— Le n° 311 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Rectificatif :
Nous présentons nos excuses pour une malencontreuse omission dans le dernier article sur le « congrès des élus ». En évoquant le vote à l’unanimité de ce congrès, nous n’avons pas signalé que les élu·e·s du Gran Sanblé et de Peyi-a avaient boycotté la séance avec des explications fortes. Une déclaration préalable de Daniel Marie-Sainte, des écrits de Francis Carole, entre autres, ont mis l’accent sur le caractère bâclé de la préparation de ce congrès, sur l’absence de volonté d’associer la minorité aux débats, sur l’oubli des maires dans l’essentiel de la démarche, sur la priorité accordée aux discussions avec le pouvoir à travers le C IOM. On ne peut que partager cette critique d’une stratégie majoritaire qui, au fond, table sur la sagesse introuvable du pouvoir colonial.
ALLER PLUS LOIN
Nous pensons néanmoins qu’il faut aller plus loin. La constitution d’un bloc d’élu-e-s comprenant tous les partisans d’un changement institutionnel, faisant suite à une large consultation de la « société civile », serait certes supérieure au cafouillage actuel.