Catégorie : Arts de la scène

« Le Royaume de Naya », un film de Oleh Malamuzh et Oleksandra Ruban

Jeudi 31 octobre à 18h Place des arts et de la culture de Trou Terre à Cité La Croix au Robert

Le Royaume de Naya (Мавка. Лісова пісня ; Mavka. Lisova pisnya) est un film d’animation ukrainien réalisé par Oleh Malamuzh et Oleksandra Ruban, et sorti en 2023.

Synopsis
« Par-delà les hautes Montagnes Noires se cache un royaume peuplé de créatures fantastiques. Depuis des siècles, elles protègent du monde des hommes une source de vie éternelle aux pouvoirs infinis. Jusqu’au jour où Naya, la nouvelle élue de cette forêt enchantée, rencontre Lucas, un jeune humain égaré dans les montagnes. À l’encontre des règles établies depuis des millénaires, ils vont se revoir, sans prendre garde aux conséquences qui s’abattront sur le royaume. L’aventure ne fait que commencer. »

La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Un bijou d’animation.

La Voix du Nord par La Rédaction
Ce film d’animation mérite l’attention.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Un antagonisme classique, mais l’animation le rehausse par son inventivité éblouissante et colorée.

Le Figaro par Marie-Noëlle Tranchant
Avec ses riches sonorités, ses résonances joyeuses ou inquiètes, Le Chant de la forêt a le pouvoir envoûtant d’un poème au long cours, qui épouse les mystères de la nature et « la patience du monde », selon une expression indienne.

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Journées de la Harpe : programme de l’hommage à Gabriel Fauré

Mardi 29 octobre à 19h 30 à Tropiques-Atrium

Le mardi 29 octobre à 19h30, la salle Frantz Fanon de Tropiques-Atrium accueillera un concert exceptionnel dans le cadre des Journées de la Harpe, avec une soirée dédiée à l’un des grands maîtres de la musique française, Gabriel Fauré. Ce concert mettra également en lumière la harpe, instrument millénaire dont la beauté et l’universalité n’ont cessé de traverser les époques et les cultures.

Gabriel Fauré, né en 1845 et mort en 1924, est l’un des plus grands compositeurs français de la fin du XIXe et début du XXe siècle. D’abord organiste et maître de chapelle à l’église de la Madeleine à Paris, il devient ensuite directeur du Conservatoire de Paris. Élève de Saint-Saëns, Fauré est un pianiste de talent et un professeur respecté, ayant formé des musiciens comme Maurice Ravel et Georges Enesco.

Son œuvre se distingue par la finesse de sa mélodie et son langage harmonique novateur, dont l’élégance et la profondeur marquent la musique française. Parmi ses pièces les plus célèbres figurent La Pavane, dédiée à la comtesse Greffulhe, et le Requiem, chef-d’œuvre de douceur et de recueillement spirituel.

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« The reader », un film de Stephen Daldry

Mardi 29 octobre à 20h55 sur Arte
Avec Kate Winslet, Ralph Fiennes.| Par David Hare |

15 juillet 2009 en salle | 2h 03min | Drame
Synopsis
Dans l’Allemagne de 1958, Michael, un adolescent de 15 ans, vit une passion intense avec Hanna, une femme bien plus âgée qui lui demande de lui faire la lecture. Cette relation marque profondément Michael, mais Hanna disparaît soudainement. Des années plus tard, il la retrouve dans un tribunal où elle est jugée pour ses crimes en tant qu’ancienne gardienne de camp de concentration. Il découvre alors qu’Hanna est analphabète, un secret qu’elle cache par honte, et qui a façonné bien des choix dans sa vie.
Durant son procès, Hanna assume certains actes mais ne se défend pas entièrement, préférant préserver son secret, ce qui la conduit à une condamnation à perpétuité. Michael, devenu avocat, lui envoie des cassettes de lecture en prison, et Hanna commence à apprendre à lire pour communiquer avec lui. Juste avant sa libération, Hanna se suicide, laissant un testament en faveur d’une survivante. Finalement, Michael, désormais père, parvient à partager son histoire avec sa fille, révélant l’impact durable de cette relation.

