Jusqu’au 31 août sur Arte
La Mort de Staline (The Death of Stalin) est une comédie satirique britannico-franco-belge coécrite et réalisée par Armando Iannucci, sortie en 2017. Il s’agit de l’adaptation de la bande dessinée française homonyme de Thierry Robin et Fabien Nury.
Avec Steve Buscemi, Simon Russell Beale, Jeffrey Tambor
Synopsis :
Le film débute par les deux concerts successifs du Concerto pour piano no 23 de Mozart interprété par la pianiste Maria Judina, public puis celui improvisé à la suite pour réaliser l’enregistrement demandé par Staline à la fin du premier concert. Pour obtenir des conditions acoustiques identiques, notamment par les applaudissements, des passants dans la rue viennent remplacer les spectateurs qui avaient déjà quitté la salle de concert. Le chef d’orchestre, victime d’une syncope, est remplacé par un chef ramené de son domicile, sorti brusquement du lit, qui dirige en pyjama. Le film montre le dictateur victime d’une attaque à la lecture d’un billet accusateur inséré dans la pochette du disque par la concertiste dont les proches ont été assassinés sur ordre de Staline.
Le film décrit les luttes de pouvoir à l’intérieur du cercle dirigeant qui s’amorcent dès l’agonie de Staline en mars 1953 et se développent dans les jours suivant ses funérailles.
Après une édition 2022 de tous les records, avec 52 000 personnes aux projections, et une augmentation de 40% de fréquentation, le FFA revient pour sa 16e année à la fin de l’été pour rendre hommage au cinéma suisse !
Avec : Katharine Hepburn, Henry Fonda, Jane Fonda.
7 mars 1979 en salle / 3h 03min / Drame, Guerre
La saga des Fonda, une dynastie d’acteurs célèbres, dévoile des parcours de vie entremêlés et complexes. Au cœur de cette histoire cinématographique se trouve Henry Fonda, un acteur qui jonglait entre Hollywood et Broadway, maintenant ainsi une distance avec sa famille. Ses enfants, Jane et Peter, ont observé de loin leur père, captivés par sa nature silencieuse et réservée. Cette dynamique familiale a influencé leurs propres trajectoires professionnelles.
— Par Margot Bonnéry —
Le podcast « Cinérameuf », animé par Alice Creusot, propose une relecture féministe de films emblématiques du cinéma. L’inspiration est née du visionnage de « Titanic », où Creusot décèle des dynamiques féministes sous-jacentes liées aux inégalités sociales et de genre présentes à bord du navire. Son ambition est de rendre le dialogue féministe et militant accessible en se penchant sur des films populaires. Chaque épisode est enrichi par la présence d’expert.e.s, qu’ils soient chercheur.se.s spécialisé.e.s ou professionnel.le.s du cinéma, pour approfondir les analyses.
Le film « Barbie », réalisé par Greta Gerwig et produit par Mattel, suscite un fort intérêt et des attentes mitigées en raison de sa campagne marketing intensive et de son concept audacieux. Cette œuvre cinématographique mélange subtilement le commercial et le féminisme, tout en critiquant les stéréotypes de genre.
Du 1er août au 31 décembre 2023, arte.tv propose cinq des films tournés par le cinéaste américain Jim Jarmusch dans la première partie de sa carrière. Musique, errance, rencontres singulières et humour désenchanté. Au programme : « Permanent Vacation », son film de fin d’études, » Down by Law », « Mystery Train », « Night on Earth » et « Dead Man ». Voir la présentation des films sur
Le documentaire « Sugar Man », réalisé par le Suédois Malik Bendjelloul en 2012, raconte l’histoire extraordinaire de Sixto Rodriguez, un musicien américain. Né en 1942 à Detroit dans une famille d’ouvriers mexicains, Rodriguez aspire à une carrière musicale. Malgré l’échec commercial de ses deux albums en 1969 et 1972, sa musique et ses textes engagés trouvent un écho en Afrique du Sud, où la jeunesse blanche en lutte contre l’Apartheid le vénère. Le documentaire suit l’enquête de deux fans, Stephen Segerman et un journaliste, pour retrouver Rodriguez, pensant qu’il s’est peut-être suicidé. Ils découvrent qu’il est toujours en vie, vivant modestement à Detroit et père de trois filles. Sa redécouverte le mène à une seconde vie artistique prolifique et à une renommée mondiale. Malgré des années difficiles et une santé fragile, Rodriguez conquiert un nouveau public. Il décède à l’âge de 81 ans en 2023. Le film remporte l’Oscar du meilleur film documentaire en 2013 et décrit la quête des fans pour percer le mystère entourant le musicien, bien que certaines critiques aient souligné des omissions quant au succès de Rodriguez dans d’autres pays.
William Friedkin, né le 29 août 1935 à Chicago (Illinois) et mort le 7 août 2023 à Los Angeles (Californie), est un réalisateur, scénariste et producteur américain.
Par Christopher Nolan
Je ne suis pas d’ici, je suis ici 
Dans le cadre des ateliers Passeurs d’Images 2023, nous recherchons des actrices et acteurs amateurs ou professionnels pour un casting à Ciné Woulé Company dans le bâtiment du Tropiques Atrium en salle Case à vent, au 1er étage, pour le tournage d’un pilote de série réalisé entre le mercredi 26 juillet et le mercredi 02 Aout 2023. Attention pas de rémunération, juste un défraiement en fonction des circonstances du tournage.
La réalisatrice Sonia Dauger réalise un brillant portrait des deux sœurs et documente l’immense influence de ces tenniswomen sur une société américaine encore bien trop discriminante.
Avec son mélange de séduction et d’intelligence, sa facilité à étaler ses sentiments sous des dehors pudiques, l’artiste, qui occupait une place à part dans la cartographie des stars françaises, est morte à Paris, dimanche.
1991 – Canada – 59 min
1ère PARTIE (18h30) :
Dans une compétition de longs-métrages au niveau chaque année plus élevé, « Linda veut du poulet ! », de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach, a remporté samedi le Cristal d’Annecy, plus haute récompense mondiale – avec l’Oscar – du cinéma d’animation. Du côté des courts-métrages, le jury a couronné « 27 », de Flora Anna Buda, déjà récompensé à Cannes il y a trois semaines avec la Palme d’or de la catégorie. 
un film de Renaud Le Van Kim
Retour, avec ses protagonistes, sur la genèse de « Grâce à Dieu » de François Ozon, chronique puissante et sensible d’un scandale réel de pédophilie dans l’Église, dont l’écho fut retentissant.