Samedi 16 décembre / 18h30 Plateau sportif de Fond d’Or à F-de-F
Un film de Ruben Fleischer
Par Rafe Judkins, Art Marcum
Avec Tom Holland, Mark Wahlberg, Sophia Ali
Synopsis :Nathan Drake, voleur astucieux et intrépide, est recruté par le chasseur de trésors chevronné Victor « Sully » Sullivan pour retrouver la fortune de Ferdinand Magellan, disparue il y a 500 ans. Ce qui ressemble d’abord à un simple casse devient finalement une course effrénée autour du globe pour s’emparer du trésor avant l’impitoyable Moncada, qui est persuadé que sa famille est l’héritière légitime de cette fortune. Si Nathan et Sully réussissent à déchiffrer les indices et résoudre l’un des plus anciens mystères du monde, ils pourraient rafler la somme de 5 milliards de dollars et peut-être même retrouver le frère de Nathan, disparu depuis longtemps… mais encore faudrait-il qu’ils apprennent à travailler ensemble.
La presse en parle:
Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Issu d’une série de jeux vidéo, le film « Uncharted » offre tout ce qu’on peut attendre d’un film d’aventure à grand spectacle, aussi bien pour les personnes connaissant les jeux que pour les néophytes.
Catégorie : Arts de la scène
Cinéma
« Une vie de chat », un film de Alain Gagnol, Jean-Loup Felicioli
Samedi 16 décembre à 16h Théâtre A’zwel
/ Animation, Policier
Par Alain Gagnol
Avec Dominique Blanc, Bruno Salomone, Jean Benguigui
Synopsis :
Dino est un chat qui partage sa vie entre deux maisons. Le jour, il vit avec Zoé, la fillette d’une commissaire de police. La nuit, il escalade les toits de Paris en compagnie de Nico, un cambrioleur d’une grande habileté. Jeanne, la commissaire de police, est sur les dents. Elle doit à la fois arrêter l’auteur de nombreux vols de bijoux, et s’occuper de la surveillance du Colosse de Nairobi, une statue géante convoitée par Costa, le criminel responsable de la mort de son mari policier. Depuis ce drame, la fillette ne dit plus un mot. Les événements vont se précipiter la nuit où Zoé surprend Costa et sa bande. Une poursuite s’engage, qui durera jusqu’au matin, et qui verra tous les personnages se croiser, s’entraider ou se combattre, jusque sur les toits de Notre-Dame…
La presse en parle :
Le Parisien par Matthias Galante
(…) une petite rafale de mitraillette ludique, poétique et sacrément colorée dans le monde finalement classique de l’animation pour les enfants.
Danses, Musiques
Les 20 ans de la Maison du Bèlè
Du 11 au 16 décembre Espace Zéphir, Reculée, Sainte-Marie
Le bèlè est une pratique de musique et de danse traditionnelle à la Martinique. La Maison du Bèlè est un espace dédié à cette pratique représentative de l’identité et de la culture martiniquaise ayant pour objectif de faire vivre et d’assurer la transmission de ce patrimoine d’une valeur inestimable.
Au programme :
Lundi 11 décembre : An bel jounen ba Ben Rasticle
Mardi 12 décembre 8h-11h : De la fabrication du tambour à la pratique
Mercredi 13 décembre 9h 12h : Ti moun kay bèlè-a découverte du conte avec Eve-Lyne Bazin
Mercredi 13 décembre 14 h – 16h : Ti moun kay bèlè-a apprentissage de la conque de lambid
Jeudi 14 décembre 14h-16h : Les collégiens partent à la rencontre de notre gastronomie avec Tatie Maryse
Vendredi 15 décembre 8h : La fouytè avec le LPA du Robert et Croix Rivail avec Marie-Joseph Maire-Sainte de Flambo Gumm.