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« Pascal et Descartes » : une joute philosophie-fiction qui frôle l’intransigeance et… parfois l’ennui

Entre croire et savoir

Dans Pascal et Descartes de Jean-Claude Brisville, le débat central oppose le croire au savoir, révélant une ligne de fracture profonde entre les deux philosophes. Ce dialogue, qui pourrait bien illustrer la dualité universelle entre la foi et la raison, cristallise des visions du monde divergentes : Pascal, dévot et tourmenté, valorise la foi comme la seule véritable connaissance, tandis que Descartes, rationnel et méthodique, place la raison et le doute méthodique au cœur de sa quête de vérité.

Croire pour Pascal, c’est accepter la part d’inconnu et l’insondable, qui échappent à la science et à la logique humaine. Pour lui, la foi n’est pas une absence de pensée, mais un chemin parallèle, une conviction qui repose sur une « chaleur » intérieure que Descartes ne peut appréhender. Ce sentiment est indissociable de l’idée d’abandon, de l’acceptation de limites que l’homme doit reconnaître dans la compréhension du divin et de l’éternel.

Savoir, pour Descartes, repose sur une démarche intellectuelle où l’observation et le raisonnement permettent d’atteindre une forme de certitude. Le philosophe voit dans le doute un outil qui écarte les illusions et les fausses certitudes, amenant l’esprit à progresser vers des vérités démontrables.

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« C’était la guerre d’Algérie » : l’intégrale en 5 épisodes!

Disponible jusqu’au 03/11/24 sur France 5

Documentaire historique français de Georges-Marc Benamou et Benjamin Stora, écrit et coréalisé par Mickaël Gamrasni et Stéphane Benhamou

En juillet 1962, l’Algérie accède à l’indépendance. Des millions de personnes célèbrent à travers tout le pays la naissance d’une nation, la fin de 130 années de présence française, et la conclusion d’un conflit acharné et meurtrier. Dans le même temps, un million d’Européens, les « pieds-noirs », nés en Algérie et souvent enracinés depuis des générations, sont contraints de quitter cette terre dans un exode déchirant. Pour des dizaines de milliers de harkis, musulmans restés fidèles à la France, l’indépendance sera aussi synonyme de massacres et d’abandons. « La guerre d’Algérie, c’est la guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu », disait Ferhat Abbas, premier président du gouvernement provisoire de la République algérienne. Pourtant, cette guerre « sans nom », faite de contradictions et de passions, durera huit longues années, de 1954 à 1962. Elle impliquera un million et demi de jeunes soldats français face à des milliers de maquisards algériens, laissant derrière elle 30 000 morts parmi les militaires français, des centaines de milliers de victimes algériennes, et des milliers d’Européens disparus à l’heure de l’indépendance.

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« 20 000 Lieues sous les mers » : une aventure théâtrale captivante et magique

Retransmission en direct dimanche 27 octobre à 21h sur France 4

Depuis sa première au Théâtre du Vieux-Colombier en 2015, l’adaptation de 20 000 Lieues sous les mers par Christian Hecq et Valérie Lesort, deux figures créatives de la Comédie-Française, continue de fasciner le public. Cette mise en scène du roman culte de Jules Verne, un chef-d’œuvre de la littérature fantastique publié en 1870, a remporté en 2016 le Molière de la création visuelle, récompensant ainsi un travail minutieux et audacieux de scénographie et de manipulation de marionnettes. Ce succès l’a propulsé en tournée dans toute la France, emmenant les spectateurs de tous âges dans un monde sous-marin où l’imaginaire se déploie avec une intensité rare.

Une immersion totale dans les profondeurs marines

L’histoire débute avec le professeur Aronnax, son domestique Conseil, et le harponneur Ned Land, qui, après un naufrage, sont faits prisonniers à bord du Nautilus, le légendaire sous-marin du mystérieux Capitaine Nemo. Refusant de les libérer, Nemo les entraîne dans une odyssée à travers les océans, leur révélant les merveilles et les secrets de cet univers sous-marin inconnu des humains de leur époque.

