« Anora », un film de Sean Baker

Dès le 8 novembre à Madiana
Avec Mikey Madison, Mark Eydelshteyn, Yura Borisov | 30 octobre 2024 en salle | 2h 19min | Comédie dramatique | Palme d’Or au Festival de Cannes 2024
Synopsis:
Entre New York et Las Vegas, Anora, dite Ani, une jeune strip-teaseuse de Brooklyn, voit sa vie chamboulée lorsqu’elle rencontre Ivan, le fils d’un oligarque russe. Sans réfléchir, elle épouse avec enthousiasme son prince charmant ; mais lorsque la nouvelle parvient en Russie, le conte de fées est vite menacé : les parents du jeune homme partent pour New York avec la ferme intention de faire annuler le mariage…
La presse en parle :
Abus de Ciné par Christophe Brangé
Si son personnage rêvait de changer de vie, ce rôle-là devrait en faire de même pour l’actrice tant elle irradie la pellicule. Une Palme d’Or grand public, sexy, cocasse et surprenante.

Bande à part par Benoit Basirico
Sean Baker nous entraîne dans une odyssée sentimentale à travers les marges étincelantes de l’Amérique, où se mêlent l’amour et la fureur, les éclats de rire et les larmes.

CinemaTeaser par Renan Cros
Porté par l’énergie d’un casting brillant qui donne tout, Anora s’impose comme le meilleur film de Sean Baker et le meilleur d’un cinéma indépendant américain capable de faire du grand cinéma avec des personnages et des récits pas formatés. Tout ça en regardant l’Amérique et ses fictions de travers. Que demander de plus ?

Culturopoing.com par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli
« Anora » s’inscrit dans la lignée (rare) de Palmes d’Or qui se posent en classiques pop instantanés […]. Du très grand art.

GQ par Adam Sanchez
D’une drôlerie et d’une férocité inouïes (imaginez la Julia Roberts de « Pretty Woman » jetée dans le New York féroce d' »Uncut Gems » des frères Safdie) […].

La Septième Obsession par Jérémie Oro
Curieuse fin que celle d’ANORA, qui, en faisant se rencontrer deux âmes n’ayant jamais été définies comme telles, mais par leur corps et la meilleure manière de s’en servir, met soudain le spectateur face à ses responsabilités dans toute cette histoire. À vous de faire mieux la prochaine fois, nous susurre Sean Baker. Comment dit-on déjà ? Ah oui. Ça valait bien une Palme d’or.

La Voix du Nord par Christophe Caron
On se croirait dans After Hours, de Scorsese. Et puis, quand on commence à se dire que c’est peut-être limite de rire des tuiles de tous ces personnages, l’une désespérément accrochée à son unique sortie de secours, les autres littéralement pitoyables, Sean Baker remet les pendules à l’heure avec un final à l’intensité émotionnelle terrassante.

Les Fiches du Cinéma par Michael Ghennam
À la fois chronique de mœurs lancinante et road movie frénétique jusqu’au vertige, la Palme d’or de Sean Baker dresse un portrait ludique et désabusé de l’Amérique.

Ouest France par Philippe Lemoine
Une pure comédie déjantée.

Positif par Frédéric Mercier
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité.

Transfuge par Jean-Noël Orengo
Un grand film sur le sexe.

Télé Loisirs par M.L.
« Anora » possède une énergie et un charme dévastateurs.

Cahiers du Cinéma par Yal Sadat
Terrain de jeu mystificateur où seuls les jeunes maraboutés par les règles du jeu libéral semblent avoir un idéal, le décor d’Anora n’a pas besoin de papiers peints criards pour changer l’Amérique en chambre d’enfant ou en parc Disney.