Catégorie : Consommation

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A la Paris Fashion Week, percée historique de la mode africaine

Le Nigérian Kenneth Ize, le Camerounais Imane Ayissi ou le Sud-Africain Thebe Magugu présentent leurs collections aux côtés de Dior et Chanel.

La mannequin Naomi Campbell a foulé le podium, lundi 24 février, pour le premier défilé parisien du Nigerian Kenneth Ize, à l’ouverture de la semaine du prêt-à-porter féminin.

En robe à franges en aso oke, tissu à larges rayures multicolores créé par le peuple Yoruba d’Afrique de l’Ouest, cher au styliste, la top modèle noire, sa « marraine » et cliente, a clos le défilé au Palais de Tokyo. « Naomi Campbell a rendu ce défilé possible », a déclaré le créateur de 29 ans à la presse en coulisses, se disant « submergé » d’émotions.

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Originaire de Lagos et diplômé de l’Université des arts appliqués de Vienne où il a grandi, Kenneth Ize puise dans le patrimoine textile de son pays pour des coupes contemporaines comme des ensembles bomber-minijupe ou des tailleurs-pantalons portés avec des mules à talon bas. Vert pomme ou émeraude, mauve, fuchsia, bleu électrique : la palette des couleurs est riche et joyeuse. 

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Tomates, piments, poivrons : la menace d’un nouveau virus

Un nouveau virus particulièrement dangereux, le Tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV), s’attaque aux tomates, poivrons et piments. Alerté par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation émet des recommandations à l’attention des particuliers et des professionnels afin de prévenir le risque élevé d’introduction, de dissémination et d’impact pour les cultures.

Les plantes atteintes présentent des caractéristiques facilement identifiables : décoloration, taches, marbrures, déformations des fruits et des feuilles.

La dangerosité du virus provient de sa facilité de transmission par les semences, les plants et les fruits infectés, le contact avec un support contaminé (mains, outils de travail, vêtements, insectes pollinisateurs, oiseaux…). Le virus peut survivre longtemps sans perdre son pouvoir infectieux. Aucun traitement et aucune variété résistante n’existe aujourd’hui.

Tous les secteurs (filières professionnelles, productions familiales, maraîchers, jardiniers amateurs, jardineries…) et toutes les formes de cultures (agriculture conventionnelle, biologique, sous serre et plein champ…) peuvent être touchés.

Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a mis en place une surveillance renforcée sur l’ensemble du territoire, avec notamment un contrôle systématique des lots de semences et de plants de poivrons et de tomates originaires de pays dans lesquels la présence du virus est connue.

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Les Antilles lancent une banane bio pour en finir avec la malédiction du Clordécone

—Par Cécile Azzaro —

Issue d’un long partenariat avec des organismes de recherche, celle nouvelle banane baptisée « Point d’Or » se veut une contre-attaque face aux bananes « bio » extra-communautaires, venues par exemple du Brésil ou de République dominicaine. En effet, celles-ci obtiennent des « équivalences bio » en entrant sur le marché européen, alors qu’elles « ne sont pas aux normes d’un produit bio européen », affirme l’Union des groupements de producteurs de bananes de Guadeloupe et Martinique (UGPBAN).

Ils n’hésitent pas à parler de « révolution »: les producteurs de bananes antillais présentent au Salon de l’agriculture une nouvelle variété de banane, issue de 20 ans de recherche et qui ne nécessite plus de produits phytosanitaires pour sa production.

Issue « d’un long partenariat de recherche » entre l’Union des groupements de producteurs de bananes de Guadeloupe et Martinique (UGPBAN) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), cette banane, baptisée « Pointe d’or », commencera à être commercialisée dès la semaine prochaine en Ile-de-France, a expliqué Pierre Monteux, directeur général de l’UGPBAN, lors d’une conférence de presse.

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D’ici à 2025, les lave-linge devront filtrer les microfibres en plastique

Les microfibres en plastique des vêtements peuvent représenter jusqu’à 31 % des plastiques qui se déversent chaque année dans les océans.