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« L’arnaque », un film de George Roy Hill

Dimanche 27 octobre à 21h sur Arte
Par David S. Ward
Avec Paul Newman, Robert Redford, Robert Shaw
Titre original The Sting
19 avril 1974 en salle | 2h 09min | Comédie, Policier | Date de reprise 7 mai 2014
Synopsis :
Une bande de trois petits arnaqueurs dépouillent par hasard le convoyeur de fonds d’un des caids de la pègre de New York, Doyle Lonnegan. Celui-ci cherche à se venger et tue Luther, un des arnaqueurs. Avant de se faire assassiner, Luther remet à Johnny Hooker une carte de visite, celui d’un ancien grand faisandier, Henry Gondorff. Johnny se rend donc à Chicago pour rencontrer Henry. Les deux complices cherchent à monter une arnaque pour se venger de la mort de leur camarade. Ils ferrent le pigeon en trichant à une partie de poker et donnent le coup de grâce avec l’arnaque du faux bookmaker et des courses de chevaux.
La paresse en parle en 🙂  et en 😈 :
France Soir par Robert Chazal
Le chef-d’œuvre du genre. 20/04/1974

Télérama par la rédaction
(…) pendant deux heures et neuf minutes, on jubile.

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L’éphéméride du 27 octobre

Naissance, le 27 octobre 1811, aux États-Uni, d’Isaac Singer qui perfectionna la machine à coudre

L’Américain Elias Howe, l’Allemand Balthasar Krems , l’Anglais Thomas Saint et l’Autrichien Josef Madersperger) sont les pionniers de la machine à coudre.

La première machine à coudre véritablement pratique est attribuée à un tailleur français originaire de la région lyonnaise, installé rue des Forges à Saint-Étienne, Barthélemy Thimonnier. Il dépose en 1830 le premier brevet d’une « mécanique à coudre » (ou « métier à coudre ») construite en bois, à un fil continu, en point de chaînette, cousant 200 points à la minute. Il en fabrique 80 exemplaires pour honorer une commande d’uniformes de l’armée. Beaucoup d’inventeurs de cette époque misent sur la reproduction du mouvement de la main, ce qui limite la couture à une simple aiguille (Madesperger notamment dont la machine s’appelait « la main qui coud »).

En 1834, l’Américain Walter Hunt est le premier à utiliser une canette, et donc à utiliser deux fils. Cette idée est reprise et améliorée par Elias Howe qui dépose un brevet en 1846 mais n’obtient aucun succès et part en Angleterre pour tenter de l’exploiter.

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« Alhambra, le trésor du dernier sultanat d’Espagne », un film de Marc Jampolsky

Samedi 26 octobre à 20h50 sur Arte

Le documentaire de Marc Jampolsky, diffusé sur Arte le samedi 26 octobre à 20h50, nous emmène au cœur de l’Alhambra de Grenade, site emblématique du dernier sultanat musulman en Espagne. À travers cette exploration de 92 minutes, le réalisateur nous fait découvrir cette forteresse unique, bâtie dès 1238 par la dynastie nasride, et qui résume à elle seule l’apogée de l’art islamique hispano-andalou.

L’Alhambra — « la rouge » en arabe, ainsi nommée pour la teinte de ses murs — se dresse au sommet de la colline de Sabika, dominant la ville de Grenade et offrant un panorama sur la Sierra Nevada. Lieu de résidence des sultans nasrides et joyau de leur savoir-faire architectural, elle fut conçue comme une cité palatiale aux dimensions impressionnantes, s’étendant sur dix hectares, où se mêlent bâtiments défensifs, palais et jardins irrigués. Les murs des palais, ornés de calligraphies arabes, racontent par l’entremise des vizirs, également poètes, l’histoire et la grandeur du dernier royaume musulman d’Espagne.

À travers les interventions d’historiens, archéologues et restaurateurs comme Adelaida Martin Martin, de l’université de Grenade, ou Elena Correa, restauratrice en chef, le film explore les multiples facettes de ce site, notamment ses innovations architecturales et hydrauliques.