Samedi 16 décembre : Concert
7h : Marche, La Rand’Kay Bèlè-a
8h : village Artisanal
9h : Ouverture officielle
9h30 : Table ronde ave de grands témoins
10h30 : Visite et initiation, atelier fabrication de tambours, exposition, initiation danse et tambour bèlè, danmyé
12h : Restauration
Danses
Le Bèlè ou l’âme de la Martinique
Disparitions, Musiques
Michel Sardaby, les notes éternelles d’un virtuose du jazz
Education Formation, Théâtre
» La ribotte des petits » édition 2023 : le programme
Du 7 au 22 décembre / Tropiques-Atrium
Nom commun 2 – français
ribotte \ʁi.bɔt\ féminin
Variante de ribote.
La baratte à piston est appelée baratte à ribot ou ribotte.
La ribotte est une grande poterie en grès dans laquelle on agite verticalement une galette de bois fixée à l’extrémité d’un bâton, lequel est guidé par un trou aménagé dans le couvercle de bois
— (Topictopos, Le patrimoine, l’identité des territoires)
Nom commun 1 – français
ribotte \ʁi.bɔt\ féminin
Débauche, excès de table ou de boisson.
« Moi-même j’étais au milieu d’eux, appuyé contre Morny, en train de fumer ma pipe. En entendant venir les bombes, je n’eus que le temps de me jeter par terre. D’abord nos canonniers crurent que c’était une erreur de tir, ou quelque collègue en ribotte… Mais va te promener !
— (Alphonse Daudet, La bataille du Père-Lachaise, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 135.)
Sans paffs, sans lime, plein de crotte,
Aussi rupin qu’un plongeur,
Un soir, un gouêpeur en ribotte
Tombe en frime avec un voleur.
— (François-Vincent Raspail, Le gouêpeur et le voleur)
Wiktionnaire – licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0
La vie est diverse.
Cinéma
Le Prix Louis-Delluc 2023 consacre « Le Règne Animal » de Thomas Caillet
Une ode à la rédemption cinématographique
Le 6 décembre, lors de la prestigieuse cérémonie du Prix Louis-Delluc, le film « Le Règne Animal » réalisé par Thomas Caillet a été couronné de cette distinction tant convoitée. Cette récompense, considérée comme l’un des prix les plus prestigieux du cinéma français, souligne la brillante carrière du réalisateur et la qualité exceptionnelle de son dernier long métrage.
Une histoire puissante et actuelle
« Le Règne Animal » plonge le spectateur au cœur de thèmes forts et actuels tels que la violence, la famille, et surtout la rédemption. L’intrigue suit Damien, un jeune homme en quête de réinsertion après avoir purgé sa peine en prison. Cependant, son passé tumultueux et les défis de son milieu familial complexe compliquent considérablement sa démarche vers une vie nouvelle.
Le réalisateur, Thomas Caillet, a su capturer l’essence des personnages avec une mise en scène maîtrisée, créant une atmosphère sombre et intense tout au long du film. La critique unanime salue l’interprétation remarquable des acteurs, mettant en lumière la profondeur émotionnelle et la complexité des relations humaines explorées dans le récit.
Cinéma
Le plafonnement du taux de location des films, dans les DROM, adopté par l’Assemblée nationale
Le 5 décembre dernier, l’Assemblée Nationale a définitivement adopté une proposition de loi cruciale portée par la sénatrice de la Martinique, Catherine Conconne. Cette proposition vise à garantir la pérennité des établissements de spectacles cinématographiques dans les départements et régions d’Outre-mer, en particulier en plafonnant le taux de location des films à 35%.
À l’origine réclamée par le Syndicat des exploitants de cinémas d’Outre-mer (Secom), la proposition de loi avait déjà franchi une étape décisive en obtenant l’approbation unanime du Sénat le 15 juin dernier. La mesure, plafonnant le taux de location des films à 35%, a été maintenue après un vote massif de 95% des députés à l’Assemblée Nationale.
