11 search results for " Myrna Nérovique"

« Le rêve de nos amours… », de Myrna Nérovique

Le rêve de nos amours…
Le rêve d’être dans tes bras et d’y rester…
Le rêve de toujours s’aimer…

« Le rêve d’être heureuse auprès de toi et que ce charivari cesse dans nos vies… »
Tel est le message que veut délivrer ce nouveau recueil de poésie de Myrna Nérovique. Il raconte le mariage chrétien de deux êtres qui s’aiment à la folie et qui rencontrent des difficultés comme dans tout couple. Leurs enfants sont leur joie de vivre.
Le rêve de nos amours est un recueil de poésie fictif qui aborde le mariage chrétien d’un homme et d’une femme, et raconte les moments de joie de ce couple, ainsi que ses difficultés. Le lecteur l’accompagne dans la joie de s’aimer, le bonheur d’être parents et bienheureux, malgré les maux de l’existence…
Myrna Nérovique nous fait à nouveau découvrir ses croyances, la beauté de l’amour et du désir, mais aussi quelques dessins et peintures ainsi que l’une de ses chansons, démontrant ainsi ses diverses facettes artistiques.

Juste pour parler d’amour

L’amour qui me gonfle tel un four,
Me fait chanter de l’Aznavour.

→   Lire Plus

« Des rêves pour un regard », un premier roman de Myrna Nérovique

Lorsque son regard croise celui d’Armand par une belle matinée au lycée de Bellevue, Saphir tombe immédiatement sous le charme du jeune homme. Les jours suivants, elle le recroise à de nombreuses reprises dans les couloirs. Pour elle, c’est le coup de foudre, une véritable attirance la lie à lui.
Mais ses sentiments sont-ils réciproques ?
Qu’en pensent les amies de la jeune lycéenne ?
Voient-elles cette passion naissante d’un bon oeil ?
Dans ce roman young adult, Myrna Nérovique nous remémore les papillons dans le ventre des premières amours adolescentes…

*******

La vue sur l’océan était merveilleuse ce matin-là, depuis le lycée de Bellevue. Il n’y avait pas un nuage à l’horizon. Le ciel était d’un bleu parfait. Nous étions regroupés, à l’époque, près de l’ancienne vie scolaire, afin d’attendre les transports scolaires qui devaient nous conduire à Madiana.
Quand elle eut fini l’appel pour notre seconde, elle se dirigea vers un groupe d’élèves qui paraissaient un peu plus âgés. Et c’est là que je l’ai vu, j’ai à peine tourné la tête et mon regard s’est posé instantanément sur lui.

→   Lire Plus

« Mon coeur m’intime une fleur. » par Myrna Nérovique

Mon coeur m’intime une fleur,
Qui m’octroie un immense bonheur,
Dans une superbe innocence,
S’éclatant dans une indolence.

Mon coeur m’intime des sentiments,
Qui attisent mon tourment.
Et, la nuit qui décrit mon âme,
S’idolâtre dans une flamme.

Et, le rêve me donne une vie,
Je m’envole vers le paradis.
Une étoile s’élance vers moi,
Et, doucement, je retrouve la foi.

NEROVIQUE Myrna

→   Lire Plus

Tiédeurs de Minuit.

— Par Myrna Nérovique —

L’antre de mon bonheur,
M’intime cette tiédeur.
L’amour à la Sardou,
Te rend doucement fou.

La vie me semble impossible,
Dans mes passions où tout drible.
La bonté de mes yeux doux,
S’irrite de l’immensité du roux.

La rigueur de nos ardeurs,
Fane allègrement ces fleurs.
Je t’aimerai toujours à la folie,
Dieu le sait, comme le dit Sophie.

Myrna Nérovique

→   Lire Plus

Ébauche de roman : L’ homme de mes désirs.

— Par Myrna Nerovique —

Il ne serait jamais avec moi, peut-être . C’était un homme distingué. J’étais pire qu’une roturière.

Celle dont on se moquait tout le temps. La risée de tout un quartier, ou d’une ville entière.

Et, je l’admirais en silence, ce beau métropolitain que je ne pourrai jamais avoir et qui n’appartenait plus qu’à mon passé…

Il vivait à Paris. Je résidais à Fort-de-France.

Mon plus beau rêve aurait été qu’il m’épouse dans une vallée de roses et de pétunias. Je savais que je pouvais toujours aller me rendormir. Il se faisait tard et je n’étais plus une aussi belle jeune femme.

Il était beau à en crever et je pleurnichais le soir, en pensant aux nuits torrides que nous aurions pu avoir au bord de l’eau, sous une plage de sable fin ; ses cris étouffant les miens.

Une brune le draguait constamment. Seulement, moi, chabine aux yeux noirs, j’exhibais toujours ma belle chevelure crépue au vent, qui retombait sur ma belle poitrine dénudée, couverte d’un débardeur jaunâtre réhaussant quelques-unes de mes formes hasardeuses, quand je sentais son regard posé sur moi et quand il rendait visite à ma tante Syllindra, une connaissance à lui.

→   Lire Plus

« En Terre d’ élections présidentielles », « Le péril d’une Terre souffrante » & Perdition d’une tuerie souffrante.