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« Twist À Bamako », un film de Robert Guédiguian

Samedi 26 octobre à 21h sur France 4
Par Robert Guédiguian, Gilles Taurand
Avec Stéphane Bak, Alicia Da Luz Gomes, Saabo Balde
5 janvier 2022 en salle | 2h 09min | Drame, Historique
Synopsis :
1962. Le Mali goûte son indépendance fraîchement acquise et la jeunesse de Bamako danse des nuits entières sur le twist venu de France et d’Amérique. Samba, le fils d’un riche commerçant, vit corps et âme l’idéal révolutionnaire : il parcourt le pays pour expliquer aux paysans les vertus du socialisme. C’est là, en pays bambara, que surgit Lara, une jeune fille mariée de force, dont la beauté et la détermination bouleversent Samba. Samba et Lara savent leur amour menacé. Mais ils espèrent que, pour eux comme pour le Mali, le ciel s’éclaircira…
La presse en parle :
L’Humanité par Marie-José Sirach
Derrière cette trame historique, cette piqûre de rappel d’un moment clé pour l’Afrique où toutes les utopies étaient à l’œuvre et ouvraient tous les champs des possibles, on sent poindre chez Robert Guédiguian une once de mélancolie devant un rêve, le socialisme, stoppé net dans son élan.

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« Monsieur Aznavour », un film de Mehdi Idir, Grand Corps Malade

À voir(?) à Madiana

Avec Tahar Rahim, Bastien Bouillon, Marie-Julie Baup
23 octobre 2024 en salle | 2h 13min | Biopic, Drame
Synopsis
Tout public
Fils de réfugiés, petit, pauvre, à la voix voilée, on disait de lui qu’il n’avait rien pour réussir. À force de travail, de persévérance et d’une volonté hors norme, Charles Aznavour est devenu un monument de la chanson, et un symbole de la culture française. Avec près de 1200 titres interprétés dans le monde entier et dans toutes les langues, il a inspiré des générations entières. Découvrez le parcours exceptionnel et intemporel de Monsieur Aznavour.
La presse en parle ( en 🙂 bien et en 😈 ):
Ouest France par Michel Troadec
Ce biopic se regarde avec bonheur tellement on se retrouve plongé dans une époque à suivre l’ascension d’un artiste qui a gagné le haut de l’affiche.

Public par Sarah Lévy-Laithier
Un hommage superbe et puissant.

Closer par J.B.
Musical et grisant.

Elle par Françoise Delbecq
Tahar Rahim est « for me formidable ».

Femme Actuelle par La Rédaction
Le résultat se révèle particulièrement convaincant dans les scènes émouvantes : Tahar Rahim rend bien la tension entre la pudeur, le masque social et les douleurs rentrées.

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World Creole Music Festival 2024 : le programme

25, 26 & 27 octobre à La Dominique
Le World Creole Music Festival (WCMF) revient pour sa 24e édition, offrant aux amateurs de musique un aperçu diversifié de la culture créole. Organisé au Windsor Park Sports Stadium de Roseau, en Dominique, ce festival coïncide avec les célébrations de l’indépendance de l’île et se déroulera du 25 au 27 octobre 2024. Artistes locaux, caribéens et internationaux s’y retrouveront pour interpréter une variété de genres allant du bouyon et de la cadence au reggae, dancehall, zouk, kompa, soca et afrobeats.

Soutenu par des partenaires tels que le Gouvernement de la Dominique, Discover Dominica Authority, Montreal Management Consultants Development Ltd et la National Bank of Dominica, le WCMF 2024 propose un programme enrichi par la diversité musicale des Caraïbes et d’ailleurs.

Programme

Vendredi 25 octobre :
La soirée d’ouverture mettra en avant Extasy Band et TK International, ainsi que des artistes internationaux tels que T-Vice d’Haïti, Nadia Batson de Trinité-et-Tobago, Valiant de Jamaïque et Rotimi des États-Unis, dans une atmosphère musicale variée.

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Contes et Musiques dans la Cité en Martinique : le programme!

