« Tehachapi », un film de JR

Jeudi 17 à 14h à Madiana
Genre :Documentaire | Réalisation :JR
Synopsis
Tout public
Les Etats-Unis représentent 4,2% de la population mondiale et 20% des détenus dans le monde. En octobre 2019, l’artiste JR obtient l’autorisation sans précédent d’intervenir dans l’une des prisons de haute sécurité les plus violentes de Californie : Tehachapi. Certains détenus y purgent des peines à perpétuité pour des crimes commis alors qu’ils n’étaient que mineurs. À travers son projet de fresque, JR rassemble les portraits et les histoires de ces hommes, offrant un regard différent sur le milieu carcéral et apportant un message d’espoir et de rédemption possible..
La presse en parle :
Ouest France par Pascale Vergereau
Une « évasion » spectaculaire.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifllet
Un récit visuel poignant, à la fois documentaire politique, œuvre humaniste, manifeste pour un art libérateur.

Franceinfo Culture par Jacky Bornet Artiste, JR revendique le rapport entre création et société, dans sa dimension humaine. Tehachapi retrace ce processus en marche, tout comme sa résultante.

GQ par Pablo Baron
Ce film poignant dresse le portrait de certains détenus en quête de rédemption et prouve que l’art peut changer des vies.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifllet
«  L’art est porteur d’espoir », affirme JR. À Tehachapi, il a insufflé cet espoir là où tout semblait perdu.

Le Parisien par Catherine Balle
Un documentaire plein d’humanité.

Télérama par Frédéric Strauss
Il faut saluer le tact de JR, qui a su mener avec intelligence cette expérience très séduisante sur le plan artistique, mais très délicate sur le plan humain. Sans faire un documentaire politique, le cinéaste, qui se devait de travailler en bonne entente avec l’institution pénitentiaire, a réussi à pointer la dureté de la vie carcérale.

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
À une époque où les radicalismes politiques et les sursauts sécuritaires envahissent le débat public, JR fait une brillante démonstration du pouvoir de l’art et de la relation humaine en matière de réinsertion sociale des délinquants.

L’Obs par Sophie Grassin
Cette plaidoirie pour le pardon et les superpouvoirs de l’art, déjà forte de ses effets de mise en scène (format vertical du portable, voix off), a un guide : Agnès Varda et son sens de l’écoute.