? Ne rêvons pas à un retour à la normale de sitôt. La crise provoquée par le coronavirus n’est pas un mauvais moment à passer, c’est un changement d’ère pour la Martinique. Nous voici une nouvelle fois immergés dans le présent par des crises sanitaires, identitaires, économiques, sociales, qui se superposent et se répètent dirait on à l’infini et ce sans que ayons la moindre prise sur les événements … A tel point d’ailleurs qu’on ne peut plus vraiment parler de crises, mais d’un état permanent qui nous plonge dans la déprime et rend difficile toute projection dans l’avenir.
Ce jeudi 29 juillet marque le Jour du dépassement 2021, une date calculée par l’ONG Global Footprint Network, un institut de recherche californien. À partir d’aujourd’hui nous allons vivre les cinq prochains mois « à crédit », l’humanité ayant consommé toutes les ressources que la Terre peut régénérer en une année. Limiter nos émissions de CO2 et protéger nos forêts représente une urgence mondiale pour faire reculer cette date, avec en ligne de mire l’espoir d’atteindre un équilibre à l’avenir.
Roselyne Bachelot et Bruno Le Maire, ministres de la Culture et de l’Économie [recevaient] mercredi des représentants du secteur une semaine après l’extension des mesures anti-covid.
Ce que nous avons écrit ici-même est devenu un lieu commun. La défiance à l’égard de la macronie, plus forte encore dans les colonies que dans leur métropole, est un des problèmes créés par le pouvoir lui-même. Le système présidentiel qui ramène tout à l’Exécutif, à son chef et donc qui cristallise et personnifie les oppositions, ne fait qu’accentuer les choses.
– « Qui va là ? », 
Sols, embouchures de rivières, plages : aux Antilles françaises, tout a été dévasté par le pesticide cancérogène utilisé pour éradiquer un ravageur qui menaçait les bananeraies. L’administration en a autorisé l’épandage, préférant la survie de l’économie de plantation à celle de la population.
« L’accès aux vaccins est devenu la principale ligne de rupture divisant la reprise mondiale en deux blocs », estime le FMI dans ses prévisions économiques mondiales
J’ai sous les yeux la dernière mise à jour du suivi du taux de vaccination dans la Caraïbe. Document publié par la firme Mitsy Ellis-Simpson / MJS & Associates reçu sur What’SAp . Dans cette liste, il y a quelques mois les Antilles francophones ne figuraient pas. Depuis le document est plus complet et je m’en félicite. Etabli par un organisme anglophone, qui nous intègre maintenant dans le monde caribéen.
Ce mariage, qui s’est déroulé à Montpellier, est la première union d’un couple de pasteurs du même sexe.
Plusieurs organismes du secteur, dont la CGT Spectacle, Force ouvrière, la SACD, le Syndicat des metteurs en scène ou les fédérations du spectacle vivant, demandaient un report de l’application. Le juge des référés les a déboutés.
La société Antillaise accorde une grande importance à la culture de la contestation , au respect de la tradition et au principe d’égalité . Mais elle est aussi régulièrement secouée par toutes sortes de rébellions, de dissidences ou de désobéissance , voire par de véritables révoltes . Si les formes de la contestation relevées sont variées et graduées, un ressort commun anime les martiniquais et guadeloupéens : celui de la défense de leurs droits et libertés. On se bat donc pour ses idées, jusqu’au bout s’il le faut. On défend ce que l’on croit être la meilleure solution, même si elle est irréaliste, et cela au prix d’un éventuel conflit qui fait souvent la part belle à la politique de la terre brûlée . Une réputation de peuples contestataires , habitués à battre le pavé et à bloquer le pays pour préserver ses avantages sociaux . Derrière cette image d’Épinal, que nous disent les défilés de rue sinon l’existence d’un fondement culturel à l’état d’esprit contestataire des martiniquais et guadeloupéens comme on peut l’entrevoir dans l’actuel mouvement de contestation syndical antivax ?
Lima – Le président élu du Pérou, Pedro Castillo, a exclu vendredi toute velléité de copier des « modèles » étrangers, insistant sur le fait qu’il n’était ni « chaviste », ni « communiste ».
Paris – Les manifestations anti-pass sanitaire reflètent dans la rue ce qui s’observe depuis des mois sur les réseaux sociaux où prolifèrent comptes anti-masques, anti-vaccins, anti-confinement, aux millions d’abonnés, une galaxie protéiforme dotée de relais et d’influenceurs puissants.
La Havane – Cuba a besoin de construire un « nouveau langage » qui « respecte les différences d’opinion » pour surmonter la crise qui l’a mené au bord de l’explosion sociale le 11 juillet, estime dans un entretien à l’AFP le cinéaste cubain, Fernando Pérez.
Paris – La Défenseure des droits, Claire Hédon, regrette « vivement » dans un avis publié mardi le choix d’une procédure accélérée pour le vote du projet de loi sanitaire, compte tenu « de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues » par le texte.
Bogota – Plusieurs milliers de Colombiens sont à nouveau descendus dans la rue mardi pour protester contre le gouvernement du président Ivan Duque et réclamer au Parlement, qui doit examiner une réforme fiscale controversée, des mesures pour plus de justice sociale et contre la répression policière.
En Martinique, des extrémistes identitaires ont percuté les valeurs républicaines de l’Etat. En dépit d’arguments sanitaires puissants, une grosse majorité de la population martiniquaise se montre rétive à la vaccination contre la covid . La spécificité de la crise identitaire en Martinique réveille de nouveaux « rebelles » aux décisions du président de la République, pourtant destinées à stopper net une recrudescence du virus et ainsi sauvegarder l’économie voire sauver des vies humaines. Et comment comprendre que le gouvernement reculera face à une poignée d’irréductibles quand on sait que plus de 64,6 millions d’injections ont été réalisées depuis le début de la campagne en France, selon le bilan quotidien de la DGS. À ce jour, plus de 30,1 millions de Français présentent un schéma vaccinal complet. Les antivax Martiniquais jouent avec le feu en croyant que des mesures comme le pass sanitaire pourraient être annulées sous la pression d’une minorité de français. Jusqu’à aujourd’hui à ce que je sache, la Martinique est soumise à l’identité législative de l’article 73 de la constitution française. Mais certains, au détriment de la raison, ne sont pas prêts à lâcher le morceau, quitte à faire fi du caractère indivisible des lois de la République qui s’appliquent mécaniquement à tous les territoires de la République française.
Dans
Le 14 juillet dernier, la France, pays des droits de l’homme, a commémoré l’événement majeur qui initierait notre république. Lors du concert qui a précédé le feu d’artifice, la cantatrice sud-africaine, Pretty Yendi a chanté les plus célèbres airs d’opéra. Au même moment, pillages et émeutes faisant des victimes – plus de 117 à ce jour – se propageaient en Afrique du Sud mettant à mal une paix bien fragile, cette paix que Nelson Mandela, aimait à encourager en disant : ‘‘Together we stand, divided we fall’’, et réussi à construire sur les décombres d’un passé ensanglanté par les violences de l’apartheid.