— Communiqué de Renaissance Martinique —
L’effondrement du pont de Soudon est une catastrophe de plus pour le Nord de la Martinique, dans la mesure où ce sont les populations du Robert et de tout le Nord de l’île qui se trouvent brutalement enclavées, en grand difficulté pour se rendre au travail à Ducos, au Lamentin ou à Fort-de-France. C’est dès 4h du matin qu’on part en vain du Lorrain, nous dit-on. Une pétition circule, mais sérieusement, on n’arrivera pas à régler le problème d’un coup de baguette magique.
Cette situation rappelle l’urgence absolue que Renaissance Martinique et son président Max Orville avaient identifiée. Notre circuit routier est vieux, voire souvent vétuste. Le remettre en état est une nécessité à laquelle s’applique la CTM, mais cela ne saurait suffire.
En fait, le réseau routier nécessite d’être repensé, comme le proposait Renaissance Martinique lors de la récente campagne électorale ; et tout le monde a bien compris que le projet de dorsale était l’élément clé qui plaçait le sud ou le nord à un quart d’heure de n’importe quel point de l’île.