Chaque nouvelle machine à laver neuve vendue en France devra être pourvue, d’ici au 1er janvier 2025, d’un filtre qui récupère les microfibres de plastique qui se détachent des vêtements lors du lavage. La secrétaire d’État à la Transition écologique, Brune Poirson, doit d’ailleurs rencontrer les fabricants de lave-linge lundi 17 février pour évoquer avec eux cette mesure adoptée avec la loi pour l’économie circulaire. La France est le premier pays du monde à légiférer sur cette source de pollution.

« Les fabricants de machines à laver vont devoir innover pour s’adapter à ce nouveau standard », a indiqué Brune Poirson, destiné à empêcher le passage dans les eaux usées des fibres plastiques microscopiques. Les plastiques utilisés dans la confection (polyester, acrylique, élasthanne) libèrent des particules au lavage qui sont trop petites pour être filtrées dans les usines de traitement et se retrouvent dans l’environnement et notamment dans les océans. Les microplastiques représenteraient entre 15 % et 31 % des 9,5 millions de tonnes de plastiques déversées chaque année en mer, selon des chiffres de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature).

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Recyclage : quelle poubelle pour quel déchet ?

— par Geoffrey Lopes, —

Bouteilles en verre ou en plastique transparent, cartons de pizza, boîtes de conserves… Les centres de tri recyclent de plus en plus d’emballages. Mais attention, tout dépend des consignes du lieu de tri et des matériaux des contenants.

511 kilogrammes de déchets par an. Un Français moyen jette un peu moins d’un kilo et demi d’ordures par jour, d’après les chiffres de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) pour l’année 2018. Cela peut encore paraître beaucoup, mais cela représente déjà 32 kg de moins jetés par particulier qu’en 2008 (543 kg)

Les centres de déchets recyclent environ un tiers de ces ordures. Les 354 kg restant deviennent des ordures ménagères non traitables. Les centres de tri, de plus en plus automatisés, se perfectionnent et parviennent à identifier les différents emballages. Mais tout dépend des capacités du centre, de leur modernité et des recommandations des collectivités qui ne disposent pas toutes des mêmes règles de collecte des déchets.

→ À LIRE. « La Croix » lance ses premières « Rencontres de l’écologie » à Angers

Difficile donc de s’y retrouver entre les couleurs des poubelles et les conseils parfois contradictoires… Le site du ministère de la transition écologique affirme par exemple que les cartons souillés d’aliments ne se recyclent pas, alors que les centres de tri parviennent désormais à le faire.

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Les agriculteurs bio lancent un label équitable pour maintenir leur rémunération

Avec ce label « bio français équitable », qui garantit une rémunération juste à l’agriculteur, la Fédération de l’agriculture biologique veut se prémunir des risques liés à l’essor de l’agriculture biologique. Dont la guerre des prix et l’industrialisation de la production

Pour contrer la communication tous azimuts de la grande distribution sur les produits biologiques et tenter d’empêcher une chute des prix, les agriculteurs bio musclent leur offre avec un label équitable qui garantit la rémunération des producteurs.

Le label « bio française équitable » (BFE) lancé par la Fédération de l’agriculture biologique (Fnab) garantit aux consommateurs des légumes biologiques produits en France et un prix rémunérateur aux agriculteurs bio, reprenant ainsi les critères de la loi sur l’Economie sociale et solidaire de 2014, qui définit le commerce équitable
En collaboration avec le groupe de surgelés Picard

« Le marché biologique se développant, l’opportunité s’est présentée de construire des partenariats forts avec des entreprises de l’agro-alimentaire sur un bio qui corresponde à nos valeurs », indique Stéphanie Pageot, secrétaire nationale de la Fnab, citée mardi dans un communiqué.

Le label BFE est issu d’un travail avec le groupe de surgelés Picard qui expérimente le lancement à partir du 2 mars d’une gamme bio et locale distribuée dans ses magasins en Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie, avant de peut-être s’étendre.

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Divorce et séparation : comment réviser le montant d’une pension alimentaire ?

