7, 8 & 14 décembre 2016 Madiana VO
Un film de Ira Sachs
Avec Theo Taplitz, Michael Barbieri, Greg Kinnear
Genre Drame
Nationalité Américain
Synopsis :
Une famille de Manhattan hérite d’une maison à Brooklyn, dont le rez-de-chaussée est occupé par la boutique de Leonor, couturière latino-américaine. Les relations sont d’abord très cordiales, notamment grâce à l’amitié entre Tony et Jake, les enfants des deux foyers. Mais le loyer de la boutique s’avère bien inférieur aux besoins des nouveaux arrivants. Les discussions d’adultes vont bientôt perturber la complicité entre voisins
La presse en parle :
La Voix du Nord par Philippe Lagouche
Ces petits hommes qui deviennent grands, leur intime vérité, leurs regards sur ce qui les surplombe, Ira Sachs les filme avec une grâce bouleversante et une ouverture d’esprit qui semble ne pas connaître de limite.
Le Monde par Mathieu Macheret
A la fin de Brooklyn Village, on aurait presque envie de remercier Ira Sachs, son réalisateur, figure encore discrète mais déjà vénérable de la scène indépendante new-yorkaise, pour avoir tant pris soin de ses personnages, pour les avoir filmés comme s’il tenait avant tout à les protéger.
Le Figaro par Eric Neuhoff
On en sort des étoiles plein les yeux, le cœur battant la chamade, comme après un concert de Simon et Garfunkel à Central Park.
Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Un film d’amitié et d’apprentissage, comme un adieu à l’enfance, où la délicatesse de touche cache la cruauté sous-jacente d’un monde qui change.
Positif par Pierre Eisenreich
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, « Brooklyn Village » offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d’aujourd’hui : l’espoir d’une société métissée et urbaine traversée par la violence de l’argent.
Femme Actuelle par La Rédaction
Une jolie chronique adolescente portée par deux jeunes acteurs talentueux. Et un état des lieux sur un quartier en pleine mutation.
L’Humanité par Dominique Widemann
De film en film, Ira Sachs aiguise son sens des nuances et en élargit la portée. Là il parvient à ce petit miracle qui consiste à cristalliser à l’écran tout ce qui est mobile, libre, aérien dans ce qui lie Jake et Tony en dépit de leurs différences, brossées sans surcharges.
Positif par Pierre Eisenreich
Avec une très grande sensibilité qui rend honneur à la précision des sentiments du théâtre de Tchekhov, Brooklyn Village offre un des regards les plus riches sur les États-Unis d’aujourd’hui : l’espoir vivant d’une société métissée et urbaine traversée par la violence de l’argent.
Culturopoing.com par Danielle Lambert
Epures, ellipses et élégance du montage brodent tout en légèreté un travail aérien qui nous enrobe dans la gaze irréelle des relations adolescentes fusionnelles.
Libération par Clémentine Gallot
Derrière ce portrait spleenétique et secret d’une entente juvénile, on a rarement vu New York ainsi magnifié, sans mièvrerie ni œillades touristiques (…).
Cahiers du Cinéma par Jean-Sébastien Chauvin
Cette douceur, dont le film ne se départit jamais, tient au regard d’Ira Sachs, à cette sorte de tempérance d’honnête homme, son art mesuré et profond de la description des vies qu’il filme, où le détail prévaut sur la superstructure, la sublime insignifiance des choses ayant une portée aussi grande que le climax d’une scène intelligemment scénarisée.