L’Afrique du Sud se prépare à la disparition de l’ancien président Nelson Mandela, hospitalisé depuis 17 jours.
Nelson Mandela «est toujours dans un état critique à l’hôpital», a déclaré le chef de l’Etat Jacob Zuma devant la presse internationale à Johannesburg, répétant les termes utilisés la veille pour annoncer une brusque dégradation de l’état du grand homme. «Les médecins font tout leur possible pour s’assurer de son bien-être et de son confort», a-t-il ajouté, sans révéler le type de traitement ou de soins reçus par Mandela.
«Je suis allé à l’hôpital hier soir (dimanche) (…) Vu l’heure, il dormait déjà, nous l’avons vu, nous avons un peu discuté avec les médecins et avec sa femme Graça Machel. Je ne suis pas en mesure de vous donner d’autres détails, je ne suis pas médecin», a-t-il ajouté lors de ce point de presse prévu de longue date pour évoquer les élections de 2014.
Les traits tirés, il a évoqué «un moment difficile». Le héros de la lutte contre l’apartheid doit fêter ses 95 ans le 18 juillet.
La réponse est oui : nous sous-estimons la gravité de la situation, car ce qui se passe échappe à nos mesures.
Ce qui est en jeu, c’est le moral et la confiance . Le moral des entrepreneurs guadeloupéens , avec moins de stocks et aussi moins d’investissement, et on voit ce qui se passe avec la décélération du crédit, notamment aux petites et moyennes entreprises, le moral des ménages, et on voit la chute de la construction, et aussi le freinage de la consommation.Ce moral est essentiel, en liaison avec ce qui se passe ailleurs en France Métropolitaine , avec les impôts,avec les charges , avec le chômage. En même temps, et ceci échappe encore plus aux statistiques de l’INSEE et des analyses de conjoncture de l’IEDOM , tous les agents économiques sont plus aux aguets et réactifs que jamais et ce alors que la situation exige d’être surtout pro-actifs.