Le texte, co-rapporté avec conviction par les députés Maud Petit et Johnny Hajjar, met en lumière la réalité économique des cinémas ultramarins, confrontés à une offensive commerciale des principaux distributeurs. Ces multinationales puissantes cherchent à augmenter drastiquement les taux de location, mettant en péril la viabilité économique des cinémas locaux. La nouvelle loi constitue ainsi un rempart contre cette menace en plafonnant le taux de location à 35%, préservant ainsi le pouvoir d’achat des citoyens ultramarins et favorisant le développement des infrastructures cinématographiques locales.
Danses
Au TNB : « Encantado », de Lia Rodrigues, ou la magie sur scène
–– Par Janine Bailly ––
Encantado, que créa la chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues alors que dans son pays sévissaient au même temps le Covid-19 et un certain Jair Bolsonaro, je ne saurais le comparer à aucun des spectacles de danse qu’il m’a déjà été donné de voir. C’est par les yeux et le cœur qu’il faut d’abord recevoir Encantado, se laisser charmer, au sens premier du terme, avant d’essayer d’en percer le sens. Se laisser, avant que de penser, émerveiller par la beauté des corps, la puissance et la singularité des figures imaginées, l’énergie que déploient ces onze danseurs, garçons et filles comme soutenus d’une force vitale, animés d’une étonnante pulsion de vie.
Le spectateur n’est pas sans remarquer un épais et long rouleau de tissu, posé au fond d’un plateau par ailleurs entièrement vide. Alors, dans un calme absolu, dans un mouvement d’une lenteur étirée, les onze corps, laissés dans l’ombre accroupis, déroulent jusqu’au bord de scène, comme en un rituel, ce qui se révèlera être un patchwork de tissus multicolores. Et ce sont ici non pas les voix, non pas une bande-son, mais les couleurs vives qui les premières hurlent, déchirant l’espace, éveillant la curiosité d’une salle comble – hélas troublée d’importuns bruits de gorge, comme si d’aucuns exprimaient ainsi un malaise lié au silence qui nous était donné.
Cinéma
« Mandela, un symbole contre l’apartheid », un docu de François-Xavier Destors
Cinéma
« En attendant Bojangles », un film de Regis Roinsard
Dimanche 3 décembre / 21h10 / France 2
Par Romain Compingt, Regis Roinsard
Avec Virginie Efira, Romain Duris, Grégory Gadebois
5 janvier 2022 en salle / 2h 05min / Comédie dramatique, Drame, Comédie
Synopsis :
Adaptation du roman éponyme signé Olivier Bourdeaut.
Le film commence par la rencontre déjantée, lors d’une réception mondaine, de Georges (Romain Duris) en charlatan fabuleux, et de Camille (Virginie Efira) en élégante rêveuse, fleur bleue, jeune femme solaire jouissive et fantasque. Une danse chevaleresque sublime, un homme et une femme, deux êtres en osmose, et de cet amour enflammé et magique s’ensuit un mariage soudain et un enfant : Gary. Chez eux il n’y a de la place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis. Une fête permanente. Les trois vivent dans une forme de vie un peu folle, ou les parents reçoivent amis, entre plaisir et fantaisie, et aiment danser sur leur chanson préférée Mr.Bojangles de Nina Simone (1Écouter en bas de page). Avec le temps, les idées noires que Camille cache depuis toujours refont surface. Georges et Gary tentent d’accompagner Camille dans sa folie, mais la blessure est profonde…
La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Sensuelle et fantaisiste, Virginie Efira s’abîme dans un tourbillon sentimental élégant et dérangeant.
Opéra
Maria Callas : Les harmonies contrastées d’une voix légendaire
Le 2 décembre 1923 naissait Maria Kalogeropoulos, dite la Callas, à New York. Elle est l’artiste lyrique la plus célèbre du XXe siècle. Dotée de moyens vocaux hors normes et d’un sens aigu du jeu tragique, elle demeure l’archétype de la cantatrice dont la renommée déborde encore le domaine de l’opéra.