Jusqu’au 27 octobre 2024

— Présentation par Valer’Egouy —

Cette dix-huitième édition du Festival International « Contes et Musique dans la Cité » sera belle comme une belle respiration de Paroles culturelles de la Martinique avec nous AMI. Cette année, le directeur artistique (Valer’EGOUY) met à l’honneur un des conteurs – le doyen – de l’atelier Pratique du Conte : Daniel CIBRÉLUS.
Homme sage et apprécié de toutes et tous. Un bijou d’AMI.
Du 15 au 27 octobre 2024, des artistes testés qualités venus de plusieurs pays et d’ici vont répandre leurs histoires, musiques sur l’ensemble du territoire de la Martinique.
Le festival accueille :
Theresa AMOON (Liban/France), Boubacar NDIAYE (Sénégal), Ulrich N’TOYO (Congo-
Brazzaville), Christine BOLDUC, Claire JEAN, Sylvie PROULX et Jessica PARADIS (Sherbrooke/
Québec), Apollinaire DJOUOMOU (Cameroun/Belgique), Alberto GARCIA SANCHEZ (Espagne/
Belgique), Sylvain MICHEL, Muriel REVOLON (France), Caroline A. RIVAS (Colombie/Saint-
Martin), Nicolas PIERREL, Appoline STEWARD et Michel PLATON (Martinique).
Angie, Daniel, Déborah, Fabienne, Gladys, Kati, Lydia, MGG, Hervé, Gaël, Lilas – Les conteurs de l’atelier Pratique du Conte de l’AMI accompagneront la caravane festivalière.
Il y aura une « Causerie-Débat » invitant les artistes locaux et invités à bokanté leurs Paroles sur le thème « La tradition Orale d’hier à aujourd’hui » ou « Le Conte, Pont entre les Cultures ».

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« L’Amour ouf », un film Gilles Lellouche

À Madiana
Par Gilles Lellouche, Ahmed Hamidi
Avec : Adèle Exarchopoulos, François Civil, Mallory Wanecque
Genre :Comédie, Romance, Thriller
Tous publics avec avertissement • 2h 40min
Synopsis:
Tout public avec avertissement
Certaines scènes violentes peuvent heurter un jeune public
Les années 80, dans le nord de la France.
Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traine. Et puis leurs destins se croisent et c’est l’amour fou. La vie s’efforcera de les séparer mais rien n’y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même cœur…
La presse en parle en 🙂  et en 😈 :
Closer par Justine Boivin
C’est fort, brutal, dansant. Passionnant.

Elle par Nathalie Dupuis
Après Le Grand bain, Gilles Lellouche confirme qu’il est un immense directeur d’acteurs et un cinéaste de ouf.

Marie Claire par Juliette Hochberg
Un cocktail qui étonne, tant il détonne des propositions du septième-art français.

Public par Sarah Lévy-Laithier
A la fois coup de cœur et coup de poing.

20 Minutes par Caroline Vié
Le résultat, pharaonique, vibre de la passion de Gilles Lellouche pour le 7e art.

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Délires Verbaux : Une fusion entre Slam et Rap

Vendredi 25 octobre à 19h30 & Samedi 26 à 18h30 Tropiques-Atrium

Délires Verbaux vous invite à une soirée inédite où les frontières entre le slam et le rap s’effacent, laissant place à une rencontre vibrante entre poésie et rythme. Sur scène, quatre artistes singuliers se rejoignent pour explorer les profondeurs de la langue, chacun avec son univers, son style et ses émotions.

EDS., au rap incisif et authentique, est accompagné par les riffs puissants de Manuel Mondésir.
Floka, poétesse solaire, marie ses mots enracinés aux rythmes du tambour et de la guitare de Michel Potiron.
Fola déploie sa poésie envoûtante, guidée par les harmonies délicates du pianiste Shorty.
Lola, avec son verbe acéré et plein d’esprit, se laisse sublimer par les notes du pianiste Christophe Césaire.

Ces quatre voix uniques se retrouveront le temps d’un moment de partage et de création, mêlant introspection, humour et engagement. En filigrane, la puissance des mots et des mélodies raconte des histoires, soulève des réflexions, et unit les sensibilités.

Délires Verbaux, c’est une invitation à plonger au cœur de la poésie contemporaine et de la scène urbaine, à écouter, à ressentir et à s’enivrer des mots.

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« Pascal & Descartes », texte de Jean-Claude Brisville, jeu et m.e.s. Mesguich, père & fils

Jeudi 24, Vendredi 25 Samedi 26 octobre à 19h30 au T.A.C.

