Il avait rassemblé plus de 12 000 personnes en 2022 autour de 95 propositions, le festival Mois Kréyol, orchestré par la compagnie Difé Kako, a rassemblé artistiques et culturelles, témoignant ainsi de l’engouement du public hexagonal et ultramarin pour la diversité des cultures créoles. Artistes confirmés, émergents ou amateurs venus d’ici et d’ailleurs ont partagé leur vitalité lors de cet événement.
Mois Kréyol a annoncé son retour dès octobre en 2023, sillonnant l’hexagone avec des escales à Paris et en Île-de-France, à Nantes, Strasbourg, Mulhouse, Bordeaux, La Rochelle, pour conclure en janvier 2024 en Guyane, Martinique et Guadeloupe. Sous le titre évocateur « An ka palé kréyol », cette édition a pour ambition de replacer la langue créole au premier plan. À travers des représentations immersives, le festival invite le public à explorer les voix des Caraïbes, résonnant de manière hybride entre les mots, la musique, les cultures urbaines et le langage des corps en mouvement.
Comprendre les identités multiples du créole nécessite un regard sur son histoire, c’est pourquoi le festival célèbre des moments-clés et des figures marquantes des Caraïbes.
Catégorie : Arts de la scène
Contes, Théâtre
« Conte et Théâtre au jardin » de la Cie Car’Avan
Samedi 20 janvier à 19h au Théâtre BoiKaré – 60, impasse des Lauriers – Bois Carré – Le Lamentin
1ère partie :
Conte sous le manguier avec Jean l’Océan
2ème partie :
Titre du spectacle: MÉ KI SA NOU LÉ
Théâtre musical
Tout public à partir de 15 ans
Mise en scène: HERVÉ DELUGE
Comédienne & Chanteuse: SARAH-CORINE EMMANUEL
Instruments : DON SHORTY
En français et créole (compréhensible par tous)
Synopsis:
Entre chant et théâtre, entre humour et colère, entre plaisir et tristesse, entre désir et douleur, entre partage et solitude, entre mère et femme, Sarah-Corine Emmanuel nous prend par la main et nous convie à une promenade réfléchie et enjouée sur la condition des femmes, d’ici ou d’ailleurs.
Expositions, Poésies, Théâtre
18-21 janvier. Quand les arts se rencontrent !
— Par Marie Alba —
L’art Gonds Tout présente l’exposition « Le Corps » à Saint-Pierre et des lectures théâtralisées sur le thème du corps à Fort-de-France et Saint-Pierre.
L’association L’art Gonds Tout présente du 18 au 21 janvier 2024 l’exposition « Le Corps », à la Guinguette de Saint-Pierre, en association avec les Nuits de la lecture 2024 dont la thématique, proposée par le Centre National du Livre, fait très certainement écho aux jeux olympiques qui se tiennent cette année en France.
Le corps, sujet que l’on retrouve dans toute représentation de l’art, de la peinture à la sculpture en passant par le théâtre et la poésie, devient support de l’expression aussi bien que matière à façonner pour les comédiens et les artistes de L’Art Gonds Tout .
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L’exposition installée dans la salle de la Guinguette, face à la mer des Caraïbes et au volcan, regroupe une quarantaine de créations, peintures et sculptures.
Cinéma
« Emilia Pērez », un film de Jacques Audiard
De retour à Madiana⭐⭐⭐⭐
Festival de Cannes 2024 : Prix du jury et le Prix d’interprétation féminine pour l’ensemble des actrices
Avec Zoe Saldana, Karla Sofía Gascón, Selena Gomez
2h 10min | Tous publics avec avertissement | Genre :Drame, Comédie musicale, Thriller | Horaires ci-après
Synopsis:
C’est l’histoire de Juan « Manitas » Del Monte, un narcotrafiquant mexicain qui, après des années de cavale, décide de changer radicalement de vie. Pour échapper à la justice, il subit une opération de changement de sexe, devenant Emilia Perez. Désormais femme, Emilia se retrouve confrontée à son passé criminel tout en essayant de renouer des liens avec sa famille et sa fille, Jessi, qu’elle n’a pas vue depuis des années.
Le film explore des thèmes comme l’identité, la rédemption et les transformations personnelles dans un contexte souvent burlesque, tout en étant profondément ancré dans la réalité mexicaine.
La presse en parle :
Bande à part par Anne-Claire Cieutat
Emilia Perez est une prouesse, puissante, audacieuse et salvatrice.