Admirée par certains, au point que sa voix a parfois été qualifiée de « voix du siècle » après sa mort, critiquée par d’autres qui perçoivent des sonorités rauques, des aigus parfois stridents et des cassures entre les trois registres (grave, médium et aigus), la voix de Callas a été et demeure sujette à controverse. Walter Legge la décrit en ces termes : « Elle possède l’essentiel pour une grande cantatrice : une voix instantanément reconnaissable. »
Le critique italien Rodolfo Celletti considère que le timbre de Callas, vu uniquement du point de vue sonore, était laid, mais il reconnaît que son attrait résidait dans le vernis, le velours et la richesse naturelle qui permettaient à sa voix d’adopter une variété de couleurs mémorables. Selon John Ardoin, malgré le manque de beauté classique, Callas était capable de moduler le timbre et la couleur de sa voix pour la rendre plus proche du personnage qu’elle interprétait, lui conférant ainsi une individualité unique.
Théâtre, Yékri
L’éphéméride du 3 décembre
Première mondiale d‘Un tramway nommé désir de Tennessee Williams au théâtre Ethel Barrymore à Broadway le 3 décembre 1947
Un tramway nommé Désir (A Streetcar Named Desire) est une pièce de théâtre de Tennessee Williams, jouée pour la première fois en 1947 au théâtre Ethel Barrymore et pour laquelle il a remporté le prix Pulitzer en 1948. Elle remporte en 1948 le prix Pulitzer, le Drama Critics circle award et le Donaldson qui pour la première fois dans l’histoire sont attribués tous les trois à la même production. De son côté, l’association américaine des critiques de théâtre distingua Un tramway nommé Désir comme la pièce la plus importante du XXe siècle devant Mort d’un commis voyageur d’Arthur Miller et Long voyage du jour à la nuit d’Eugene O’Neill.
Synopsis:
Blanche DuBois fait irruption chez sa sœur Stella et son beau-frère Stanley Kowalski à La Nouvelle-Orléans. L’exiguïté du logement, les différences sociales entre Blanche et Stanley, le fait que Stella n’ait pas annoncé à Stanley la visite de Blanche, l’animosité de Blanche, jalouse de l’amour de sa sœur envers Stanley, laissent penser que l’arrivée de Blanche va troubler la relation de Stanley et Stella.
Cinéma
« Chronique d’une liaison passagère » film de Emmanuel Mouret
Lundi 18 décembre 20h50 / Cine+ Club
1h 41min / Comédie dramatique, Romance, Drame, Comédie
Par Emmanuel Mouret, Pierre Giraud
Avec Sandrine Kiberlain, Vincent Macaigne, Georgia Scalliet
Synopsis :
Au cours d’une soirée, Charlotte, mère célibataire rencontre Simon, un homme marié. Ce nouveau couple s’engage à se voir uniquement pour le plaisir, sans rien éprouver d’autre. Pour autant, cette relation sans avenir est bouleversée quand des sentiments nouveaux apparaissent.
La presse en parle :
Bande à part par Léo Ortuno
Une mise en scène inventive, en dialogue permanent avec de formidables acteurs.
Franceinfo Culture par Lorenzo Ciavarini Azzi
Chronique d’une liaison passagère est une délicieuse et brillante fantaisie amoureuse dans l’esprit 18e siècle.
L’Humanité par Sophie Joubert
Variation subtile sur le sujet rebattu de l’amour adultère, le nouveau film d’Emmanuel Mouret est un enchantement.
Le Parisien par La Rédaction
Brillant, attendrissant, « Chronique d’une liaison passagère », par l’auteur de « Mademoiselle de Joncquières » et « Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait », est une nouvelle partition, sur du Mozart, de l’invention de sa vie à tout âge et des détours très retors du désir.
