Mardi 5 novembre à 14h00, 16h30, 22h00 | Mercredi 6 novembre à 11h 30, 16h30, 19h15, 22h etc
Avec :Nicholas Hoult, Toni Collette, Zoey Deutch
Genre :Drame, Thriller | 1h 54min
Synopsis :
Alors qu’un homme se retrouve juré d’un procès pour meurtre, il découvre qu’il est à l’origine de cet acte criminel. Il se retrouve face à un dilemme moral, entre se protéger ou se livrer.
La presse en parle :
Elle par Françoise Delbecq
Une mise en scène très sobre avec une émotion palpable qui monte en crescendo jusqu’à la scène finale spectaculaire dans la symbolique et totalement inattendue. Ce film est peut-être le dernier Eastwood mais l’un de ses plus aboutis. C’est juré.
Le Point par La Rédaction
En ces temps de binarité mortifère nourrie par les réseaux sociaux, parasitant toute nuance et vérité dans le rendu de la justice, la démonstration paisible mais ferme de Juré n° 2 fait un bien fou. Et se clôt sur un plan d’une force dévastatrice que l’on n’est pas près d’oublier. À voir de toute urgence.
Public par Sarah Lévy-Laithier
Difficile de garder sa boussole morale intacte dans un film aux ressorts psychologiques si puissants.
Abus de Ciné par Guillaume Gas
De bout en bout, et comme à son habitude, rien n’échappe au regard méticuleux et à l’objectivité souveraine d’Eastwood, qu’il s’agisse des étapes ordonnées propres à la mise en place du procès (on retient surtout la phase de sélection des jurés, ici retranscrite avec autant de précision que dans un roman de John Grisham) ou la prédominance de la phase de délibération sur celle du procès.
Cahiers du Cinéma par Fernando Ganzo
Sous ses allures de téléfilm apollinien, (…) le film navigue dans des eaux à la complexité extrême, avec une forme d’épure, à faire pâlir les dernières œuvres à trois chiffres de vétérans hollywoodiens (Killers of the Flower Moon, Megalopolis).
Critikat.com par Josué Morel
Sous la surface d’un petit thriller à l’argument implacable, Eastwood figure un abîme. Plus le film avance, plus il est sublime.
Franceinfo Culture par Jacky Bornet
À 94 ans, Clint Eastwood n’a rien perdu de sa dextérité à renouveler le beau classicisme qui nourrit sa riche filmographie. Il dépasse avec « Juré n°2 » les formes attendues du film de procès […].
L’Obs par Guillaume Loison
Car « Juré n°2 » raconte plus que tout le malaise généré par les Blancs privilégiés au sein d’une Amérique plurielle dont les institutions sont pensées pour eux seuls. Est-ce à dire que Clint Eastwood a viré woke à 94 ans ? Sans aller jusque-là, son film déconstruit un monceau de présupposés et se délecte à jeter le trouble dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à un semblant d’ordre établi.
La Voix du Nord par Christophe Caron
À quelques nuances près (notamment le personnage de Kiefer Sutherland, sorte de confesseur de Kemp, inutile), Eastwood déroule un fascinant récit, aussi vertigineux que limpide (un modèle de montage), jouant en permanence avec les ambiguïtés morales.
Le Figaro par Eric Neuhoff
Pour son 42e film, le réalisateur américain, âgé de 94 ans, plonge dans le film de procès. Un huis clos qui lui réussit parfaitement.
Le Monde par Jacques Mandelbaum
A 94 ans, le réalisateur américain livre un film de procès complexe, au scénario retors, dans une filiation assumée avec « Douze hommes en colère », de Sidney Lumet.
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