CinemaTeaser par Renan Cros
Viscéral et mélo, délicat et bourrin, féroce et émouvant. Mi-Almodovar mi-Michael Mann. Fou.
Musiques, Opéra
Concert de Fabrice di Falco, accompagné de Yannick Jordane et Antonyo Roul
Cinéma
Madiana
De quelques bonnes manières au spectacle
Au cinéma, au théâtre, à la salle de concert ou à d’autres événements culturels
Il convient d’arriver à l’heure, afin
– de ne pas rater le début,
– de ne pas déranger les autres spectateurs déjà assis ainsi que par respect pour les artistes du spectacle.
Si le placement de la salle de spectacle est libre, comblez les « trous ». Il n’est pas nécessaire de laisser un siège vide entre vous et votre voisin inconnu ( sauf en période épidémique!). Afin que les derniers couples puissent être ensemble, asseyez-vous les uns à côté des autres, ou alors laissez deux sièges vacants entre vous.
Le téléphone mobile doit rester éteint et il ne convient pas de consommer pendant la représentation.
Au cinéma on ne fait pas de bruit si l’on déballe et mange quelque chose pendant la séance.
On ne fait pas de commentaires pendant le spectacle, car cela dérange les autres spectateurs, voire les artistes en train de jouer sur scène.
C’est à la fin d’un spectacle qu’on applaudit les artistes (jamais entre les symphonies musicales dans un concert).
Théâtre
La Ribotte des petits – édition 2023
— Par Selim Lander —
Ribote », en français de France : joyeux excès de table et de boisson. Dans la campagne martiniquaise d’antan, pendant la période de l’Avent, on passait de maison en maison pour chanter les cantiques de Noël et l’on était reçu avec du schrub ou du punch coco plus des gâteaux pour les enfants : c’était la « ribotte » (avec un ou deux t). Sous ce terme heureusement repris par Tropiques-Atrium, on désigne ici une série de spectacles au mois de décembre à destination des enfants. Deux pièces de théâtre « jeune public » étaient au programme.
Mon grand-père ce robot
Sur un texte de Sabine Revillet m.e.s. par Jérôme Wacquiez, avec François Raffenaud dans les rôles titre du grand-père et du robot se déroule une belle pièce pour adolescents qui agite plusieurs sujets, depuis la perte d’un être cher jusqu’au futur proche où nous serons confrontés à des robots intelligents et douées d’affectivité, en passant par les rapports à l’intérieur d’une famille (parents-enfants, parents-parents, enfants-enfants), la place de l’animal domestique et celle des réseaux sociaux.
Musiques
Un récital de Célimène Daudet diffracté par le regard biaisé de Christophe Huss sur le public de la diversité ethnoculturelle
— Par Claude Dauphin, musicologue —
/Mise en contexte/
—Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue — L’article ici reproduit a été acheminé par le musicologue d’origine haïtienne Claude Dauphin au journal montréalais Le Devoir à la suite de la parution le 23 mars 2023, dans les pages de ce quotidien, de l’article du critique musical Christophe Huss consécutif au récital de la pianiste franco-haïtienne Célimène Daudet tenu à Montréal le 22 mars 2023. L’article de Christophe Huss s’intitule « Célimène Daudet : l’art mais la manière » et il est encore accessible sur le site Web du journal Le Devoir. Pour les lecteurs qui ne vivent pas au Québec, il est utile de préciser que le journal Le Devoir, sur son site officiel, est présenté comme suit : « Le Devoir est un média d’information indépendant, sur mobile, papier, tablette et Web. Il a été fondé le 10 janvier 1910 par le journaliste et homme politique Henri Bourassa. Le fondateur avait souhaité que son journal demeure totalement indépendant et qu’il ne puisse être vendu à aucun groupe, ce qui est toujours le cas plus de cent ans plus tard.
Musiques
Le chanteur brésilien Carlos Lyra, l’un des grands artisans de la bossa nova, est mort à 90 ans
Théâtre
« Le Petit Chaperon rouge », texte de Jacob et Wilhelm Grimm, m.e.s. de Céleste Germe
20, 21 & 22 décembre à 19h / Tropiques-Atrium
Synopsis :
Le Petit Chaperon rouge est l’un des premiers contes qu’on lit aux enfants, l’un des plus connus. Un conte au charme si envoûtant que des générations d’enfants ont grandi avec lui. C’est celui-là que nous voulons faire entendre à nouveau. Pour la complexité et l’ambivalence des sujets qu’il traverse, aussi denses et noueux que les arbres centenaires, pour l’épaisseur poétique de l’histoire dont la trace perdure en de longs sillons dans nos imaginaires, pour l’imagerie : la forêt, la tâche rouge, le soleil qui éclate dans les canopées sombres.