Le montant d’une pension alimentaire évolue dans le temps. Sa révision est prévue à la date mentionnée dans le jugement du juge aux affaires familiales ou bien dans la convention. Son montant peut augmenter ou bien diminuer selon l’indice des prix à la consommation. Comment calculer cette réévaluation ?

Le simulateur de révision des pensions alimentaires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), accessible en ligne sur Service-public.fr, vous permet de calculer le nouveau montant de la pension avec quelques éléments :

  • la date de votre jugement ;
  • le type d’indice des prix à la consommation sur lequel est indexée la pension (ensemble des ménages ou ménages urbains) ;
  • la date de révision de la pension ;
  • le montant de la pension alimentaire à réévaluer.

Ces informations sont inscrites dans le jugement ou l’ordonnance de divorce ou de paiement. En général, elles se trouvent dans les dernières pages du jugement, dans le paragraphe « par ces motifs », la date du jugement étant le plus souvent portée en 1re page. Le simulateur vous propose 2 cas :

  • cas A : vous souhaitez revaloriser votre pension alimentaire par rapport à l’année dernière ;
  • cas B : vous avez divorcé en 1971 ou après et vous n’avez pas revalorisé régulièrement votre pension alimentaire.

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2020, toujours pas d’amélioration sur le réseau  Cacem

— Par Manuéla Amable-Potiron, Présidente de l’AUTM —

AUTM pousse un « grand coup de gueule » contre la CFTU, pour les inviter  à aller au terme de leur engagement à servir les usagers.
Restez professionnel jusqu’au bout de la Délégation de service public !
Depuis janvier 2020, les usagers du réseau de la Cacem  n’en peuvent plus.
Pas de trafic régulier sur  de nombreuses lignes : pannes techniques et  droit de retrait, toujours les mêmes secteurs touchés. Les usagers  sont réduits à l’impuissance car  les informations  sur l’état du service restent partielles et très insuffisantes.  Le service varie selon les humeurs des uns et des autres  co et sous traitants.
 Nous exigeons le respect des  obligations des uns et des autres  découlant de votre contrat. Mèsi an pil !

Un  service public jusqu’au bout, jusqu’au terme du contrat.
Un  service à la population toujours.

Respectez nous « tout moun sé moun ».

La présidente
Manuéla AMABLE-POTIRON

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Colorants, conservateurs, antioxydants… : le point sur les additifs alimentaires

Le dioxyde de titane (E171) est interdit pendant un an, mais qu’en est-il des autres colorants, conservateurs, antioxydants ? Qu’est-ce qu’un additif alimentaire et comment les reconnaît-on ? Le point sur les additifs alimentaires avec Service-public.fr.

Les additifs alimentaires

Il s’agit d’une substance naturelle ou de synthèse, ajoutée aux denrées alimentaires dans le but d’améliorer leur conservation, leur couleur, ou encore leur goût. Ils n’ont aucune valeur nutritionnelle et sont autorisés s’ils ne présentent aucun risque pour le consommateur, et si leur effet technologique est démontré.

Dans l’Union Européenne (UE), leur mention sur l’emballage est obligatoire et ils peuvent être désignés par leur nom ou par un code composé de la lettre E, pour Europe, et de trois chiffres, le SIN (Système international de numérotation).

Cette classification permet au consommateur de comprendre les propriétés pour lesquelles un additif est utilisé.

Un numéro commençant par :

  • 1 indique un colorant ;
  • 2, un conservateur ;
  • 3, un antioxydant…

La liste peut être retrouvée sur le Codex Alimentarius qui regroupe l’ensemble des normes alimentaires internationales.

L’utilisation d’additifs alimentaires est encadrée par une réglementation stricte, concernant la quantité et les produits alimentaires dans lesquels ils peuvent être utilisés.

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Grève : en Martinique, les rayons de produits frais se vident

L’approvisionnement en produits frais des magasins en Martinique est limité par le mouvement de grève contre la réforme des retraites dans les ports français et les rayons se vident progressivement, a constaté une journaliste de l’AFP.

