Hollywood (Etats-Unis) – La soirée des Oscars dimanche ne ressemblera décidément à aucune autre: elle est diffusée en direct d’une gare art déco de Los Angeles, récompense des films majoritairement vus en streaming et rassemble des stars d’Hollywood pour la première fois depuis le début de la pandémie.
« Nomadland« , hybride de road movie, de drame social et de documentaire qui suit des Américains âgés vivant sur les routes après avoir tout perdu lors de la crise des « subprimes« , est considéré comme le grand favori pour la récompense suprême du « meilleur long-métrage« .
Cinq autres Oscars sont également à la portée du film de Chloé Zhao, qui se réjouit à l’idée de retrouver le gratin d’Hollywood après un long confinement.
« Nous voulons voir nos amis! Nous avons beaucoup d’amis nominés cette année et nous avons vraiment hâte de les voir« , a déclaré Chloé Zhao à propos de cette 93e édition.
Les fans risquent cependant de rester sur leur faim car le tapis rouge a cette année été réduit à sa plus simple expression, afin de respecter les règles sanitaires et la distanciation sociale.

Washington – Joe Biden a reconnu samedi le génocide arménien, devenant le premier président des Etats-Unis à qualifier ainsi la mort d’un million et demi d’Arméniens massacrés par l’Empire ottoman en 1915.
Parenthèse virale
Déjà primé à Venise, Nomadland de la réalisatrice Chloé Zhao apparaît comme le grand favori d’une cérémonie qui, en l’absence de très grosses productions, fait la part belle au cinéma indépendant et à la représentation des minorités.
L’ensemble de la communauté pédopsychiatrique française lance, dans une tribune au « Monde », un cri d’alarme sur la situation de la pédopsychiatrie, déjà en grande difficulté avant la pandémie et qui l’est encore plus actuellement, pénalisée par la pénurie de spécialistes.


En dépit des rodomontades des élus locaux sur la question de la responsabilité, et des fausses apparences d’un pouvoir territorial , l’autorité de l’Etat, même bafouée , a encore de beaux jours devant elle . Désormais cela doit être dit et compris : soyons clairs, c’est l’Etat qui commande et nul autre ! En effet, le rôle de l’Etat est devenu majeur en Guadeloupe et en Martinique avec la crise du coronavirus. La question fait de plus en plus débat : la prééminence de l’Etat dans la gestion de la crise prévue pour les prochains mois sera-t-elle temporaire, illustrant un net rebond après la récession de l’économie engendrée par la Covid-19, ou persistera-t-elle, reflétant des facteurs durables d’entraînement de la société Antillaise ? Plusieurs arguments plaident en faveur d’une augmentation séculaire persistante du rôle de l’État français. Les effets de la révolution numérique en Guadeloupe et en Martinique vont altérer la structure de l’emploi et modifier en profondeur la société . De nouveaux emplois et de nouvelles familles d’emploi vont apparaître, d’autres disparaître ou ne seront plus viables, et les entreprises devront trouver les moyens d’organiser le travail et la production locale de manière différente, et là le rôle de l’État sera prépondérant dans la nouvelle définition des politiques publiques.
À l’approche des jours fériés du mois de mai, Service-Public.fr vous explique comment calculer un délai de 7 jours, selon que l’on parle de jours calendaires, francs, ouvrables ou ouvrés.
En raison de la propagation du virus dans certains pays, et en particulier de plusieurs variants, les mesures de contrôle des arrivées depuis ces pays sont renforcées. À compter du samedi 24 avril 2021, une quarantaine de 10 jours sera imposée aux voyageurs en provenance de l’Argentine, du Brésil, du Chili, de Guyane, d’Afrique-du-Sud et d’Inde. Le dispositif de test avant l’embarquement sera plus strict. C’est ce qu’annonce un communiqué de presse du Gouvernement.
Qui ne se souvient de la Semaine sainte telle qu’elle fut pratiquée, notamment le jeudi saint, le vendredi saint et le samedi gloria ? Les cloches des églises faisaient relâche jusqu’au samedi tandis que les croix, statues et images étaient voilées. Pour remplacer les cloches les enfants de chœur se répandaient dans les rues en faisant crisser des crécelles, sorte de moulinet en bois qui s’appelait rara en Martinique. Ce mot provient peut-être du mot ara qui est une variété de perroquet de l’Amérique tropicale. D’où l’expression courante à l’époque « parler comme un rara ». On retrouve le mot ara à Haïti pour désigner une musique mystique jouée, notamment, au cours de la Semaine sainte, ce qui peut être considéré comme un point commun avec la Martinique. Une autre pratique, le « battre Judas », consistait pour les fidèles de la paroisse à circuler dans les rues en frappant sur des boîtes vides symbolisant Judas, l’apôtre qui a trahi Jésus. Des jeunes dévoyés profitaient parfois pour se livrer à des exactions comme des lancers de pierres sur les maisons. En cette fin de semaine des 20, 21, 22 et 23 avril 1848, le phénomène prit un tour particulier.
Le format « Images de science » vous propose de décrypter une photographie particulièrement signifiante d’un point de vue scientifique, de la décrire et d’en comprendre les enjeux.
Dans son rapport, Michel Wieviorka exprime ses réserves sur les usages politiques et militants de certains concepts sociologiques et dénonce l’influence du Printemps républicain ou de l’Observatoire du décolonialisme, accusés de manquer de nuance.
Huarochirí (Pérou) – Dans les hautes montagnes de la province de Huarochiri, dans le centre-ouest du Pérou, une ONG et des habitants réhabilitent un réseau de canaux de pierre datant de l’ère pré-hispanique qui pourrait assurer un approvisionnement en eau à des dizaines de milliers de personnes.
Paris – Pour lever « tout doute », le Premier ministre Jean Castex a saisi le Conseil constitutionnel concernant l’article 24 controversé de la loi pour une « Sécurité globale », qui vise notamment à protéger les forces de l’ordre contre toute volonté malveillante de les identifier.
Ce qui a commencé comme une simple collecte solidaire s’est changé en une armée de 450 bénévoles. L’association Co’p1 qu’a fondée cet étudiant lutte en première ligne. Pas sur le front sanitaire, mais sur celui, tout aussi brûlant, de la précarité étudiante.
Les suites données au rapport Racine suscitent davantage de déception que d’adhésion de la part de ceux qui s’estiment oubliés des politiques publiques.
— Par Marie-Hélène Léotin (*) —
Portobelo (Panama) – « Il y a vingt-cinq ans, la zone corallienne de Portobello était plus grande » mais « le réchauffement climatique, l’augmentation de la pollution » l’ont endommagée, regrette Diego Valladares, étudiant de 19 ans membre d’un projet de restauration du récif corallien de Panama.
Croyez-en vos yeux, avait dit le procureur de l’État. Et le jury a cru ce qu’il a vu, et que le monde entier a vu : un policier posant son genou sur le cou d’un homme qui n’a menacé personne, un homme menotté qui supplie, qui crie manquer d’air, qui appelle sa mère.
Les statues de personnages qui ont fait malgré tout l’histoire en bien ou en mal, font tout de même partie de notre histoire à tous… La culture, le savoir et l’instruction donnent le pouvoir, la liberté et l’indépendance… Cela évite d’être manipuler et d’être l’instrument des autres!
