Extravagans an Chinpongtong
An Chinpongtong…voilà bien une expression de chez nous !
Il s’agira d’utiliser, cette expression, comme un levier de résilience, de renaissance, de réappropriation identitaire. Une autre façon de concevoir notre écologisme.
Comment faire du vieux du neuf, du beau à partir du « brindezingue » en les sublimant de façon grandiose et démesurée ?
Qui n’a jamais sorti son « Rad Kabann » ?
Qui n’a pas ressorti, customisé et donné une deuxième vie à un vêtement oublié du fond de son armoire ?
En ces temps où l’inflation prends le dessus, ces temps de cherté en constante augmentation, ne sommes-nous pas amenés à trouver des « parades » à nous redonner du sens, nous réinventer.
Notre créativité prend tout son sens là où tout nait de peu, quand « Fey Bannann sek » devient « Marianne Lapofig » et Mélasse, « Neg gwo Siwo ». Voilà, où prend naissance notre identité culturelle profonde.
Faire montre, à profusion, de nos compétences, de notre créativité infinie…
L’un des objectifs est de « vider », les corps et esprits dans une époustouflante « cavalcade ».