A la place des yaourts, desserts, jambons, beurres ou fromages, on trouve dans quasiment toutes les enseignes de l’île le même type d’affichette : «Chers clients, en raison de mouvements sociaux dans les ports hexagonaux, nous ne sommes pas en mesure de vous proposer l’ensemble de vos produits habituels. Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée».

Pour l’heure, les bateaux qui ont un planning de rotation précis, partent des ports de métropole, notamment Le Havre, avec des conteneurs à moitié pleins ce qui ne permet pas d’assurer le remplissage des rayons. «On est sur un cycle de commande hebdomadaire sur le frais. Aujourd’hui on a freiné voire stoppé les commandes en attendant un rétablissement de la situation», témoigne Laurent Bodec, directeur de magasin Hyper U de Fort-de-France.

Dans les rayons, seuls subsistent les produits fabriqués localement. Mais le marché local n’est pas capable de remplacer les milliers de tonnes (22.500 en 2014 selon un rapport de la Direction de l’Alimentation) de lait, produits laitiers, oeufs et miel importés chaque années par la grande distribution en Martinique.

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Taxis : les nouveaux tarifs 2020

Quel supplément si vous réservez un taxi ? Quel tarif minimum peut-on vous demander ? Quel est le forfait pour vous rendre dans un aéroport ? Les nouveaux tarifs des courses de taxi qui doivent entrer en vigueur au plus tard le 1er février 2020 sont fixés par un arrêté publié au Journal officiel du 29 décembre 2019.

En 2020, le tarif minimum d’une course passe à 7,30 € pour tous les taxis (parisiens et non parisiens).

Par ailleurs, les tarifs des taxis sont désormais plafonnés à :

  • 4,18 € pour la prise en charge ;
  • 1,12 € pour celui du kilomètre parcouru ;
  • 37,46 € pour le prix horaire concernant la période d’attente (en cas de réservation par le client) ou de marche lente.

Pour les taxis parisiens, les suppléments pour réservation sont, comme en 2019, de :

  • 4 € en cas de réservation immédiate ;
  • 7 € en cas de réservation à l’avance.

De plus, pour toutes les courses des taxis parisiens, seul un supplément « passager » de 4 € peut être appliqué à partir d’une 5e personne transportée.

Les tarifs forfaitaires institués pour les courses directes des taxis parisiens entre Paris et les aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et d’Orly (dans les 2 sens) augmentent par rapport à ceux pratiqués en 2019 :

  • 53 € entre l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle et Paris rive droite ;
  • 58 € entre l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle et Paris rive gauche ;
  • 37 € entre l’aéroport de Paris-Orly et Paris rive droite ;
  • 32 € entre l’aéroport de Paris-Orly et Paris rive gauche.

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CFTU : la pause…

— Par Manuéla Amable-Potiron, présidente de l’AUTM —

Le conflit des salariés de la Compagnie foyalaise des transports urbains (CFTU)  débuté le 17 décembre 2019, a  eu une fois de plus des incidences sur le quotidien des martiniquais et plus particulièrement les usagers. L’AUTM dit son soulagement concernant la pause  annoncé par les salariés grévistes dans ce long mouvement.
Réaffirme l’exigence d’un service minimum afin de soulager les usagers. C’est à l’autorité organisatrice des transports à savoir Martinique Transport de prendre les initiatives nécessaires face à un délégataire défaillant et impuissant. Il s’agit de tout mettre en œuvre pour faire fonctionner le transport.

Ce jour jeudi 2 janvier 2020 la reprise reste  lente et  progressive les usagers devront encore faire preuve de patience. D’une part nous exigeons du délégataire  CFTU la mise  à jour du site d’information et la page Facebook. D’autre part nous réclamons la mise œuvre immédiate des modalités de remboursement des forfaits. AUTM compte sur le professionnalisme du délégataire pour informer en temps et en heure les usagers. Nous restons vigilants, toujours mobilisés.

