—Par Sarha Fauré —
L’affaire des airbags défectueux de la marque Takata continue de provoquer des vagues, cette fois en Guadeloupe. Dix enquêtes ont été ouvertes, portant des chefs d’accusation d’« homicide » ou de « blessures involontaires », suite à des incidents graves impliquant des airbags de véhicules Citroën, Ford, Toyota et Nissan.
La genèse du scandale
L’affaire remonte à 2014, lorsque les autorités américaines ont confirmé que la détérioration d’un gaz dans les airbags Takata les rendait potentiellement dangereux, surtout dans les climats chauds et humides. En cas d’accident, le déploiement de l’airbag pourrait projeter des fragments métalliques, causant de graves blessures. Depuis, des millions de véhicules ont été rappelés mondialement.
Un déploiement chaotique en Guadeloupe