Le 24 septembre 1647, les deux philosophes les plus célèbres de leur temps se sont rencontrés à huis clos durant plusieurs heures, au couvent des Minimes à Paris. Blaise Pascal, déjà très malade, n’avait alors que 24 ans, René Descartes, 51.
De cet entretien historique, rien n’a filtré, sinon une ou deux courtes notes jetées sur le papier par l’un et l’autre.
Jean-Claude Brisville a imaginé librement la conversation qu’ont pu avoir ces deux hommes, à l’opposé l’un de l’autre, et qui se découvrent progressivement. Descartes, rationaliste, réaliste, pragmatique, grand voyageur, bon vivant ; Pascal, mystique ardent, intransigeant, malade, tourmenté, exaltant la souffrance et la mort.
Ces lointaines paroles échangées sont un exact miroir tendu à notre propre temps. Que ceux que n’intéressent ni la Raison, ni le Sentiment, ni la Foi, ni la Science et ni Dieu ni le Vide, et ni le Monde, ne viennent pas les entendre

La presse en parle :
Le Monde
Oui, c’est vraiment magnifique !

Le Figaro
« Deux hommes dissemblables, et tous deux d’une intelligence supérieure.

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Causerie-Spectacle sur l’Art du Tambour haïtien et hommage au percussionniste Georges Rodriguez

Par Renel Exentus —

A l’occasion de la 23ème édition du mois du créole, la SRDMH et KEPKAA ont organisé le 12 octobre 2024 une causerie-spectacle sur l’Art du tambour haïtien à la Maison de la Culture du Plateau-Mont-Royal, à Montréal1. Dans une salle comble, l’événement a commencé à 7h30 dans un décor simple et convivial. Le jeu des lumières a permis de mettre en évidence le contraste de la trame discursive du musicologue Claude Dauphin, la performance musicale des percussionnistes du groupe Rara Solèy de Ronald Nazaire et de la prestation dansée de la chorégraphe Shérane Figaro2.

L’évènement se composait de deux parties. Animée par Claude Dauphin, la première partie portait sur l’organologie du vodou haïtien. Par souci pédagogique, le conférencier a commencé à définir l’« organologie » comme étant la partie de la musicologie qui étudie « la constitution des instruments de musique, leurs techniques de production de sons, leurs principes acoustiques et leur environnement culturel ». Dans ce contexte, il mettait l’accent sur le patrimoine musicologique de la culture populaire haïtienne.

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Décès de Célia Delver, interprète de « Tu es libre »

Célia Delver, chanteuse guadeloupéenne, s’est éteinte à l’âge de 49 ans ce mercredi. Connue pour son titre « Tu es libre », qui avait marqué les années 2000, elle laisse une empreinte notable dans le paysage musical du zouk.

Discrète et réservée en public, Célia était néanmoins décrite comme chaleureuse et pleine d’humour par ses proches. Son titre « Tu es libre » est rapidement devenu un succès, apprécié pour ses paroles émouvantes et sa mélodie douce. La chanson reste encore aujourd’hui une référence dans le monde du zouk, avec plus de 1,4 million de vues sur YouTube.

Bien qu’éloignée de la scène ces dernières années, Célia Delver n’avait pas abandonné la musique. En 2019, elle avait sorti un nouveau morceau, « Ne me prends pas la tête », marquant un retour discret mais apprécié par ses fans.

Tout au long de sa carrière, elle a travaillé avec plusieurs artistes importants de la scène zouk, notamment Jean-Claude François, alias Dicktam, qui était aussi son producteur. Célia avait également un lien familial avec Victor Delver, une autre figure du zouk, montrant l’importance de la musique dans sa famille.

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Festival Culturel Rural 2024 : le programme

La Fédération Martiniquaise des Foyers Ruraux (FMFR), en partenariat avec l’Association Martinique Images (AMI), lance avec enthousiasme la deuxième édition du Festival Culturel Rural, un événement festif et intergénérationnel centré sur le patrimoine et les arts. Organisé dans le cadre du projet « Anim’actions culturelles du réseau rural », ce festival propose une programmation riche et variée, avec pour ambition de rassembler petits et grands autour de moments de partage et de découverte.

À l’honneur cette année : le conte, discipline phare du festival, portée par l’expertise d’AMI, une structure d’éducation populaire dévouée à la transmission culturelle pour toutes les générations. Que ce soit à travers des ateliers dans les écoles, des représentations publiques ou des rencontres en maisons de retraite, le conte devient un puissant vecteur de lien social, renforçant ainsi les échanges entre générations.