Musiques
Manou Gallo & Keziah Jones en concert
Samedi 2 décembre à 19h30 / Tropiques-Atrium
Manou Gallo
Manou Gallo, née le 31 août 1972 à Divo, une localité centre-ouest de la Côte d’Ivoire, est une bassiste, multi-instrumentiste, chanteuse et danseuse ivoirienne. Élevée par sa grand-mère, elle démontre dès son plus jeune âge son autonomie et sa passion pour la musique. À l’âge de 12 ans, elle fait ses débuts sur scène avec le groupe Woya, initié par Marcellin Yacé, une expérience marquante qui la propulse hors de sa ville natale.
Au fil des années avec le groupe Woya, qui connaît un succès retentissant en Afrique de l’Ouest, Manou Gallo accumule des expériences musicales variées. Après la dissolution du groupe, elle rejoint Marcellin Yacé à Abidjan, où elle se familiarise avec la basse et les prises de son dans son studio pendant trois ans. Sa rencontre avec Michel De Bock, tour manager des Zap Mama, change le cours de sa carrière. Recrutée par le groupe belge, Manou Gallo s’installe en Europe en 1997.
Depuis lors, elle parcourt le monde aux côtés des Zap Mama, explorant la diversité culturelle et musicale de l’Europe.
Cinéma
« Le Dieu de la Mafia », un documentaire d’Anne Véron
Cinéma
Une avancée majeure pour le cinéma en Outre-Mer : Vers l’adoption d’une loi salutaire
Le 15 juin dernier, le Sénat a marqué un tournant décisif en adoptant à l’unanimité une proposition de loi défendue avec ferveur par la sénatrice de la Martinique, Catherine Conconne. Cette proposition vise à garantir la pérennité des établissements de spectacles cinématographiques et à assurer un accès équitable au cinéma dans les régions ultramarines. Au cœur de cette réforme se trouve la question cruciale des taux de location, élément déterminant dans la viabilité économique des salles de cinéma locales.
La proposition de loi « Conconne » prend en compte la réalité du marché cinématographique dans les Outre-mer, où la rentabilité de la diffusion est moindre qu’en métropole. Le taux de location, négocié entre les distributeurs détenant les droits de diffusion et les exploitants des salles de cinéma, impacte directement la marge des cinémas ultramarins. Plus ce taux est élevé, plus la rentabilité est faible, poussant les exploitants à augmenter les prix des billets, ce qui freine le développement des infrastructures cinématographiques dans ces régions.
La proposition de loi prévoit un plafonnement du taux de location à 35% pour les exploitants ultramarins, contrairement aux 50% pratiqués en métropole.
Musiques
Wilfried Bédacier & Kareen Guiock Thuram en concert
Une Odyssée Musicale aux Couleurs de la Caraïbe
Le New Morning, le temple du jazz parisien de la rue des Petites Écuries, a récemment vibré aux rythmes envoûtants du batteur martiniquais Wilfried Bédacier. Après ce passage réussi, l’artiste nous emmène dans un voyage musical captivant à travers son premier album solo, intitulé « My Self ».
Cet opus, fruit de la passion et de l’audace de Wilfried Bédacier, se présente comme un cadeau entre swing et fraîcheur, un reflet authentique de la riche diversité musicale de la Martinique. Dans une déclaration passionnée, le musicien affirme que sa musique est « une musique de partage, une musique d’union, une musique d’amour, faite d’influences, d’innovations et de fusion ».
« My Self » est bien plus qu’un simple album, c’est un défi instrumental brillamment relevé. Composé de neuf titres, dont « Kannajazz », « Yabel », « Foly Kariy », et « Chouval blues », l’album dévoile une palette sonore originale où les rythmes caribéens rencontrent le jazz effervescent. Wilfried Bédacier fait swinguer avec élégance et passion chaque composition, démontrant son amour pour la diversité musicale qui a rythmé sa vie de musicien.