Mais nous voulons aussi montrer une nouvelle fois Le Petit Chaperon rouge dans la version, puissante, positive et féministe des Frères Grimm, pour faire voir à quel point cette petite fille qui se promène joyeusement dans la forêt n’est pas imprudente ou naïve mais au contraire vaillante et courageuse, traversant les dangers et retournant le sort. Pour faire entendre ce récit initiatique, qui, par-delà les temps et les générations, magnifie la solidarité féminine et raille les affreux loups méchants. Pour faire redécouvrir ce conte émancipateur, beaucoup plus subversif qu’on ne le pense, qui affirme le droit au mystère, au plaisir, à la liberté et à la peur.
Théâtre
« Amore », texte et m.e.s. de Pippo Delbono
— Par Michèle Bigot —
Le point de départ, pour l’écriture de ce spectacle, c’est le Portugal, c’est le Fado et une tentative de traduire la « saudade » qu’il exprime en mariant chant, lumière, couleur et danse. Incarner la poésie du fado, la faire vivre sur scène en usant de tous les moyens de l’art dramatique. La tension entre le manque et l’espoir est matière dramaturgique.
Evitare l’amore, abbracciare l’amore
« éviter l’amour, embrasser l’amour »
clame le poète, après son homologue brésilien Carlos Drummond De Andrade. Amore fait ce voyage sentimental qui partant d’Italie, nous conduit vers le Portugal en passant par le Brésil, l’Angola et le Cap-vert. Les langues romanes se combinent dans cette ode à l’amour, psalmodiée au micro par Pippo Delbonno, qui fait répondre la musique de la langue italienne aux accents mélancoliques du fado. La poésie lyrique qu’il scande mêle poèmes brésiliens, portugais, allemands, français. Tous chantent cette aspiration désespérée à l’amour, qui nous fait le rechercher tout en le craignant et souvent en le fuyant.
Pour intense et vibrante qu’elle soit, portée comme une mélopée par la voix du dramaturge, la poésie ne suffirait pas à occuper l’espace, n’était la scénographie qui l’accompagne.
Arts de la scène
Au centre d’une économie insoupçonnée
— Par Christian Boutant(*) —
Dans l’événementiel, la culture, les loisirs, le spectacle, que de flux générés, que d’intervenants, que d’investissements, que d’initiatives activant un entrepreneuriat bien réel mais encore et toujours ni évalué, ni mesure et peu encadré.
La période post-Covid a encore favorisé l’émergence de ce secteur économique sur le plan hexagonal mais aussi dans nos territoires où les manifestations se multiplient… Expositions d’arts graphiques et plastiques, investissements dans l’audiovisuel, musiques, spectacles, animations diverses, festivals, carnaval, Noël… On ne finira pas de citer toutes ces manifestations qui animent la vie de tous les jours et faisant intervenir des privés et aussi le secteur public. Combien d’emplois sont concernés, quelles sommes générées, quels budgets engagés… On a du mal à connaître les flux financiers générés par exemple par Tropiques Atrium, par le Grand Carbet, à mesurer le nombre de séances organisés par les établissements privés, à connaître le nombre d’artistes employés par le secteur hôtelier, à évaluer la production littéraire dont l’activité et la production n’ont jamais été aussi importantes et volumineuses dans notre histoire.
Nos artistes, par ailleurs, sont de plus en plus présents en France et leur influence pénètre les pays africains… Le zouk s’impose de plus en plus et est copieusement imité, copié, chanté propageant la langue créole vers des sommets jamais atteints.
Danses
« Là où va la main… » par la Cie Les Bayadères
Samedi 16 décembre – 18h Tropiques-Atrium. Salle La Terrasse COMPLET
Spectacle solo à l’attention des jeunes publics
« Là où va la main, vont les yeux
Là où sont les yeux, est l’esprit
Là où est l’esprit, jaillit l’émotion
Là où est l’émotion, naît le sentiment » – extrait du Natya Shastra
Ce spectacle introduit le Bharatanatyam à un regard curieux.
