Yukiko Murata, jeune Japonaise installée à Paris, mêle le buto et la danse la plus moderne dans un spectacle qui tient à certains égards de la performance. Elle est accompagnée au violoncelle par Annette Isenberg. La première partie est la plus fidèle à l’esprit du buto, encore qu’elle se déroule sur un rythme plus rapide que celui exigé en stricte orthodoxie. La danseuse est vêtue d’une camisole blanche à laquelle sont suspendues trois clochettes qui tintent en cas de mouvement brusque. Elle tient dans ses mains serrées du riz qu’elle ira verser dans un bol lorsqu’elle aura achevé de faire le tour des spectateurs (regroupés à ce moment-là dans cercle fermé par un cordon rouge), puis elle s’éclipse dans la salle voisine, laissant la musicienne conclure sa suite de Bach.
Danses
Jean-Sébastien s’accroupit dans la rizière.
Yukiko Murata, jeune Japonaise installée à Paris, mêle le buto et la danse la plus moderne dans un spectacle qui tient à certains égards de la performance. Elle est accompagnée au violoncelle par Annette Isenberg. La première partie est la plus fidèle à l’esprit du buto, encore qu’elle se déroule sur un rythme plus rapide que celui exigé en stricte orthodoxie. La danseuse est vêtue d’une camisole blanche à laquelle sont suspendues trois clochettes qui tintent en cas de mouvement brusque. Elle tient dans ses mains serrées du riz qu’elle ira verser dans un bol lorsqu’elle aura achevé de faire le tour des spectateurs (regroupés à ce moment-là dans cercle fermé par un cordon rouge), puis elle s’éclipse dans la salle voisine, laissant la musicienne conclure sa suite de Bach.