— Le n° 305 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
L’article du précédent RS sur le sujet, a semble-t-il suscité quelques réactions. Pawol-la ki té long!
L’éclatement en fin de semaine de la mobilisation dans la pizzeria de « Ma ville à moi » vient illustrer notre propos. Le tract du syndicat CDMT que nous reproduisons ci–dessous, donne les éléments principaux.
Le harcèlement ici, tire son origine d’un événement lamentable mais prend corps dans la légèreté, l’indifférence, l’incompétence de la hiérarchie dans le traitement du problème. Comme dans la grande majorité des cas, la victime est en–bas et les responsables en–haut : un supérieur hiérarchique, une directrice, une patronne.
Pour corser l’affaire, un haut responsable du centre qui aurait dû mettre son autorité du côté de l’évidente solution, joue la posture d’une frauduleuse neutralité au service de « en–haut ».
Ajoutons que le « cadre ? » agresseur est un homme jeune, et la victime une femme plus âgée.