Lundi 9 mai à 19h Madiana
Avec Omar Abdi, Yasmin Warsame, Kadar Abdoul-Aziz Ibrahim
Titre original The Gravedigger’s Wife
1h 22min / Drame
Synopsis :
Guled et Nasra sont un couple amoureux, vivant dans les quartiers pauvres de Djibouti avec leur fils Mahad. Cependant, l’équilibre de leur famille est menacé : Nasra souffre d’une grave maladie rénale et doit se faire opérer d’urgence. L’opération coûte cher et Guled trime déjà comme fossoyeur pour joindre les deux bouts : comment réunir l’argent pour sauver Nasra et garder une famille unie ?
La presse en parle :
Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Casting sauvage, acteurs non-professionnels, tournage en 21 jours : l’émouvant et empathique premier film du scénariste et réalisateur finno-somalien Khadar Ahmed, découvert à la Semaine de la critique, à Cannes en 2021, est l’un de ses petits films qui tiennent miraculeusement debout avec trois fois rien.
L’Obs par François Forestier
Film élégant et court, baigné par une lumière sublime (du chef op Arttu Peltomaa), le récit évite le piège du mélo pour se concentrer sur les sentiments et la description de l’intimité du couple.
Le Dauphiné Libéré par La Rédaction
Un premier film émouvant et empathique.
Les Fiches du Cinéma par Amélie Leray
Khadar Ayderus Ahmed mêle habilement drame social et grande histoire d’amour dans ce premier film sans pathos, avec de belles propositions de mise en scène.
Libération par Camille Nevers
C’est ce que peut le meilleur cinéma populaire : ce genre de mélodrame sans affectation, où les sentiments valeureux – le courage, la peine, l’acharnement du destin – transcendent l’homme, la femme, l’enfant.
Ouest France par La Rédaction
Un suspense intense qui ne tombe jamais dans le mélo.
Positif par William Le Personnic
La Femme du fossoyeur se situe du côté de la vie, de la recherche des palpitations, même dans les instants les plus désespérés.
Sud Ouest par Sophie Avon
Khadar Ayderus Ahmed signe un récit dépouillé et lumineux, aux personnages magnifiques.
aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Un cinéma rare et précieux qui convoque notre devoir d’humanité en faveur des peuples déshérités du monde.
Le Figaro par B. P.
Entre ces paysages blancs, secs et inhumains d’Afrique de l’Est, les personnages se battent avec tendresse contre la misère. Malheureusement, l’intrigue de ce film rude et sincère met du temps à se mettre en place.
Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpeche
Malgré une narration lente, le film déploie une mise en scène complètement en empathie avec son sujet, à laquelle se greffent une photographie solaire et une interprétation poignante.
Première par Thierry Chèze
Et grâce à une mise en scène sans fioriture, Ahmed trouve le ton juste pour ne jamais verser dans le mélo sirupeux sans pour autant couper le robinet à émotions.
Cahiers du Cinéma par Vincent Poli
Pour son premier long métrage, le Finno-Somalien Khadar Ahmed ne voit pas plus loin que ses personnages : leur amour est dépeint dans une longue suite de scènes démonstratives, aucun ailleurs ne semblant pouvoir émerger du récit.