Mais le festival ne se limite pas au conte. Pour diversifier l’offre artistique, les organisateurs ont également prévu des spectacles de danse, de théâtre et de chant, afin d’enrichir l’expérience culturelle des visiteurs. Ils souhaitent proposer une édition encore plus inclusive et variée cette année et valoriser des formes d’expression différentes au plus près du vécu des 33 associations locales qui forment le réseau de la FMFR.

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« Ni Chaînes Ni Maîtres », un film de Simon Moutaïrou

À voir à Madiana

Avec Ibrahima Mbaye Tchie, Camille Cottin, Anna Thiandoum
18 septembre 2024 en salle | 1h 38min | Drame, Historique
Synopsis
Tout public avec avertissement
1759. Isle de France (actuelle île Maurice). ​Massamba et Mati, esclaves dans la plantation d’Eugène Larcenet, vivent dans la peur et le labeur. Lui rêve que sa fille soit affranchie, elle de quitter l’enfer vert de la canne à sucre. Une nuit, elle s’enfuit. Madame La Victoire, célèbre chasseuse d’esclaves, est engagée pour la traquer. Massamba n’a d’autre choix que de s’évader à son tour. Par cet acte, il devient un « marron », un fugitif qui rompt à jamais avec l’ordre colonial.
La presse en parle :
CinemaTeaser par Aurélien Allin
Qu’il s’agisse de la photo organique d’Antoine Sanier, au naturalisme très travaillé, ou de la formidable musique presque anachronique d’Amine Bouhafa, Ni chaînes ni maîtres se construit avant tout en expérience audiovisuelle, sensorielle et émotionnelle, jusqu’à sa sidérante scène de fin, terrassant moment de cinéma comme mise en images de l’indicible.

Ouest France par Anne Augié
Un premier long métrage au souffle épique.

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« Pierre et le Loup » : une relecture visuelle et musicale entre tradition et modernité

Mardi 22 octobre à 21h sur France 4 et en replay jusqu’au 29/10/25 ★ ★★

— Par Hélène Lemoine —

« Pierre et le Loup », conte musical emblématique composé par Sergueï Prokofiev en 1936, est revisité dans une œuvre hybride et inédite, mêlant animation et prises de vues réelles. Cette nouvelle adaptation, produite par Camera Lucida et réalisée par Gordon Béziat, Pierre-Emmanuel Lyet et Corentin Leconte, offre une expérience visuelle et auditive originale, qui allie tradition et modernité, tout en conservant l’essence pédagogique de l’œuvre. Le résultat est un film d’animation de 30 minutes qui redonne vie au célèbre conte dans un format accessible, à la fois artistique et éducatif.

Dans cette version innovante, le conte musical de Prokofiev prend une dimension nouvelle grâce à un habile mélange de technologie moderne et de narration classique. L’animation se déploie en interaction avec les musiciens de l’Orchestre National de France, dirigés par Daniele Gatti, qui jouent la partition dans un décor virtuel où les personnages animés évoluent avec fluidité. La symbiose entre les éléments réels et animés accentue la beauté visuelle de l’œuvre, et ajoute une profondeur immersive au récit.

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L’éphéméride du 21 octobre

La Comédie-Française est fondée par ordonnance royale de Louis XIV le 21 octobre 1680

La Comédie-Française ou Théâtre-Français (surnommé « le Français ») est une institution culturelle française fondée en 1680 et résidant depuis 1799 salle Richelieu au cœur du Palais-Royal dans le 1er arrondissement de Paris.

Établissement public à caractère industriel et commercial depuis 1995, c’est le seul théâtre national en France disposant d’une troupe permanente de comédiens, la Troupe des Comédiens-Français. Bien que mort depuis sept ans quand la troupe a été créée, Molière est considéré comme le « patron » de l’institution, surnommée la « Maison de Molière ». Le fauteuil dans lequel il entra en agonie lors d’une représentation du Malade imaginaire est toujours exposé au fond de la galerie des bustes, après le Foyer Public1.

La devise de la Comédie-Française est, en latin, « Simul et singulis » (qui peut être traduite par « être ensemble et rester soi-même »). Son emblème est une ruche avec des abeilles, à l’image d’une institution foisonnante.

