A Madiana à partir du 13 octobre 2018
Après l’Afrique dans « Kirikou et la sorcière », et l’Orient dans « Azur et Asmar », le cinéaste Michel Ocelot enlumine le Paris de la Belle Époque. « Dilili à Paris », son nouveau film d’animation sort ce mercredi 10 octobre sur les écrans français. Une fable qui mêle enquête policière, célébrités du début du XXe siècle et convictions féministes…
« Je m’appelle Dilili ». C’est une princesse qui vient de l’autre bout de la terre. L’autre bout de la terre, c’est la Nouvelle-Calédonie. La petite princesse kanake Dilili joue les sauvages dans un zoo humain parisien. Petite protégée d’une grande bourgeoise, elle va se lier d’amitié avec un coursier pédalant dans Paris sur son triporteur… Et tenter de démasquer les membres d’une société secrète qui enlève des fillettes.
Michel Ocelot au service de la cause féministe
Tout le beau monde du Paris de la Belle Epoque défile sur l’écran : Pasteur, Toulouse-Lautrec, Renoir, Proust ou encore Marie Curie. On retrouve l’humanisme de Michel Ocelot au service, ici, d’une cause féministe… Car les horribles mâles maîtres sont des hommes qui ne cherchent qu’à asservir des femmes.