— Le n°256 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
24h en Guadeloupe, 24h en Martinique. Jean-François Carenco, en coup de vent, était venu nous dire combien « la France aime les outre–mer» !
Quelques heures consacrées aux syndicats, histoire de jauger ceux à qui il aura affaire, vues les attaques ciblées de la Macronie.
Nous avons choisi pour l’occasion, de reproduire la déclaration de la C.D.M.T. envoyée à la presse. Elle fait un tour d’horizon des défis qui, en réalité, attendent le mouvement populaire.
La C.D.M.T. salue comme une courtoisie démocratique de bon aloi, l’invitation faite aux organisations syndicales à une rencontre avec J-F Carenco. Elle ne se fait cependant, aucune illusion sur la politique qui sera menée par un gouvernement dont la composition même évoque une manière de conseil d’administration du grand capital, s’il n’est confronté à un très puissant mouvement social.
Un gouvernement, qui aurait à cœur de poser sérieusement les problèmes des couches laborieuses de la population, n’aurait aucun mal à définir une feuille de route.