Fort de France, le 2 Janvier 2020

La présidente
Manuéla AMABLE-POTIRON

 

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Tout ce qui change au 1er janvier 2020

Gaz, smic, retraites, permis de conduire...

— Par Louise Pointu d’Imbleval —-
Baisse des tarifs réglementés du gaz
Après la hausse de 0,6% du mois de décembre, les tarifs du gaz appliqués par Engie baissent de 0,9% dès le 1er janvier 2020. Les clients utilisant le gaz pour la cuisson verront le prix baisser de 0,2% et ceux qui l’utilisent pour se chauffer constateront une baisse de 1%. Pour ceux y ayant recours dans les deux cas, la baisse sera de 0,5%. À noter qu’en 2019, les tarifs réglementés de vente (TRV) ont baissé de 11,9%.

● Revalorisation du Smic
Au 1er janvier, le Smic sera revalorisé de 1,2% pour atteindre 10,15 euros par heure, soit 1539, 42 euros par mois sur la base d’un travail de 35 heures hebdomadaires. Cette hausse ne se fait pas grâce à un coup de pouce du gouvernement mais par un mécanisme de hausse automatique qui tient compte de l’évolution annuelle de l’indice des prix. En 2019, il avait été revalorisé de 1,5%.

● Le plafond de la sécurité sociale également revalorisé
Ce chiffre est revu chaque année, selon l’évolution des salaires.

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CFTU, le retour du bâton !

— Par Pierre Alex Marie-Anne —

Comme il était prévisible ( voir FA du 6-12-2018), le gendarme du transport, incarné par Martinique Transport, s’est résolu à sévir, en sanctionnant par la résiliation de la DSP, les manquements continuels des salariés de ce groupement d’entreprises aux règles élémentaires inhérentes à la déontologie de tout service public.
Eh! voilà tout d’un coup que ces individus .qui ne se privaient pas d’ afficher le plus grand mépris pour le sort des malheureux usagers, le plus souvent d’âge avancé, contraints de se traîner à leur corps défendant, sous le soleil et sous la pluie pour vaquer à leurs occupations quotidiennes, ont la prétention d’obtenir un quelconque soutien de la population.
C’est de la pure indécence ! Trop c’est trop ! Il est temps qu’ils en prennent conscience s’il leur en reste encore un tant soit peu.
Les revendications qu’ils affichent, telle que celle de la garantie du maintien de leur emploi pendant cinq ans ( totalement absurde, puisqu’elle reviendrait à prendre un engagement nouveau sur une DSP en cours de résiliation!), sont d’ailleurs très révélatrices du peu d’illusions qu’ils se font, eux-mêmes, de l’opinion de leurs compatriotes à leur égard ; ils se doutent bien en effet qu’aucun chef d’entreprise ne serait assez fou pour s’embarrasser de gens qui pour dire bonjour ne savent que proférer les plus grossiers jurons et qui confondent, à seul fin de continuer à percevoir un salaire immérité, Droit de retrait et Droit de grève, sous l’œil plus que complaisant de leur PDG d’opérètte, dûment estampillé PPM.

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CFTU : plusieurs bus incendiés!

— Communique de l’AUTM —

Ce matin plusieurs bus de la CFTU ont  été incendiés. Pas de trafic, zéro bus, zéro déplacement  pour celles et ceux qui sont tributaires des transports en commun.
Des  jours de galère pour les usagers et aucune issue, pas de  sortie de crise. Tout le monde se renvoie la balle.
L’association observe que la question du service minimum n’a jamais été évoquée comme la loi le stipule. Devons-nous supporter cette situation à chaque conflit. 
20 années de souffrance et d’espérance pour un meilleur transport.
De qui se moque-t-on. ?
Que  L’autorité organisatrice des transports Martinique Transport prennent  une nouvelle initiative, c’est son rôle  c’est un engagement envers les usagers.
2020 doit être une année de communication, de changement,  et d’améliorations dans le transport en commun sur tout le territoire. 
Le transport urbain est un enjeu sociétal  pour la Martinique. 
Les usagers méritent le respect. 
La présidente,
Manuéla AMABLE-POTIRON

9km500 Route de Balata – Villa Manakaéra – 97200 Fort-de-France
Tél : 0696 26 75 21 – Mèl : autm97@gmail.com
N° SIREN : 838 018 356 00017
: AUTM – Asso de défense des Usagers de Transports de Mque

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Une pétition pour «en finir avec les nitrites dans le jambon»

La Ligue contre le cancer, l’ONG Foodwatch et l’application Yuka s’allient pour demander à la ministre de la Santé d’interdire ces additifs présents dans la charcuterie industrielle.