La danse tout d’abord qui suit les codes très précis de ce style classique, danse sacrée du Sud de l’Inde. La maîtrise du geste ; la narration à travers les expressions du visage.
La musique ensuite, entre tradition et modernité qui fait le lien entre le spectateur et cette “histoire des temps anciens”.
La danseuse en solo est aidée de la lumière et aussi de la voix off souhaitée pour accompagner l’immersion du spectateur.
La danse est exécutée par Tessa Permal, danseuse expérimentée issue de la Cie Suryakantamani de Suzy Manyri et diplômée de l’Ecole Tala Sruti de Raghunath Manet.
Interprète : Tessa Permal
Chorégraphie : Tessa Permal, Raghunath Manet
Assistance à la mise en scène : Marion Phipps
Opéra
« Carmen » – Opéra Martinique – FilaOFestival 2023
Du 13 au 17 décembre 2023 à Saint-Pierre. Entrée libre. Voir les horaires ci-après.
La ville de Saint-Pierre accueille le festival Filao pour une semaine artistique avec des artistes de renoms sous la direction artistique de Fabrice di Falco.
Une organisation en partenariat avec la ville de Saint-Pierre, le CNM, le comité du tourisme de Martinique, le ministère des Outre-mer, la DAC Martinique, la Fondation Orange, la collectivité de Martinique, la Fondation Clément, Chanflor et Corsair
Découvrez ou redécouvrez l’opéra CARMEN pour la première fois donné par les Voix des Outre-mer en Martinique dans le cadre du festival FILAO 2023 ! Dans le lieu magnifique du parvis des ruines du Théâtre de Saint-Pierre en Martinique, faisons revivre les pierres de cet Opéra-théâtre par la musique qui a nourri chacune de ses soirées avant l’éruption de la montagne pelée.
Une soirée avec 6 artistes lyriques de la Martinique, de la Guyane et des Outre-mer pour vibrer au fil de la musique de Bizet.
Spectacle créé en Martinique pour le festival FILAO puis à La Réunion, Guadeloupe, Guyane en 2024.
Opéra-comique en quatre actes, sur un livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy d’après la nouvelle de Mérimée.
Cinéma
« Illusions perdues », adaptation du roman de Balzac par Xavier Giannoli
Dimanche 17 décembre / 21h10 / France 2
Le film a remporté de nombreux prix, dont sept César en 2022 et, parmi ceux-ci, celui du meilleur film.
Synopsis :
Lucien de Rubempré est un jeune poète idéaliste né sans fortune à Angoulême du début du xixe siècle. Sa relation avec une femme mariée de la petite noblesse locale est l’occasion de monter à Paris pour y satisfaire ses ambitions. Bientôt livré à lui-même dans cette ville trépidante et cruelle, il va découvrir que la vie littéraire, intellectuelle et artistique parisienne n’est que la façade d’un vaste système économique cynique, où « tout s’achète et se vend, la littérature comme la presse, la politique comme les sentiments, les réputations comme les âmes »1. Grâce à ses talents de critique, il entame une ascension au sein de la haute société parisienne. Mais ce système va se retourner contre lui.
La presse en parle :
Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Xavier Giannoli a apporté le soin le plus minutieux à son adaptation, pour aboutir à ce que d’aucuns qualifient déjà de chef-d’œuvre. Avec Benjamin Voisin, Cécile de France, Vincent Lacoste, Xavier Dolan, Jeanne Balibar et Gérard Depardieu, le film tient au-delà de ses promesses.
Théâtre
« Mon grand-père ce robot », de Sabine Revillet, m.e.s. Jérôme Wacquiez
Vendredi 15 décembre 19h / Tropiques-Atrium
Jacques vient de mourir et Angie, sa petite fille, est désemparée. Elle imagine qu’il s’est réincarné. Garance, sa mère, s’inquiète pour elle et se réfugie sur Facebook. Si l’on pouvait enrayer la mort, quel soulagement ce serait…
Une publicité de l’entreprise Illusion Robotic lui donne une idée. Et si l’on remplaçait Jacques par un clone robotique ? Damien son mari n’est pas d’accord, mais le robot arrive dans la famille et bouleverse les pensées et la routine de chacun. Cette “chose” s’ingère dans leurs habitudes alimentaires et s’immisce dans leurs intimités…
Et si les objets animés possédaient un cœur comme nous ? Et si la réincarnation existait ? Et si les robots captaient les présences invisibles ?