Musiques
Hervé Martiny & Damián Nueva en concert
Cinéma
« Little Palestine, journal d’un siège », un film d’Abdallah Al-Khatib
Mardi 28 novembre au Teyat Otonom Mawon, Croix-Mission, F-de-F 🕊 Bar associatif 18h30 🍉 Séance 19h00
Titre original Little Palestine, Diary of a Siege
12 janvier 2022 en salle / 1h 29min / Documentaire
Little Palestine, journal d’un siège est un film documentaire syrien, tourné durant la guerre civile syrienne à Yarmouk, par le réalisateur palestinien Abdallah Al-Khatib, sorti en 2021. En France le film sort le 12 janvier 2022
Contexte historique
Yarmouk, ancien camp de réfugié palestinien en Syrie (le plus grand du monde), était devenu une ville populaire de la banlieue de Damas avant 2011. En 2011, au début de la révolution syrienne, dans le contexte des printemps arabes, la population de Yarmouk est considérée comme active dans les manifestations. Le régime de Bachar el-Assad et les services de renseignements y assurent la répression, avant d’assiéger la ville qui, comme bien d’autres villes de la banlieue de Damas, dont Daraya ou la Ghouta, se retrouve coupée du monde.
Synopsis :
Suite à la révolution syrienne, le régime de Bachar Al-Assad assiège le quartier de Yarmouk (banlieue de Damas en Syrie), plus grand camp de réfugiés palestiniens au monde.
Cinéma
Ciné Jazz 2023: « Nothing but a man » & « Cesária Évora, la diva aux pieds nus »
Lundi 27 novembre 2023 à 18h et à 20h / Tropiques-Atrium
Lundi 27 novembre 2023 / 18h / Tropiques-Atrium
Par Michael Roemer, Robert M. Young
Avec Ivan Dixon, Abbey Lincoln, Julius Harris
Date de reprise 15 mars 2023
Nothing But a Man est un drame américain réalisé par Michael Roemer, sorti en 1964.
Il est considéré comme l’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains.
Nothing but a Man est un film dramatique indépendant américain de 1964 mettant en vedette Ivan Dixon et Abbey Lincoln , et réalisé par Michael Roemer , qui a également co-écrit le film avec Robert M. Young .
Bien qu’il n’ait pas été largement vu lors de sa sortie en raison de difficultés à trouver une distribution, le film est désormais généralement considéré comme un exemple important du cinéma américain néoréaliste . En 1993, il a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».
Synopsis :
Duff Anderson travaille dans une équipe de cheminots de fer près de Birmingham, en Alabama , gagnant un bon salaire et menant une vie itinérante avec ses collègues noirs.
Cinéma
« Nothing but a man », un film de Michael Roemer
Lundi 27 novembre 2023 / 18h / Tropiques-Atrium
Par Michael Roemer, Robert M. Young
Avec Ivan Dixon, Abbey Lincoln, Julius Harris
Date de reprise 15 mars 2023
Nothing But a Man est un drame américain réalisé par Michael Roemer, sorti en 1964.
Il est considéré comme l’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains.
Nothing but a Man est un film dramatique indépendant américain de 1964 mettant en vedette Ivan Dixon et Abbey Lincoln , et réalisé par Michael Roemer, qui a également co-écrit le film avec Robert M. Young .
Bien qu’il n’ait pas été largement vu lors de sa sortie en raison de difficultés à trouver une distribution, le film est désormais généralement considéré comme un exemple important du cinéma américain néoréaliste. En 1993, il a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».
Synopsis :
Duff Anderson travaille dans une équipe de cheminots près de Birmingham, en Alabama , gagnant un bon salaire et menant une vie itinérante avec ses collègues noirs.
Festivals, Théâtre
Festival TNB 2023 : Les Forteresses, de Gurshad Shaheman
Où il sera parlé d’oppression, de résistance, de femmes debout et de liberté conquise !