Les nitrites et nitrates ajoutés dans notre alimentation présentent un danger pour la santé. Lorsqu’on les ingère, ils peuvent contribuer à la formation de composés cancérogènes dans notre estomac : des nitrosamines. Ces substances sont classées cancérogènes probables pour l’humain (catégorie 2A) par le Centre international de la Recherche contre le Cancer (CIRC), car elles favorisent l’apparition de cancer colorectal, le deuxième cancer le plus mortel après celui des poumons, et de cancer de l’estomac. Les nitrites peuvent augmenter le risque d’apparition de maladie du sang, en particulier chez les personnes à risque.

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Une nouvelle fois les usagers du transport  sont les laissés pour compte

— Communiqué de l’AUTM —
Un mouvement social a été décidé sans préavis ce 17 Décembre.
Une nouvelle fois les usagers du transport  sont les laissés pour compte. Surtout il n’y a pas  eu la mise en place du service minimum, cela n’inquiète ni le délégataire CFTU ni l’autorité organisatrice Martinique transport.
AUTM dénonce pour la énième fois un mouvement social inopiné perturbant le quotidien des usagers  déjà largement fragilisé. 
Sachant que la DSP était éminente,  la direction de la CFTU aurait dû anticiper cette grève,  c’est à croire qu’elle n’a aucun respect pour les usagers. 
Nous dénonçons avec  fermeté le manque de considération  et d’informations du coté de Martinique Transport.
L’association AUTM ainsi que les usagers espèrent un transport de qualité meilleure en 2020.
La présidente,
Manuéla AMABLE-POTIRON

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A l’attention de Madame Régine LEBEL

Fort de France, le 6 Décembre 2019
Objet : Représentation de AUTM à toutes les instances
Madame, la Directrice,
C’est avec stupeur que AUTM apprend sur les réseaux sociaux dans un commentaire de Mr Louis Boutrin, qu’une réunion a eu lieu avec les usagers du Morne Rouge, dans le cadre de la réorganisation du transport dans le nord caraïbe, Mardi 3 décembre en Mairie.

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Fêtes de fin d’année : comment éviter les mauvaises surprises ?

Étiquetage des produits, conformité des jouets, sécurisation des objets connectés… La DGCCRF fait le tour de toute la réglementation en vigueur concernant les fêtes de fin d’année.

Comment lire une étiquette ? Qu’est-ce qu’un label de qualité ? Comment installer une guirlande en toute sécurité ? Quelle est la réglementation pour les coffrets cadeaux de séjours ? Comment choisir une trottinette ? Quelles sont les consignes de sécurité pour les jouets électriques ? Que faut-il vérifier avant d’acheter un jeu vidéo, un objet connecté ? Que faire des appareils en fin de vie ? Comment saisir la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) en cas de problème ?

Le guide Fêtes de fin d’année 2019 vous conseille sur les pièges à éviter, la réglementation en vigueur et les recours en cas de déconvenue concernant les produits alimentaires festifs du réveillon (saumon, huîtres, foie gras, dinde, truffes, champagne…), les sapins et décorations ainsi que les cadeaux (jeux, produits multimédia).

Les principaux conseils de la DGCCRF

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Annulation du séjour par le voyagiste : séjour de substitution ou indemnité ? Il faut choisir

Lorsqu’un voyagiste annule un séjour touristique la veille du départ, l’acheteur ne peut pas à la fois accepter un voyage de substitution et réclamer une indemnité de résiliation.

