— Par Roland Sabra —
Deux pièces de théâtres qui s’inscrivent dans la logique du théâtre martiniquais et qui en démontrent, chacune à leur façon les limites.
Notre article « Cyclones : trop c’est trop ! » nous a valu des remarques, des incompréhensions, des critiques. Nous y serions allés » un peu fort « , « c’est un billet d’humeur, pas une critique » « ce n’était pas si mauvais que ça », « c’est ethno-centré » sous-entendu « européanocentré », « tout ce qui vient de l’extérieur est bien, tout ce qui vient d’ici est mauvais »… On connaît la chanson. Heureusement il y a le bouche-à-oreille. Et il fonctionne plutôt bien pour « Cyclones ». Plus d’un millier de spectateurs on déjà vu le spectacle, il est chaque fois l’objet d’un engouement populaire et il est encore en tournée en Martinique. Nous mêmes l’avons vu deux fois. Une fois en 3 D comme le dit le metteur en scène, c’est à dire dans un pitt, et dernièrement en 2 D dans une salle à l’italienne, le TAC pour ne pas la nommer.