«Sin City: j’ai tué pour elle»
🙂 Quatre raisons de vous damner pour ce polar
CINEMA – Frank Miller et Robert Rodriguez donnent une suite à leur film culte avec ce nouveau polar en noir et blanc…
Dans « Sin City: j’ai tué pour elle », les hommes perdent la tête et la vie pour les beaux yeux d’Eva Green. 20 Minutes vous donne quatre bonnes raisons pour avoir envie de plonger dans ce monde sombre à souhait peuplé de créatures de rêves et de méchants de cauchemars. Bienvenue dans ce polar inspiré d’un comics culte…
C’est encore plus beau que le premier volet
En 2005, Sin City avait coupé le souffle des spectateurs en donnant l’impression de plonger dans les cases de la bande dessinée de Frank Miller. Dans le deuxième opus, l’auteur et son complice Robert Rodriguez vont encore plus loin. Ils signent une œuvre visuelle où la 3D relief est à couper le souffle.
http://www.20minutes.fr/cinema/1442863-20140917-cinq-raisons-damner-sin-city-tue
😥 Le maelström du premier épisode a laissé place à un empilage de vengeances et de cadavres. A un chaos de dessins, plus proches du jeu vidéo que de la BD — et la 3D n’arrange rien, au contraire ! Les interprètes, haut de gamme, débitent de pauvres dialogues de film noir. Et celle qui était censée être la meilleure — Eva Green en femme ultra fatale — devient la pire : une gorgone dénudée, aux lèvres trop rouges, aux yeux de sorcière phosphorescents
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« Si je reste »
😡 un énième mélodrame tire-larmes pour ados
Mais l’accumulation de scènes irrésistiblement lacrymales finit par épuiser toute empathie et intérêt pour cette histoire. Par un heureux concours, elle est illuminée par la présence de l’excellente et délicieuse Chloë Grace Moretz, qui a prouvé récemment avec Sils Maria que sa palette débordait aisément les productions adolescentes. Regarder la jeune actrice de 17 ans jouer, c’est voir la promesse d’étincelantes incarnations futures. Ce dont ne peuvent se targuer la plupart de ses jeunes rivales à Hollywood, trop vite encensées par une presse, avide de renouveler encore et toujours son aréopage d’icônes.
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2014/09/16/si-je-reste-un-enieme-melodrame-tire-larmes-pour-ados_4488063_3476.html
🙄 Un teen movie larmoyant
Malheureusement, le film tombe assez vite dans la caricature, sur fond de romance pseudo impossible entre deux ados, dont la relation risque d’être mise à mal par l’inévitable entrée à la fac. Mais si les histoires de love stories vous font toujours de l’effet, foncez. Nous, on aurait nettement préféré voir Chloë Moretz dans un rôle moins lisse où sa naturelle joie de vivre serait mise en avant. Dans « Si je reste », l’actrice se retrouve trop souvent à la limite du ridicule lorsqu’elle doit jouer des situations délicates. Au point de sembler mettre sur la même échelle de gravité la possibilité de perdre sa famille tout entière et le fait de devoir effectuer ses études dans une ville différente de celle de son boyfriend.
http://www.elle.fr/Loisirs/Cinema/News/Si-je-reste-un-teen-movie-trop-lisse-2786294
Les recettes du bonheur,
👿 Un gloubiboulga de clichés qui vous reste sur l’estomac.
Le chocolat vous était resté sur l’estomac ? Dommage. Lasse Hallström remet le couvert au pays du bon manger et des esprits bornés – la France, monsieur ! – pour un duel gastro entre un jeune chef indien et une institution du Michelin. Au menu de cet interminable navet de deux heures dont on devine chaque scène dès le générique
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/le-recettes-du-bonheur-la-critique-de-studio-cine-live_1574267.html
😕 Une carte postale en papier glacée, où la retouche systématique des décors confère au sublimement kitsch.
Il est même difficile d’en vouloir aux intentions des producteurs, il y est après tout question de rapprochement culturel par l’amour de la cuisine et de la bonne fourchette, dans un monde qui échappe à la noirceur radicale de l’actualité, pour ne ressembler qu’à un divertissement sans méchanceté, mais sans finesse, alors que l’on nous ressasse de belles recettes du terroir, toujours plus mesurées les unes que les autres, dans ce qui est le récit d’un jeune chef indien promis à la gloire dans un pays qui, au début, ne veut pas de lui, mais se plie très vite, à la grandeur de son génie.
Lasse Hallström aux fourneaux ne saupoudre pas de clichés, il fait macérer, comme souvent, son œuvre dans un bain de lieux-communs.
http://www.avoir-alire.com/les-recettes-du-bonheur-la-critique-du-film