C’est ce qu’a confirmé la Cour de cassation dans son arrêt du 14 novembre 2019. Dans cette affaire, l’acheteur avait réservé et intégralement payé un séjour au Maroc pour 4 personnes. La veille du départ, le vendeur annule le séjour et propose un séjour de substitution en Égypte dans un club offrant des prestations supérieures que le client accepte. À l’issue du voyage, l’acheteur assigne le vendeur en indemnisation.

Le code du tourisme prévoit en effet que lorsque, avant le départ, le vendeur d’un séjour ou d’un voyage touristique annule le voyage, il doit rembourser l’intégralité des sommes versées et payer une indemnité au moins égale à la pénalité que le voyageur aurait dû payer si lui-même avait annulé à cette date.

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APL: ce qui va changer pour vous

— Par Guillaume Errard —

Une nouvelle méthode de calcul des aides personnalisées au logement entrera en vigueur au début de l’année 2020. Par ailleurs, la revalorisation des APL sera plafonnée cette année à 0,3%. Des mauvaises nouvelles pour les quelque 3 millions de bénéficiaires.

C’est la rentrée! Qui dit rentrée, dit souvent déménagement. Et donc, de nombreuses démarches comme par exemple, la demande d’aide au logement. Dans le cas où vous habitez un logement conventionné, vous pouvez obtenir l’aide personnalisée au logement, la fameuse APL. Pour savoir si vous êtes éligibles, un simulateur est disponible sur le site de la Caisse d’allocations familiales. Si vous l’êtes, devez-vous craindre une mauvaise nouvelle, à savoir une baisse des APL?

» LIRE AUSSI – La réforme des APL repoussée au début de l’année 2020

Début juillet, le Canard Enchaîné laissait entendre que le nouveau calcul de l’APL pouvait intervenir dès le 5 septembre prochain. Mais si Bercy souhaitait en effet l’accélération de cette réforme, le gouvernement a finalement annoncé qu’elle n’entrera en vigueur qu’au début de l’année 2020. Dans un courrier adressé au ministre du Logement, le premier ministre Édouard Philippe explique que la réforme sera «mise en œuvre pour le versement des allocations fin janvier ou début février 2020, au moment où les aides au logement sont actualisées».

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Incendie volontaire d’un bus : pourquoi tant de violence

— Par Manuéla Amable-Potiron, présidente de l’A.T.U.M. —

Un bus neuf de la société  trinitéenne CTCN a été incendié volontairement samedi 23 novembre 2019 alors que cette entreprise effectuait sa mise en service que depuis deux semaines. 

Une perte considérable pour ce transporteur.

AUTM déplore sérieusement ce type de vandalisme qui illustre un comportement de la bêtise humaine. 

Nous disons STOP à la violence compte tenu des difficultés rencontrées par les usagers

Nou Ka Di ; I PA BON
La Présidente de l’Association des Usagers des Transports de Martinique ( A.U.T.M.)
Manuéla AMABLE-POTIRON
Fort-de-France, le 26 Novembre 2019

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La société de transport trinitéenne CTCN perd un bus neuf dans un incendie volontaire 

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Le transport : nous y contribuons en achetant notre ticket

— Par Manuéla Amable-Potiron, présidente de l’A.U.T.M. —

Un  an que le TCSP a vu le jour ! La plupart des usagers semblent être satisfait du nouveau mode de transport sur le réseau de la Cacem. 

Toutefois, une bonne partie des usagers ne valident pas leur ticket,  gwan moun kon piti. Mêmes observations  pour le bus.

Ki Sa Nou Pé Fè ? 

Nous avons bien compris qu’une grande majorité des usagers n’était pas satisfait du réseau après ses nombreux et longs mouvements sociaux.

Tout n’est pas parfait. Il faut  améliorer les fréquences, réduire les retards et l’information voyageurs.

Notre rôle est d’être à vos côtés, défendre les droits de tous les usagers.

Pourtant si nous avons des droits, ces droits supposent des devoirs en particulier celui d’acheter son billet.

