— Déclaration de l’UPLG—
Coordonner les luttes et préparer la prise du pouvoir
La Guadeloupe vient de connaître deux semaines intenses en mobilisation marquées par :
– Le renforcement de la mobilisation des travailleurs des Sablières de Gourbeyre et de Deshaies, ainsi que de ceux de l’hôpital de Beauperthuy à Pointe-Noire qui luttent depuis plus de deux mois face à des patrons qui se croient encore au temps de la plantation et qui ne veulent rien lâcher face aux revendications des travailleurs.
– Les manifestations autour du 14 février et le rappel des répressions sanglantes du 14 février 1952 en Guadeloupe et du 14 février 1974 en Martinique.
– Mois de la disparition de Roland Thésauros, de Sony Rupaire, insoumis de la guerre d’Algérie, ainsi que de Jean Barfleur, trois anciens dirigeants de l’UPLG qui ont su montrer leur grande clairvoyance dans l’avènement du mouvement patriotique guadeloupéen.
– Les attaques de la justice française contre la liberté d’expression à travers la convocation de Luc Reinette, militant patriotique, devant les forces de gendarmerie qui a mobilisé de nombreux militants.


La crise sanitaire du COVID 19 nous ouvre une occasion inédite de remettre en cause les diktats économiques qui ont été constitués en lois d’airain lors de ces dernières décennies de départementalisation, au premier rang desquels la primauté de la croissance avec pour moteur la consommation …. Clé de l’emploi et de la croissance en Martinique et Guadeloupe , élément de différenciation sociale, la consommation a fait l’objet d’une grande variété d’analyses mais trop souvent sous un prisme idéologique.
Autrefois, il y avait une fille maligne qui criait partout vouloir voir Dieu pour lui demander de grosses fesses. A ce propos, Dieu lui a demandé d’aller tuer ses parents, afin de trouver ces belles proportions.
INTRODUCTION
Avec Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié
Avec Alexandre Wetter, Pascale Arbillot, Isabelle Nanty
Avec Mercedes Hernández, David Illescas, Juan Jesús Varela
Avec Zhao Xiaoli, Gan Guidan, Liu Min
Selon l’étude annuelle du Forum économique mondial, il faudra encore compter plus de 135 ans pour parvenir à l’égalité femmes-hommes dans le monde.
Scandale du chlordécone : plusieurs milliers de manifestants en Martinique contre « l’impunité »
Autour De Muryelle Moulferdi, directrice du projet, une équipe s’est mobilisée pour présenter des œuvres de l’artiste plasticien HAMID, martiniquais d’origine marocaine et décédé en 1997. En ressortant son œuvre intemporelle, cette exposition veut faire comprendre et partager les valeurs transculturelles de son expression artistique plastique poétique, liées à la « diversalité » (Edouard Glissant) et à l’universalité de ses thèmes. Sous le commissariat de la plasticienne Marie GAUTHIER et du scénographe Pierre MONTAGARD, la Villa Chanteclerc accueillera dans son bel espace, plus une trentaine de dessins et une dizaine de peintures.
Note d’intention
Avec Nahéma Ricci, Rachida Oussaada, Nour Belkhiria

Plusieurs milliers de personnes ont commencé à manifester samedi à Fort-de-France, en Martinique, contre la prescription d’une plainte déposée il y a 14 ans pour empoisonnement au chlordécone par des associations martiniquaises et guadeloupéennes. «Matinik lévé» (Martinique, lève-toi!), scandent les manifestants, rassemblés par une quarantaine d’associations, de syndicats et de partis politiques de l’île pour dire «non à l’impunité» et réclamer une justice pour les victimes de l’insecticide. «Ils nous empoisonnent, ils nous tuent», affirme une banderole de la CGT Martinique tenue par deux femmes vêtues de rouge. Dans un air de carnaval, d’autres manifestants avaient opté pour le rouge, vert ou noir, couleurs du drapeau revendiqué par les indépendantistes.
Roues arrières avec des motos, des scooters, des pocket-bikes ou encore des quads. La lutte contre les rodéos motorisés, dits rodéos sauvages ou rodéos urbains fait l’objet d’un cadre juridique visant à prévenir et réprimer ces pratiques dangereuses. Rappel des sanctions prévues pour ces comportements avec Service-Public.fr.
C’est une consécration pour la soprano Marie-Laure Garnier ! La jeune chanteuse a reçu la prestigieuse Victoire de la Révélation artiste lyrique de l’année. Une victoire qu’elle dédie à tous les chanteurs en herbe des Outre-mer.
Dès 1975, après avoir écouté un ami exprimer ses doutes quant aux possibilités de développement de la Martinique et m’inspirant d’un mot de Paul Valéry (1931), il m’était venu l’idée d’intituler une tribune : « Le temps de la Martinique finie commence ? ». N’est-on pas en effet arrivé en Martinique au bout de quelque chose qui devrait nous ramener à l’essentiel ?
Alain Bentolila, linguiste et auteur de « Nous ne sommes pas des bonobos, créateurs et créatures » publié prochainement aux éditions Odile Jacob, estime que la langue est la seule capable de bâtir une identité nationale et de combattre le séparatisme.