–– Par Janine Bailly ––
Comme chaque année, le Festival TNB – théâtre, danse, cinéma, musique, performance – est venu illuminer, sur une période de dix jours, un mois de novembre breton partagé entre tempêtes intrusives et surgissements brefs de soleil. Difficile de faire ses choix, difficile de ne pas ressentir quelque frustration tant le programme s’est une fois encore avéré riche, divers, souvent surprenant, et réparti dans la ville, en des lieux autres que les trois salles du Théâtre National de Bretagne. Par bonheur, il est des médias qui vont s’aventurant hors du territoire parisien. Ainsi du magazine Les Inrockuptibles, dont le Cahier complémentaire fut fort utile à guider le spectateur dans ce labyrinthe de spectacles, de textes connus ou à connaître, de comédiennes / comédiens et metteurs / metteuses en scène célèbres ou à découvrir. Un éventail large ouvert, de la proposition la plus ésotérique – dans Grand Palais, de Julien Gaillard et Frédéric Vossier, l’improbable rencontre du peintre Francis Bacon et de son amant George Dyer – au spectacle le plus intimiste, le plus simple en apparence, celui que donne, seule en scène, Yasmine Yahiathène dans La Fracture.
Cinéma
« Cesária Évora, la diva aux pieds nus », un film d’Ana Sofia Fonseca
Lundi 27 novembre 2023 à 20h / Tropiques-Atrium
Par Ana Sofia Fonseca
Avec Cesária Évora
Titre original Cesária Évora
29 novembre 2023 en salle / 1h 34min / Documentaire, Musical
Synopsis :
Cesária Évora chante son titre Sodade en 1992, la faisant reconnaître internationalement à 51 ans. Longtemps simple chanteuse de bar au Cap-Vert, la légende que l’on connaît n’a pas toujours connu la gloire sinon la pauvreté. Femme profondément libre, généreuse et bien entourée, la “Diva aux pieds nus” a su finalement faire briller sa musique à travers le monde tout en restant fidèle à son Cap-Vert, la consacrant reine de la Morna et reine des coeurs.
La presse en parle :
Sud-Ouest :
Comment Cesaria Evora, chanteuse mélancolique, alcoolique et dépressive, est-elle sortie de l’ornière pour devenir une star mondiale ? Le film documentaire « Cesaria Evora, la diva aux pieds nus », réalisé et produit par Ana Sofia Fonseca, une ancienne journaliste portugaise, suit la chanteuse au quotidien en dehors de la scène et aborde toutes les périodes d’une vie mouvementée qui s’est terminée en décembre 2011.
Le Figaro :
Ana Sofia Fonseca fait des allers-retours dans l’espace et le temps, replace son parcours dans son contexte historique et social, pour tenter de le comprendre.
Musiques
Jazz’n Food avec Kélia Paulin
Mardi 28 novembre / 19h La Terrase Tropiques-Atrium Repas Compris
Savourez le jazz sous une autre forme avec des concerts gustatifs et la présence de chefs renommés à notre cafétéria en soirée.
Présentation de Kélia Paulin :
Kélia Paulin, originaire de la Martinique, incarne le parcours fascinant d’une ingénieure en marketing digitale qui, poussée par un « cri de douleur » durant le confinement, a renoué avec sa passion pour la musique après une décennie d’éloignement. Ayant repris le micro, elle s’est rapidement distinguée en revisitant des standards de la musique antillaise et caribéenne, marquant ainsi le début d’un projet artistique baptisé « Créole Cover. »
Sous l’accompagnement musical de David Korompli, Kélia a entamé ce voyage musical en interprétant des classiques tels que « Péyi mwen jodi » de Mario Canonges et « Ké sa lévé » de Kassav’, y ajoutant sa touche personnelle et ravivant ces joyaux de la Caraïbe. Son projet « Créole Cover » s’est poursuivi avec d’autres reprises, dont « Révé » de l’artiste Paille et « Ès ou sonjé » de Fernand Donation.
Depuis son retour à la musique, Kélia Paulin n’a pas cessé de séduire le public.