Autrice : Sabine Revillet
Mise en scène : Jérôme Wacquiez
Comment aider nos ainés ? Est ce qu’il est nécessaire que le robot puisse remplacer l’humain et va t il y arriver ? La question est d’actualité. De plus en plus de centenaires et de moins en moins de soignants dans nos sociétés occidentales. Le robot est il la solution ?
Cinéma
« Le Petit Fugitif », un film de Raymond Abrashkin
Mercredi 13 décembre / 18h /Tropiques-Atrium
Le Petit Fugitif (Little Fugitive) est un film américain réalisé par Raymond Abrashkin, Ruth Orkin et Morris Engel, sorti en 1953. Il raconte l’errance d’un enfant seul au milieu de la foule et des attractions de Coney Island. Il fut présenté à la Mostra de Venise en 1953.
Synopsis
Alors que leur mère est partie au chevet de leur grand-mère souffrante, Joey, un garçon de 7 ans, se retrouve sous la surveillance de son frère aîné Lennie dans le Brooklyn des années 1950. Déçu de devoir ainsi annuler une sortie à Coney Island prévue avec ses amis, Lennie invente avec eux un stratagème pour que Joey s’imagine avoir tué son frère d’un coup de fusil en réalité inoffensif. Choqué, Joey s’enfuit, saute dans le premier métro, et se retrouve à Coney Island où il errera durant tout le week-end, s’amusant dans les diverses attractions, tandis que Lennie tente de le retrouver avant le retour de leur mère.
Tournage
Le film a été tourné du 5 juillet 1952 au 1er septembre 1952 sur les lieux même de l’action, à Brooklyn et Coney Island où Morris Engel avait grandi.
Musiques
La mort de Jean-Michel Saint-Victor dit « Zouzoul »
Cinéma
« Uncharted », un film de de Ruben Fleischer
Samedi 16 décembre / 18h30 Plateau sportif de Fond d’Or à F-de-F
Un film de Ruben Fleischer
Par Rafe Judkins, Art Marcum
Avec Tom Holland, Mark Wahlberg, Sophia Ali
Synopsis :Nathan Drake, voleur astucieux et intrépide, est recruté par le chasseur de trésors chevronné Victor « Sully » Sullivan pour retrouver la fortune de Ferdinand Magellan, disparue il y a 500 ans. Ce qui ressemble d’abord à un simple casse devient finalement une course effrénée autour du globe pour s’emparer du trésor avant l’impitoyable Moncada, qui est persuadé que sa famille est l’héritière légitime de cette fortune. Si Nathan et Sully réussissent à déchiffrer les indices et résoudre l’un des plus anciens mystères du monde, ils pourraient rafler la somme de 5 milliards de dollars et peut-être même retrouver le frère de Nathan, disparu depuis longtemps… mais encore faudrait-il qu’ils apprennent à travailler ensemble.
La presse en parle:
Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Issu d’une série de jeux vidéo, le film « Uncharted » offre tout ce qu’on peut attendre d’un film d’aventure à grand spectacle, aussi bien pour les personnes connaissant les jeux que pour les néophytes.
Cinéma
« Une vie de chat », un film de Alain Gagnol, Jean-Loup Felicioli
Samedi 16 décembre à 16h Théâtre A’zwel
/ Animation, Policier
Par Alain Gagnol
Avec Dominique Blanc, Bruno Salomone, Jean Benguigui
Synopsis :
Dino est un chat qui partage sa vie entre deux maisons. Le jour, il vit avec Zoé, la fillette d’une commissaire de police. La nuit, il escalade les toits de Paris en compagnie de Nico, un cambrioleur d’une grande habileté. Jeanne, la commissaire de police, est sur les dents. Elle doit à la fois arrêter l’auteur de nombreux vols de bijoux, et s’occuper de la surveillance du Colosse de Nairobi, une statue géante convoitée par Costa, le criminel responsable de la mort de son mari policier. Depuis ce drame, la fillette ne dit plus un mot. Les événements vont se précipiter la nuit où Zoé surprend Costa et sa bande. Une poursuite s’engage, qui durera jusqu’au matin, et qui verra tous les personnages se croiser, s’entraider ou se combattre, jusque sur les toits de Notre-Dame…
La presse en parle :
Le Parisien par Matthias Galante
(…) une petite rafale de mitraillette ludique, poétique et sacrément colorée dans le monde finalement classique de l’animation pour les enfants.
