— Par Hélène Lemoine —
La troisième édition du Salon du Livre Africain de Paris a fermé ses portes ce dimanche 17 mars 2024 après trois jours d’échanges, de découvertes littéraires et de célébration de la richesse culturelle du continent africain. Depuis vendredi, la mairie du 6e arrondissement de Paris, place Saint-Sulpice, a vibré au rythme des mots, des idées et des réflexions partagées par près de 200 auteurs et 80 éditeurs venus des quatre coins du monde.
Cette édition ambitieuse, qui s’est déroulée dans un contexte de mondialisation de la littérature africaine, a rassemblé des voix venant d’Afrique, d’Europe, d’Amérique et des Caraïbes. Sous le thème évocateur « Décloisonner les imaginaires, repenser les futurs », le salon a proposé une trentaine de conférences et de tables rondes, abordant des sujets divers dans les domaines de l’histoire, de la littérature, des contes, de l’actualité, de la bande dessinée et de la littérature jeunesse.
Un des moments forts de cette édition a été l’hommage rendu à deux figures majeures de la littérature africaine du vingtième siècle : Henri Lopes et Tchicaya U Tam’si.