— Par Yves-Léopold Monthieux —
Alors que le pouvoir d’achat et le plus d’Etat envahissent les ondes et la campagne législative, je vous soumets une réflexion, non dénuée de dérision, parue le 16 janvier 2008 et intitulée : « Le vouloir d’achat peut rendre fou (Contrechroniques) ». Notons qu’en ce moment électoral où le populisme règne plus que jamais en maître, les mots autonomie et indépendance sont couverts d’un voile sémantique impénétrable verrouillé par les coups de menton en provenance, notamment, du bouillant parti communiste martiniquais. Mais pas que… Un jour « la responsabilité martiniquaise avance », huit jours plus tard, elle est « expressément exigée » … pour tout l’Outre-Mer français, comme pour se rappeler que l’idéal du défunt communisme avait eu vocation à être international. Le même langage utilisé post-mortem que celui du temps de la prospérité du PCM qui put diriger l’ex-conseil régional avec seulement trois élus.
Voilà donc, avant de conclure, ce vouloir d’achat qui peut rendre fou.
« L’un des principaux débats de ce début d’année est celui de la baisse du pouvoir d’achat.