— Par Jean-Marie Nol, économiste —
L’actualité politique française est dominée par une série de manœuvres et de stratégies qui, bien que parfois difficiles à comprendre, reflètent une réalité économique et financière sous-jacente. L’un des éléments les plus intrigants de cette période est la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, une décision qui semble avoir plongé le pays dans une nouvelle phase d’incertitude. Alors que beaucoup se concentrent sur les implications politiques et institutionnelles de cette action, il est crucial de se pencher sur les véritables motivations économiques et financières derrière cette démarche. Nous sommes bien en présence d’une dissolution aux conséquences obscures. Ainsi la récente dissolution de l’Assemblée nationale, suivie par une victoire relative de la gauche, n’a fait qu’obscurcir le paysage politique français. Aucun « vainqueur clair » n’émerge de ce scrutin, laissant le pays dans une situation de statu quo politique. Emmanuel Macron, pourtant en position de gouverner avec une majorité relative, a choisi de sacrifier cette stabilité. Pourquoi ? Cette question reste sans réponse précise, les politologues et les journalistes n’ayant pas encore élucidé les motivations exactes du président.