— Par Raphaël Vaugirard —
Dans son article « La décrépitude démographique : problème n°1 de la Martinique » Gerry Létang pousse une vraie interpellation, une fois de plus, sur notre problématique démographique. Sa principale solution pour sortir de cette « décrépitude » prise comme une fatalité, serait un « appel à l’immigration ». Ce qui devrait alimenter le débat en cette période préélectorale de la CTM en juin prochain. Selon lui, la politique d’accueil de populations aurait déjà fait ses preuves pour d’autres territoires insulaires confrontés au même casse tête de déperdition de populations.
Il est en effet urgent de progresser et de débattre de cette question majeure d’autant que nombre de réflexions menées à ce jour n’en ont ni épuisé les aspects, ni apporté un éclairage satisfaisant capable de faire consensus. Et pour cause, un dossier aussi complexe commande une véritable recherche approfondie pluri et interdisciplinaire des sciences sociales. C’est ce qui m’autorise à tenter de démontrer que la question démographique est en résonnance avec les politiques publiques et de développement. On ne résout pas un problème démographique par des solutions démographiques, mais par des politiques de développement.


Les résultats de cette étude israélienne démontrent « l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19 », assurent les laboratoires Pfizer et BioNTech.
Il était une fois un vieil homme et Yogourou, le Renard pâle. Ils étaient de bons amis. Chaque fois qu’ils se rencontraient, Yogourou prédisait l’avenir de quelques personnes du village.
Sao Paulo – Le Brésil a battu mardi son record journalier de décès du Covid-19, avec 1.972 décès officiellement signalés, sans aucun signe de ralentissement de la pandémie dans un pays où le système hospitalier est débordé et où la vaccination progresse lentement.
Il était une fois une femme qui n’avait pas eu de garçon. Dieu ne lui a pas donné de garçon et elle est en quête d’un garçon.
Et le scandale est encore plus grand car la majorité, jusque là silencieuse, ne réagit pas massivement contre un groupuscule dont le travail de sape de notre société se poursuit depuis près de quarante ans afin d’instaurer ses terribles valeurs.
Depuis décembre 2018, notre groupe Ba Peyi-a An chans n’a cessé d’alerter la classe politique et la population sur les dérives de la gouvernance actuellement à la tête de l’Université des Antilles ! Lors d’une conférence de presse, nous pointions déjà du doigt :
Présentation

Suite à une forte crise politique, une petite île vit une rupture systémique avec les PK, grands producteurs et distributeurs alimentaires jusqu’alors détenteurs du monopole économique local. Mais au beau milieu de cette restructuration sociétale et en pleine aire de changement climatique, les populations les plus vulnérables se voient fortement affectées.
Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement2. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que trois ans plus tard, le 15 mars 1832, que Victor Hugo complète son roman par une longue préface qu’il signe de son nom.
Cyrilia, j’ai dit bonjour !
MOI KADHAFI !
Texte original en anglais traduit en français par Adélaïde Pralon
Avec Nguyen Phuong Tra My, Tran Nu Yên Khê, Mai Thu Huong
Bourges – Jean-Jacques Annaud a débuté mardi à Bourges le tournage de son film sur l’incendie de Notre-Dame-de-Paris, survenu le 15 avril 2019. Il a expliqué à l’AFP son ambition de donner aux spectateurs l’envie « de retourner dans une grande salle » pour une histoire « tellement invraisemblable ».
Un jour le lapin se lève pour aller voir l’hippopotame et il lui dit que l’éléphant lui a dit: » Si l’éléphant t’attrape en brousse, il va te tuer».
« SHE » ou les joies d’une Femme