Historique de la Comédie-Française
La Comédie-Française est fondée par ordonnance royale de Louis XIV le 21 octobre 1680 pour fusionner les deux seules troupes parisiennes de l’époque, la troupe de l’hôtel Guénégaud (troupe de Molière) et celle de l’hôtel de Bourgogne.

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« Julie se tait », un film de Leonardo Van Dijl

Avec :Tessa Van den Broeck, Ruth Becquart, Koen De Bouw, Claire Bodson, Laurent Caron
Sortie en salle : 29/01/20251h 37min Avant-première à Madiana
Synopsis :
Julie, une star montante du tennis évoluant dans un club prestigieux, consacre toute sa vie à son sport. Lorsque l’entraîneur qui pourrait la propulser vers les sommets est suspendu soudainement et qu’une enquête est ouverte, tous les joueurs du club sont encouragés à partager leur histoire. Mais Julie décide de garder le silence.

La presse en parle:
Le Bleu du miroir par la rédaction :
le film nourrit un véritable questionnement, autant sur les mécanismes de libération de la parole et de l’emprise, que sur les mesures de sensibilisation existants dans nos sociétés.
L’Humanité par la Rédaction
Une œuvre captivante entre thriller psychologique et récit d’apprentissage.
Les Inrocks
» Un premier film remarquable. »
Les Inrockuptibles
Un premier film d’une rigueur remarquable.
Positif
Le débutant Leonardo Van Dijl impressionne avec cette approche tout en retenue d’un sujet grave.
Movierama.fr
Julie se tait coche les attentes que nous avons d’un premier long-métrage : une voix, un style, un mouvement, de la créativité, une forme.

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« Nous, professionnels du cinéma, appelons à doter la France d’un musée national du cinéma »

C’est en racontant le septième art à nos publics que nous garderons la maîtrise de notre histoire, juge un collectif de personnalités du septième art membres du conseil d’administration de la Cinémathèque française, dont le réalisateur Costa-Gavras et l’actrice Carole Bouquet.

C’est en 1895, à Paris, sur les Grands Boulevards, que les frères Lumière ont fait d’une invention technique le moteur d’une projection et d’une émotion collective, devant les trente-trois premiers spectateurs de l’histoire du cinéma.

Cette histoire n’a cessé de s’enrichir et, cent trente ans après, la France est plus que jamais la patrie du septième art : celle d’une cinématographie au palmarès inégalé, celle de la population la plus cinéphile au monde, celle des 6 200 salles de cinéma et des 800 festivals – dont celui de Cannes, centre de la création mondiale –, celle d’un modèle de financement – par le CNC et les obligations d’investissement des diffuseurs – admiré partout, celle d’une politique publique qui permet une diversité de films unique au monde, des plus populaires aux plus exigeants.

Une seule ombre à ce tableau : la France a plusieurs fois manqué l’occasion de créer le grand musée du cinéma que le public attend, comme en témoigne le succès des expositions de la Cinémathèque française dans un lieu pourtant peu adapté.

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8e édition du festival Musiciennes en Martinique : le programme

Du 17 au 20 octobre 2024

Lydia Jardon, lauréate du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, titulaire d’une licence de concert de l’École Normale, et récipiendaire de nombreux prix prestigieux, est une pianiste de renommée mondiale. Au-delà de sa carrière de soliste sur les plus grandes scènes internationales, elle se distingue également par sa vision profondément humaniste de la musique. Lorsqu’on lui demande ce qu’elle ajouterait à son impressionnante carrière, elle répond en trois mots : humanisme, sincérité et abnégation.

Bien qu’elle ait toujours su qu’elle deviendrait pianiste, c’est au fil de sa carrière qu’elle a véritablement trouvé sa vocation : élargir l’audience de la musique classique et la rendre accessible à tous, loin des cercles élitistes. C’est ce désir de partager qui l’a poussée à fonder des festivals, dont Musiciennes à Ouessant, un événement qui a su tisser des liens jusqu’en Martinique.

Le thème qui traverse la 8e édition de ce festival en Martinique : le lyannaj. Ce terme créole, signifiant collectif ou lien, incarne le mariage entre les instruments identitaires des territoires et la musique classique. Le festival célèbre ainsi la rencontre des harmonies caribéennes avec la musique de chambre, dans une démarche qui transcende les océans et les siècles.

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