« L’Amour ouf », un film Gilles Lellouche

À Madiana
Par Gilles Lellouche, Ahmed Hamidi
Avec : Adèle Exarchopoulos, François Civil, Mallory Wanecque
Genre :Comédie, Romance, Thriller
Tous publics avec avertissement • 2h 40min
Synopsis:
Tout public avec avertissement
Certaines scènes violentes peuvent heurter un jeune public
Les années 80, dans le nord de la France.
Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traine. Et puis leurs destins se croisent et c’est l’amour fou. La vie s’efforcera de les séparer mais rien n’y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même cœur…
La presse en parle en 🙂  et en 😈 :
Closer par Justine Boivin
C’est fort, brutal, dansant. Passionnant.

Elle par Nathalie Dupuis
Après Le Grand bain, Gilles Lellouche confirme qu’il est un immense directeur d’acteurs et un cinéaste de ouf.

Marie Claire par Juliette Hochberg
Un cocktail qui étonne, tant il détonne des propositions du septième-art français.

Public par Sarah Lévy-Laithier
A la fois coup de cœur et coup de poing.

20 Minutes par Caroline Vié
Le résultat, pharaonique, vibre de la passion de Gilles Lellouche pour le 7e art. C’est une œuvre riche, généreuse qui fait penser à une valise sur laquelle on doit s’asseoir pour la fermer après l’avoir trop remplie.

Ecran Large par Geoffrey Crété
L’Amour ouf déborde d’un appétit de cinéma qui donne envie de l’aimer. Donc oui, ça déborde de tous les côtés, et jusqu’à l’excès. Mais il y a aussi et surtout des instants de grâce dans ce grand chaos romanesque.

Femme Actuelle par La Rédaction
Beaucoup de belles idées visuelles.

Filmsactu par Olivier Portnoi
Généreux, impulsif, dansant, l’Amour Ouf court dans tous les sens. Parfois trop mais il le fait avec une telle passion et une telle fougue que notre petit cœur se laisse emporter par cette histoire d’amour passionnel et électrique.

Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Si l’on est pris par l’action et les sentiments, demeure cependant l’étrange impression, en raison de son casting prestigieux, de voir plus les acteurs et moins leurs personnages. Mais l’originalité, le talent et l’enthousiasme font que le courant passe.

L’Humanité par Michaël Mélinard
Après « le Grand Bain », son feel good movie subaquatique, Gilles Lellouche a vu grand, dans une œuvre qui oscille entre du Scorsese, pour les gangsters et la galerie de personnages, et « Top Gun » pour les couchers de soleil un peu kitsch.

L’Obs par Nicolas Schaller
Un spectacle généreux, si rare par chez nous, qui fait plaisir à voir.

Cahiers du Cinéma par Charlotte Garson
Cette démonstrativité généralisée relève d’une idée du cinéma proche du principe de La Belle Époque de Nicolas Bedos, dans lequel les quidams nostalgiques pouvaient se payer des tranches de vie rejouées à l’époque de leur choix.

Les Echos par Adrien Gombeaud
Saga amoureuse sur fond de guerre des gangs dans le nord de la France, le nouveau film de Gilles Lellouche étouffe sous le poids de ses ambitions.

Les Inrockuptibles par Jean-Marc Lalanne
Jusque dans sa forme, L’Amour ouf bande les muscles, performe la moindre scène dans une surenchère spectaculaire et surfilme tout ce qu’il regarde comme si chaque plan était un soulevé de poids.

Marianne par Olivier De Bruyn
L’acteur et réalisateur a pris son temps pour repasser derrière la caméra et donner un successeur au « Grand Bain », triomphe au box-office de l’année 2018 (4,2 millions de spectateurs). Hélas, son nouveau film interminable et surproduit (2 h 46) n’arrive pas à la cheville de son hilarant coup d’essai.

aVoir-aLire.com par Gérard Crespo
Un ratage de première pour cette œuvrette oscillant entre polar grotesque et romance à bon marché. On est gêné pour les acteurs peu aidés par des dialogues accumulant tous les poncifs.