— Par Myrna Nerovique —

En Terre d’ élections présidentielles

Belle Terre que je n’ai jamais connue.
Etats-Unis, ne suis-je point une parvenue ?
Je ne verrai jamais point Clinton ou Biden ;
Ma combativité actuellement réellement traîne.

Trump, s’envole vers d’autres horizons,
Tandis que je me mêle enfin de mes oignons.
Je me goinfre d’actualités.
Dieu sait, que je ne puis m’en priver.

Les élections s’en vont encore de plus belle.
La médiatisation s’en veut sensationnelle.
L’effervescence de cette tuerie en perdition,
S’en déguise comme une malédiction.

La perle de nuit s’endort dans mes bras,
Et, je compte alors chacun de mes pas.
Mon enfant dort alors profondément,
Je n’ai plus, alors, nul tourment.

Le péril d’une Terre souffrante.

Face à cette guerre civile écologiste,
Il n’y avait point plus d’arrivistes.
La Terre perdait de sa superbe,
Point plus de fleurs ou de fraîche herbe.

→   Lire Plus

Fleur des champs.

— Myrna Nerovique —

Fleur des champs,

Tu es mon doux tourment.

La vie s’écoule ainsi,

Dans mon tendre paradis.

 

Fleur des champs,

Je sais que dorénavant,

L’amour me rendra crécelle.

Je ne suis point cruelle.

 

Fleur des champs,

L’ homme de mon firmament,

Vient de sonner le glas de l’amour,

Qui, je l’espère, durera toujours.

 

NEROVIQUE Myrna

→   Lire Plus

Ténèbres de clartés énamourachées.

— Par Myrna Nérovique —

La clameur de mon cœur,
M’intime ce doux bonheur.
La douceur de nos baisers,
S’irrite de nos divines clartés.

Et, l’oracle du destin,
Fredonne ce refrain.
L’amour guide nos pas,
Suite à un mets de chocolat.

L’outrage du bonheur ultime ,
Renchérit ces quelques rimes.
Détruis ces immenses jouissances.
La clarté de la nuit demeure rance.

→   Lire Plus

Les roses de ton sourire

— Par Myrna Nérovique
Il est vrai que les roses m’offrent un sourire,
De notre merveilleux avenir.
Il est vrai que la lune m’intime tes yeux,
Demeurant de mal en pis amoureux.
La nuit détruit ma clarté,
Mais, je reste éveillée.
Et, la beauté de mon coeur,
M’offre bien des clameurs.
Il est vrai que la tempête me brise,
Jusqu’à ce que je ne rise,
Une délicate attention,
M’octroyant une perdition.

→   Lire Plus

Un amour de TikTokeur ! ( Parties 1 & 2)

— Par -Myrna Nérovique —

Partie 1

Il me plaisait, mais je ne savais pas comment lui parler. J’étais une jeune femme sans expérience. Apparemment, il avait fait Harvard et moi, je me sentais toute petite avec mon niveau master à l’Université des Antilles.

Non, toute fac a ses honneurs, mais il me plaisait et avec mon anglais rudimentaire, je me demandais s’il verrait plus que de la plastique, chez moi.

Il était polonais, moi, j’étais martiniquaise. Je ne savais pas si je pouvais lui plaire. La reine du France-Antilles, la princesse des éditions Baudelaire, la duchesse de Madinin’art.

Pour moi, c’était le roi de TikTok et de Harvard, peut-être. Un homme simple et distingué, que j’aurai aimé avoir auprès de moi.

Je n’avais plus vingt ans. Je pensais à des choses un peu plus sérieuses. Il avait une copine. Une blondinette aux yeux gris et moi, j’étais juste une jolie chabine aux yeux noirs, belle en rouge et belle en orange. Et, défrisée par-dessus le marché.

Pendant qu’on discutait, mon cœur se réchauffait en plein hivernage et s’attristait de l’éloignement de ce beau prétendant, irrésistible et cuisinier.

→   Lire Plus

« L’horizon de la guerre » &  » Tu ne resteras point sourd »

— Par Myrna Névorique —

L’horizon de la guerre

Dans ma plénitude ensevelie,
Je pensais à mon beau guerrier,
Au travers de ma jambe meurtrie,
Sévissant sous la course de l’armurier.

Nous n’étions plus en temps de paix,
Et, je pouvais enfin laisser la craie.
Et, dans l’histoire militaire gonflant les saisons,
Je ne voyais plus d’autres horizons.

L’écriture me laissait pantoise,
Je n’avais point plus d’ardoise.
Et, dans le cœur d’une bonté perdue,
Je me retrouvais, goinfrant de la viande crue.

Ukraine ! Russie !
J’y pensais même la nuit .
Hamas ! Israël !
Le sang n’y était plus que charnel.

Je me retrouvais dans une troisième guerre mondiale,
Où le trivial avait tout de général.
Et, je rêvais du vent de la liberté,
Cherchant à rejoindre mon tout premier.

L’automne approchait dans des tons monotones,
Tandis que la voisine m’apostrophait de moutonne.
Et, l’horizon se peuplait de courses hagardes,
Vers mes balustrades d’une pureté de blancharde.

→   Lire Plus