Danses, Musiques
Les 20 ans de la Maison du Bèlè
Du 11 au 16 décembre Espace Zéphir, Reculée, Sainte-Marie
Le bèlè est une pratique de musique et de danse traditionnelle à la Martinique. La Maison du Bèlè est un espace dédié à cette pratique représentative de l’identité et de la culture martiniquaise ayant pour objectif de faire vivre et d’assurer la transmission de ce patrimoine d’une valeur inestimable.
Au programme :
Lundi 11 décembre : An bel jounen ba Ben Rasticle
Mardi 12 décembre 8h-11h : De la fabrication du tambour à la pratique
Mercredi 13 décembre 9h 12h : Ti moun kay bèlè-a découverte du conte avec Eve-Lyne Bazin
Mercredi 13 décembre 14 h – 16h : Ti moun kay bèlè-a apprentissage de la conque de lambid
Jeudi 14 décembre 14h-16h : Les collégiens partent à la rencontre de notre gastronomie avec Tatie Maryse
Vendredi 15 décembre 8h : La fouytè avec le LPA du Robert et Croix Rivail avec Marie-Joseph Maire-Sainte de Flambo Gumm.
Samedi 16 décembre : Concert
7h : Marche, La Rand’Kay Bèlè-a
8h : village Artisanal
9h : Ouverture officielle
9h30 : Table ronde ave de grands témoins
10h30 : Visite et initiation, atelier fabrication de tambours, exposition, initiation danse et tambour bèlè, danmyé
12h : Restauration
Danses
Le Bèlè ou l’âme de la Martinique
Disparitions, Musiques
Michel Sardaby, les notes éternelles d’un virtuose du jazz
Education Formation, Théâtre
» La ribotte des petits » édition 2023 : le programme
Du 7 au 22 décembre / Tropiques-Atrium
Nom commun 2 – français
ribotte \ʁi.bɔt\ féminin
Variante de ribote.
La baratte à piston est appelée baratte à ribot ou ribotte.
La ribotte est une grande poterie en grès dans laquelle on agite verticalement une galette de bois fixée à l’extrémité d’un bâton, lequel est guidé par un trou aménagé dans le couvercle de bois
— (Topictopos, Le patrimoine, l’identité des territoires)
Nom commun 1 – français
ribotte \ʁi.bɔt\ féminin
Débauche, excès de table ou de boisson.
« Moi-même j’étais au milieu d’eux, appuyé contre Morny, en train de fumer ma pipe. En entendant venir les bombes, je n’eus que le temps de me jeter par terre. D’abord nos canonniers crurent que c’était une erreur de tir, ou quelque collègue en ribotte… Mais va te promener !
— (Alphonse Daudet, La bataille du Père-Lachaise, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 135.)
Sans paffs, sans lime, plein de crotte,
Aussi rupin qu’un plongeur,
Un soir, un gouêpeur en ribotte
Tombe en frime avec un voleur.
— (François-Vincent Raspail, Le gouêpeur et le voleur)
Wiktionnaire – licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0
La vie est diverse.
Cinéma
Le Prix Louis-Delluc 2023 consacre « Le Règne Animal » de Thomas Caillet
Une ode à la rédemption cinématographique
Le 6 décembre, lors de la prestigieuse cérémonie du Prix Louis-Delluc, le film « Le Règne Animal » réalisé par Thomas Caillet a été couronné de cette distinction tant convoitée. Cette récompense, considérée comme l’un des prix les plus prestigieux du cinéma français, souligne la brillante carrière du réalisateur et la qualité exceptionnelle de son dernier long métrage.
Une histoire puissante et actuelle
« Le Règne Animal » plonge le spectateur au cœur de thèmes forts et actuels tels que la violence, la famille, et surtout la rédemption. L’intrigue suit Damien, un jeune homme en quête de réinsertion après avoir purgé sa peine en prison. Cependant, son passé tumultueux et les défis de son milieu familial complexe compliquent considérablement sa démarche vers une vie nouvelle.
Le réalisateur, Thomas Caillet, a su capturer l’essence des personnages avec une mise en scène maîtrisée, créant une atmosphère sombre et intense tout au long du film. La critique unanime salue l’interprétation remarquable des acteurs, mettant en lumière la profondeur émotionnelle et la complexité des relations humaines explorées dans le récit.