 La fraude nous  coûte cher.

À tous ceux qui valident leur ticket,  Nou ka di zot,  Mèsi !

Aux autres, faites de même : munissez-vous de votre titre de transport et validez-le.

Mèsi an pil !

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Le gaspillage alimentaire en France : des chiffres vertigineux et des astuces faciles pour y remédier

— Par Yannick Boréan, France Bleu —

Depuis 2013, la journée du 16 octobre est dédiée à la lutte contre le gaspillage alimentaire en France. Les chiffres donnent le vertige mais des astuces existent.

À l’heure de la surproduction et de son impact sur l’environnement, une question se pose : comment consommons-nous ? Les actions d’associations, de citoyens et de l’État ont permis de faire prendre conscience aux consommateurs qu’ils consomment mal et trop. Il est vrai que les chiffres du gaspillage alimentaire en France donnent le tournis. Heureusement, des astuces existent.

 Le gaspillage alimentaire en chiffres

La consommation des ménages

Selon les derniers chiffres de l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie), le gaspillage alimentaire des foyers français représentent 30 kg par an et par habitant. Comble de la surconsommation, 7 kg de ce gaspillage concerne des aliments encore emballés.

Ce gaspillage a également un coût pour les ménages : entre 100 et 160€ par an et par personne, soit l’équivalent de 12 à 20 milliards d’€ par an en France.

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Ce que chacun peut faire pour lutter contre le gaspillage alimentaire

— Par Christine Gonzalez & Beatrice Siadou-Martin. –

En France, on jette environ 29 kg d’aliments par personne à la poubelle chaque année. Mais la lutte contre le gaspillage alimentaire ne concerne pas que le consommateur. Des applications permettent d’aider à lutter contre ce gâchis à tous les niveaux, du distributeur au client.

Quelques chiffres suffisent à comprendre l’ampleur de la problématique : dans le monde, un tiers des aliments destinés à la consommation humaine sont gaspillés ; en France, le consommateur est responsable d’un tiers du gâchis alimentaire et jette chaque année 29 kg d’aliments à la poubelle.

Au-delà de ce constat chiffré, il est important de garder à l’esprit deux éléments essentiels : d’une part, un milliard de personnes souffrent de la faim ou de la malnutrition, et d’autre part, l’alimentation représente entre 20 et 50 % de notre empreinte environnementale.

Le problème ainsi énoncé, le gaspillage alimentaire représente un scandale moral, une aberration, un contresens économique et social. Pourtant, c’est bien en reprenant ces mêmes arguments (d’un côté, le constat d’une pauvreté visible au quotidien et de l’autre, l’existence de denrées alimentaires non-consommées et jetées) que Coluche proposait le lancement des Restos du Cœur il y a plus de trente ans.

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Un nouveau chocolat « entier » et écolo, 100% fruit du cacaoyer

— Par AFP —

Comment innover dans le chocolat sans ajouter toutes sortes d’arômes ou d’ingrédients? En utilisant le fruit du cacaoyer, et rien d’autre. Le leader mondial du cacao Barry Callebaut a présenté vendredi une nouvelle façon de fabriquer du chocolat pour répondre aux défis d’une industrie qui cherche à se renouveler.

« Le chocolat est fait à partir des fèves de cacao, qui sont les pépins d’un fruit. Mais pourquoi n’utiliser que les pépins et jeter le reste du fruit ? Ca ne fait aucun sens d’un point de vue écologique ou économique », explique Antoine de Saint-Affrique, patron du groupe suisse.

Actuellement, la plupart des fabricants de chocolat, industriels ou artisanaux, n’achètent aux plantations que les fèves de cacao, et tout le reste – 70% du fruit – est jeté. Comme si on ne consommait que les pépins d’une orange.

Pour son nouveau chocolat, et d’autres produits alimentaires (y compris des boissons), Barry Callebaut va se servir de quasiment toute la cabosse, y compris la pulpe, selon un processus de transformation qui intervient dans les deux heures après la récolte.

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